Sainte Blandine
Sainte Blandine

Excellentes tenues de femmes catholiques !

Actuellement comme nous ne sommes plus dans un univers catholique, les femmes s'habillent de manière hideuse et comme des prostitués !
Sainte Blandine

Aller à la plage, aujourd'hui, en tant que catholique contribue à la destruction de notre Sainte …

Tout troll LGBT démasqué est banni ! Je ne discute pas avec des délinquants ! D'ailleurs j'ai dû porter plainte contre certains, des vrais voyous !
Sainte Blandine

Aller à la plage, aujourd'hui, en tant que catholique contribue à la destruction de notre Sainte …

@Catholique et Français je vous remercie pour ce commentaire et ce petit historique d'une Europe qui était autrefois catholique mais a plongé dans la décadence ! C'est un malheur de ne plus avoir une France catholique. DIEU ne donnera pas la victoire si les catholiques persistent à être des judas ! J'espère qu'un jour les catholiques le comprendront afin que nous retrouvions un monde catholique …Plus
@Catholique et Français je vous remercie pour ce commentaire et ce petit historique d'une Europe qui était autrefois catholique mais a plongé dans la décadence ! C'est un malheur de ne plus avoir une France catholique. DIEU ne donnera pas la victoire si les catholiques persistent à être des judas ! J'espère qu'un jour les catholiques le comprendront afin que nous retrouvions un monde catholique et DIEU suscitera un vrai Pape !
Sainte Blandine

🗞️ Un prêtre de Chicago bénit des homosexuels

🤮 🤮 🤮 🤮 🤮
Sainte Blandine

Drag Queen relayeuse de la flamme olympique..

@Catholique et Français , excellente citation, MGR Gaume a vu juste. Il faut lire son oeuvre magistrale !
Sainte Blandine

Drag Queen relayeuse de la flamme olympique..

Frankenstein !
Sainte Blandine

pierre jovanovic blasphème,il n'a rien à faire dans un média catholique !

il a l'air d'être un franc macon, pauvre de lui
Sainte Blandine

Une autre lettre : François encourage la propagande homosexuelle

I - La condamnation de l’Ecriture Sainte
L’Ecriture sainte ne cesse de condamner, et avec la plus grande sévérité, le péché, contre nature. Dans l’Ancien Testament, par exemple, le livre du Lévitique qui contient les prescriptions légales dictées par Dieu à Moïse dans le but de préserver le peuple élu de la corruption de la foi et des mœurs, prononce une sévère condamnation de la pratique …Plus
I - La condamnation de l’Ecriture Sainte
L’Ecriture sainte ne cesse de condamner, et avec la plus grande sévérité, le péché, contre nature. Dans l’Ancien Testament, par exemple, le livre du Lévitique qui contient les prescriptions légales dictées par Dieu à Moïse dans le but de préserver le peuple élu de la corruption de la foi et des mœurs, prononce une sévère condamnation de la pratique homosexuelle définie comme «abomination», et ordonne pour les coupables la peine de mort.
« Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination. ( ... ) Quiconque commet l’une de ces abominations, quelle qu’elle soit, ceux-là seront retranchés de leur peuple » (Lv. 18, 22 et 29).
« L’homme qui couche avec un homme comme on couche avec une femme: c’est une abomination qu’ils ont tous deux commise. Ils devront mourir, leur sang retombera sur eux » (Lv. 20, 13).
Une semblable réprobation est prononcée par les prophètes d’Israël, comme en témoigne ce passage d’Isaïe : « Leur complaisance témoigne contre eux, ils étalent leur péché comme Sodome. Ils n’ont pas dissimulé, malheur à eux! car ils ont préparé leur propre ruine » (Is. 3, 9).
Le châtiment divin de Sodome et Gomorrhe
La condamnation de la Bible ne se situe pas au seul niveau théorique, mais se manifeste encore par la punition des pécheurs. L’exemple le plus notoire et le plus significatif est celui, tiré du premier livre de l’Ancien Testament (la Genèse) dans lequel Dieu envoie deux de ses anges, sous forme humaine, pour détruire les villes de Sodome et de Gomorrhe, corrompues par le vice contre nature. Seuls Loth et sa famille sont épargnés.
« Donc, Yahvé dit (à Abraham): «Le cri contre Sodome et Gomorrhe est bien grand ! Leur péché est bien grave !» ( ... ) Les hommes dirent à Loth: «As-tu encore quelqu’un ici ? Tes fils, tes filles, tous les tiens qui sont dans la ville, fais-les sortir de ce lieu. Nous allons en effet détruire ce lieu, car grand est le cri qui s’est élevé contre eux à la face de Yahvé, et Yahvé nous a envoyés pour les exterminer». ( ... ) Yahvé fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu venant de Yahvé, et il renversa ces villes et toute la Plaine, avec tous les habitants des villes et la végétation du sol. ( ... ) Levé de bon matin, Abraham vint à l’endroit où il s’était tenu devant Yahvé et il jeta son regard sur Sodome, sur Gomorrhe et sur toute la Plaine, et voici qu’il vit la fumée monter du pays comme la fumée d’une fournaise! » (Gn 18, 20 ; 19, 12-13 ; 19, 24-25 : 19, 27-28).
Commentant ce passage de la Bible, de nombreux Pères de l’Eglise, à la suite de Tertullien (cf. Apologétique, § 40) et de l’historien Orose (cf. Histoire de l’Eglise, 1, 5) témoignent que dans la plaine où s’étendaient les deux cités — lieu où se trouve aujourd’hui la Mer Morte —, « une odeur d’incendie empeste encore la terre ». Ceci pour exhorter les générations futures à ne pas oublier le châtiment divin.
« Au cours de mes voyages – affirma devant ses juges le martyr Pionius (mort en l’année 250) — j’ai traversé toute la Judée, j’ai franchi le Jourdain et j’ai pu contempler ce pays qui jusqu’à nos jours porte les traces de la colère divine ( ... ). J’ai vu la fumée qui aujourd’hui encore, monte de ses ruines et le sol que le feu avait réduit en cendres, j’ai vu cette terre désormais frappée de sécheresse et de stérilité. J’ai vu la mer Morte, dont l’eau a changé de nature ; elle s’est appauvrie par crainte de Dieu et ne peut plus nourrir d’êtres vivants » (Le gesta dei martiri, pp. 112-113).
L’apôtre saint Paul exclut les sodomites du salut
Le Nouveau Testament ne fait que confirmer, en termes encore plus vigoureux, cette condamnation. Dans certains extraits de ses Epîtres l’Apôtre des Gentils nous donne une explication profonde de la ruine de Sodome et de Gomorrhe, associant l’homosexualité à l’impiété, à l’idolâtrie, à l’homicide.
« Aussi Dieu les a-t-il livrés selon les convoitises de leurs cœurs, à l’impureté, en sorte qu’ils déshonorent entre eux leurs propres corps ; eux qui ont échangé le Dieu véritable pour le mensonge, adoré et servi la créature de préférence au Créateur, qui est béni éternellement. Amen ! Aussi Dieu les a-t-il livrés à des passions d’ignominie: car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ; pareillement les hommes, délaissant l’usage naturel de la femme, ont brûlé de désir les uns pour les autres, ayant hommes avec hommes un commerce infâme et recevant, dans une mutuelle dégradation, le juste salaire de leur égarement. ( ... )
Connaissant bien pourtant le verdict de Dieu qui déclare dignes de mort les auteurs de pareilles actions, non seulement il les font, mais ils approuvent encore ceux qui les commettent » (Rm. 1, 24-27 ; 1, 32).
« En sachant bien que la Loi n’a pas été instituée pour le juste, mais pour les méchants et les rebelles, pour les impies et les pécheurs, pour les sacrilèges et les profanateurs, pour les parricides et les matricides, les assassins, les impudiques, les homosexuels, (...) et pour tout homme qui agit contrairement à la saine doctrine morale » (1 Tm. 1, 9-10).
Excluant du salut ceux qui pratiquent le vice contre nature, l’Apôtre prononce à leur encontre une condamnation bien plus grave que celle de la mort physique: celle de la mort éternelle.
« Ne vous y trompez pas! Ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes ( ... ), ne posséderont le Royaume de Dieu » (1 Cor. 6, 9-10).
Saint Pierre et saint Jude mentionnent la destruction de Sodome comme châtiment divin
Le premier Pape, saint Pierre, et l’Apôtre saint Jude, prononcent la même condamnation en rappelant la destruction de Sodome et de Gomorrhe. Ils la présentent comme un divin avertissement qui doit servir à dissuader les impies et à conforter les fidèles.
Si Dieu « a condamné à une totale destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, pour servir d’exemple aux impies à venir; et a délivré le juste Loth, qui était profondément attristé de la conduite de ces hommes sans frein dans leur dissolution (...), c’est que le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux et réserver les hommes impies pour les châtier au jour du Jugement » (2 P 2, 6-9).
« De même Sodome, Gomorrhe et les villes voisines qui se livrèrent comme elles à l’impudicité et à des unions contre nature, sont-elles proposées en exemple, subissant la peine d’un feu éternel » (Jude, 7).

II — La doctrine de l’Eglise sur l’homosexualité
Faisant écho à la malédiction des Saintes Ecritures, l’Eglise, dès son origine, a condamné la pratique homosexuelle par les paroles des saints Pères, premiers auteurs ecclésiastiques reconnus comme témoins de la tradition divine.
Saint Augustin: « les turpitudes contre nature doivent être partout et toujours détestées »
L’illustre saint Augustin (354-430), évêque d’Hippone et Docteur de l’Eglise fut parmi les premiers à se prononcer « Les turpitudes contre nature, doivent être partout et toujours détestées et punies, celles par exemple des habitants de Sodome. Quand même tous les peuples imiteraient Sodome, ils tomberaient tous sous le coup de la même culpabilité, en vertu de la loi divine qui n’a pas fait les hommes pour user ainsi d’eux-mêmes. C’est violer la société même qui doit exister entre Dieu et nous que de souiller par les dépravations du libertinage la nature dont il est l’auteur » (Les Confessions, livre 111, chap. 8).
Saint Jean Chrysostome :
la passion homosexuelle est diabolique

Le Père de l’Eglise qui condamna le plus fréquemment le péché contre nature fut saint Jean Chrysostome (IVe siècle), Patriarche de Constantinople et Docteur de l’Eglise, dont nous rapportons quelques passages d’une homélie commentant l’Epître de saint Paul aux Romains :
« Les passions sont toutes déshonorantes car l’âme est plus abîmée et dégradée par les péchés que le corps par les maladies ; mais la pire entre toutes les passions est la convoitise entre hommes. ( ... ) Les péchés contre nature sont plus difficiles et moins rémunératifs si bien que l’on ne peut même pas affirmer qu’ils procurent le plaisir car le vrai plaisir est seulement celui qui s’accorde avec la nature. Mais quand Dieu a abandonné quelqu’un, tout est inverti ! Donc, non seulement leurs passions sont sataniques, mais leurs vies sont diaboliques. ( ... ) Donc je te dis, ceux-là sont pires que les meurtriers, et qu’il serait mieux mourir que vivre ainsi déshonoré. Le meurtrier sépare seulement l’âme du corps, tandis que ceux-là détruisent l’âme à l’intérieur du corps. Tu pourrais nommer n’importe quel péché, tu n’en nommeras jamais un pareil à celui-ci et, si ceux qui l’endurent pouvaient se rendre compte vraiment de ce qu’il leur est en train d’arriver, ils préféreraient mourir mille fois plutôt que de s’y soumettre. Il n’y a rien, absolument rien de si insensé et nocif que cette perversité » (Sain Jean Chrysostome, Homilia IV, Epistula Pauli ad Romanos ; cf. Patrologia Graeca, vol. 47, coll. 360-362).
L’interprétation de Sodome selon Saint Grégoire le Grand
Saint Grégoire Ier, Pape (540-604), dit le Grand, Docteur de l’Eglise, voit dans le soufre qui se répandit sur Sodome, le péché contre la chair des homosexuels.
« Oui, le soufre représente bien la fétidité de la chair, l’histoire même de la Sainte Ecriture en témoigne quand elle raconte la pluie de feu et de soufre répandue sur Sodome par le Seigneur Il avait décidé de punir en elle les crimes de sa chair et le choix même de sa vengeance a dénoncé la souillure qu’il accusait. Car le soufre a sa fétidité et le feu son brasier. C’est donc pour s’être embrasés des désirs pervers venus d’une chair fétide, que les Sodomites ont mérité de périr à la fois par le feu et par le soufre, afin qu’un juste châtiment leur apprît ce qu’ils avaient fait dans un injuste désir » (Saint Grégoire le Grand, Morales sur Job, III partie, vol. 1, livre XIV, n. 23, p. 353).
Saint Pierre Damien: « ce vice dépasse en gravité
tous les autres vices... »

Parmi les saints du Moyen Age qui luttèrent contre l’homosexualité, un des plus grands fut saint Pierre Damien (1007-1072), Docteur de l’Eglise, réformateur de l’Ordre bénédictin et grand écrivain et prédicateur. Dans son Liber Gomorrhanus, écrit vers 1051 pour le Pape saint Léon IX, il dénonce vigoureusement la ruine spirituelle à laquelle se condamne celui qui pratique un tel vice.
« Il est tout à fait juste que ceux qui, contre la loi naturelle et contre la raison humaine, remettent aux démons leur chair pour jouir de rapports si dégoûtants, partagent avec les démons la cellule de leur prière. En effet, vu que la nature humaine résiste profondément à ces maux en ayant en horreur l’absence du sexe opposé, il est plus clair que la lumière du soleil qu’elle ne pourrait jamais goûter de choses si perverses et inouïes si les sodomites, devenus presque des vases de colère destinés à la ruine, ne soient totalement possédés par l’esprit d’iniquité ; et en effet, cet esprit, à partir du moment qu’il s’empare d’eux, remplit leurs âmes si gravement de toute sa méchanceté infernale qu’ils désirent ardemment à bouche ouverte non pas ce qui est sollicité par le naturel appétit charnel mais seulement ce qu’il leur propose dans sa sollicitude diabolique. Quand donc le mesquin se lance en ce péché d’impureté avec un autre homme, il ne le fait pas par stimulation naturelle de la chair mais seulement par impulsion diabolique. (...) Ce vice ne doit pas être considéré comme un vice ordinaire puisqu’il dépasse en gravité tous les autres vices. En effet, il tue le corps, abîme l’âme, souille la chair, éteint la lumière de la raison, chasse l’Esprit Saint du temple de l’âme, y introduit le démon instigateur de la luxure, induit en erreur, arrache la vérité de l’esprit trompé, dresse des embûches au pèlerin, le jette dans un abîme, il l’y renferme pour ne plus le faire sortir, lui ouvre l’Enfer, lui ferme les portes du Paradis, le transforme de citoyen de la Jérusalem céleste en héritier de la Babylone infernale, d’étoile du ciel en paille destinée au feu éternel, le sépare de la communion de l’Eglise et le jette dans l’avide et bouillonnant feu infernal. Ce vice essaye d’abattre les murs de la Patrie céleste et de réparer ceux de la ville de Sodome, brûlée et ressuscitée. »
Sainte Blandine

Classement sans suite de la procédure contre l'abbé Raffray

I - La condamnation de l’Ecriture Sainte
L’Ecriture sainte ne cesse de condamner, et avec la plus grande sévérité, le péché, contre nature. Dans l’Ancien Testament, par exemple, le livre du Lévitique qui contient les prescriptions légales dictées par Dieu à Moïse dans le but de préserver le peuple élu de la corruption de la foi et des mœurs, prononce une sévère condamnation de la pratique …Plus
I - La condamnation de l’Ecriture Sainte
L’Ecriture sainte ne cesse de condamner, et avec la plus grande sévérité, le péché, contre nature. Dans l’Ancien Testament, par exemple, le livre du Lévitique qui contient les prescriptions légales dictées par Dieu à Moïse dans le but de préserver le peuple élu de la corruption de la foi et des mœurs, prononce une sévère condamnation de la pratique homosexuelle définie comme «abomination», et ordonne pour les coupables la peine de mort.
« Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination. ( ... ) Quiconque commet l’une de ces abominations, quelle qu’elle soit, ceux-là seront retranchés de leur peuple » (Lv. 18, 22 et 29).
« L’homme qui couche avec un homme comme on couche avec une femme: c’est une abomination qu’ils ont tous deux commise. Ils devront mourir, leur sang retombera sur eux » (Lv. 20, 13).
Une semblable réprobation est prononcée par les prophètes d’Israël, comme en témoigne ce passage d’Isaïe : « Leur complaisance témoigne contre eux, ils étalent leur péché comme Sodome. Ils n’ont pas dissimulé, malheur à eux! car ils ont préparé leur propre ruine » (Is. 3, 9).
Le châtiment divin de Sodome et Gomorrhe
La condamnation de la Bible ne se situe pas au seul niveau théorique, mais se manifeste encore par la punition des pécheurs. L’exemple le plus notoire et le plus significatif est celui, tiré du premier livre de l’Ancien Testament (la Genèse) dans lequel Dieu envoie deux de ses anges, sous forme humaine, pour détruire les villes de Sodome et de Gomorrhe, corrompues par le vice contre nature. Seuls Loth et sa famille sont épargnés.
« Donc, Yahvé dit (à Abraham): «Le cri contre Sodome et Gomorrhe est bien grand ! Leur péché est bien grave !» ( ... ) Les hommes dirent à Loth: «As-tu encore quelqu’un ici ? Tes fils, tes filles, tous les tiens qui sont dans la ville, fais-les sortir de ce lieu. Nous allons en effet détruire ce lieu, car grand est le cri qui s’est élevé contre eux à la face de Yahvé, et Yahvé nous a envoyés pour les exterminer». ( ... ) Yahvé fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu venant de Yahvé, et il renversa ces villes et toute la Plaine, avec tous les habitants des villes et la végétation du sol. ( ... ) Levé de bon matin, Abraham vint à l’endroit où il s’était tenu devant Yahvé et il jeta son regard sur Sodome, sur Gomorrhe et sur toute la Plaine, et voici qu’il vit la fumée monter du pays comme la fumée d’une fournaise! » (Gn 18, 20 ; 19, 12-13 ; 19, 24-25 : 19, 27-28).
Commentant ce passage de la Bible, de nombreux Pères de l’Eglise, à la suite de Tertullien (cf. Apologétique, § 40) et de l’historien Orose (cf. Histoire de l’Eglise, 1, 5) témoignent que dans la plaine où s’étendaient les deux cités — lieu où se trouve aujourd’hui la Mer Morte —, « une odeur d’incendie empeste encore la terre ». Ceci pour exhorter les générations futures à ne pas oublier le châtiment divin.
« Au cours de mes voyages – affirma devant ses juges le martyr Pionius (mort en l’année 250) — j’ai traversé toute la Judée, j’ai franchi le Jourdain et j’ai pu contempler ce pays qui jusqu’à nos jours porte les traces de la colère divine ( ... ). J’ai vu la fumée qui aujourd’hui encore, monte de ses ruines et le sol que le feu avait réduit en cendres, j’ai vu cette terre désormais frappée de sécheresse et de stérilité. J’ai vu la mer Morte, dont l’eau a changé de nature ; elle s’est appauvrie par crainte de Dieu et ne peut plus nourrir d’êtres vivants » (Le gesta dei martiri, pp. 112-113).
L’apôtre saint Paul exclut les sodomites du salut
Le Nouveau Testament ne fait que confirmer, en termes encore plus vigoureux, cette condamnation. Dans certains extraits de ses Epîtres l’Apôtre des Gentils nous donne une explication profonde de la ruine de Sodome et de Gomorrhe, associant l’homosexualité à l’impiété, à l’idolâtrie, à l’homicide.
« Aussi Dieu les a-t-il livrés selon les convoitises de leurs cœurs, à l’impureté, en sorte qu’ils déshonorent entre eux leurs propres corps ; eux qui ont échangé le Dieu véritable pour le mensonge, adoré et servi la créature de préférence au Créateur, qui est béni éternellement. Amen ! Aussi Dieu les a-t-il livrés à des passions d’ignominie: car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ; pareillement les hommes, délaissant l’usage naturel de la femme, ont brûlé de désir les uns pour les autres, ayant hommes avec hommes un commerce infâme et recevant, dans une mutuelle dégradation, le juste salaire de leur égarement. ( ... )
Connaissant bien pourtant le verdict de Dieu qui déclare dignes de mort les auteurs de pareilles actions, non seulement il les font, mais ils approuvent encore ceux qui les commettent » (Rm. 1, 24-27 ; 1, 32).
« En sachant bien que la Loi n’a pas été instituée pour le juste, mais pour les méchants et les rebelles, pour les impies et les pécheurs, pour les sacrilèges et les profanateurs, pour les parricides et les matricides, les assassins, les impudiques, les homosexuels, (...) et pour tout homme qui agit contrairement à la saine doctrine morale » (1 Tm. 1, 9-10).
Excluant du salut ceux qui pratiquent le vice contre nature, l’Apôtre prononce à leur encontre une condamnation bien plus grave que celle de la mort physique: celle de la mort éternelle.
« Ne vous y trompez pas! Ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes ( ... ), ne posséderont le Royaume de Dieu » (1 Cor. 6, 9-10).
Saint Pierre et saint Jude mentionnent la destruction de Sodome comme châtiment divin
Le premier Pape, saint Pierre, et l’Apôtre saint Jude, prononcent la même condamnation en rappelant la destruction de Sodome et de Gomorrhe. Ils la présentent comme un divin avertissement qui doit servir à dissuader les impies et à conforter les fidèles.
Si Dieu « a condamné à une totale destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, pour servir d’exemple aux impies à venir; et a délivré le juste Loth, qui était profondément attristé de la conduite de ces hommes sans frein dans leur dissolution (...), c’est que le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux et réserver les hommes impies pour les châtier au jour du Jugement » (2 P 2, 6-9).
« De même Sodome, Gomorrhe et les villes voisines qui se livrèrent comme elles à l’impudicité et à des unions contre nature, sont-elles proposées en exemple, subissant la peine d’un feu éternel » (Jude, 7).

II — La doctrine de l’Eglise sur l’homosexualité
Faisant écho à la malédiction des Saintes Ecritures, l’Eglise, dès son origine, a condamné la pratique homosexuelle par les paroles des saints Pères, premiers auteurs ecclésiastiques reconnus comme témoins de la tradition divine.
Saint Augustin: « les turpitudes contre nature doivent être partout et toujours détestées »
L’illustre saint Augustin (354-430), évêque d’Hippone et Docteur de l’Eglise fut parmi les premiers à se prononcer « Les turpitudes contre nature, doivent être partout et toujours détestées et punies, celles par exemple des habitants de Sodome. Quand même tous les peuples imiteraient Sodome, ils tomberaient tous sous le coup de la même culpabilité, en vertu de la loi divine qui n’a pas fait les hommes pour user ainsi d’eux-mêmes. C’est violer la société même qui doit exister entre Dieu et nous que de souiller par les dépravations du libertinage la nature dont il est l’auteur » (Les Confessions, livre 111, chap. 8).
Saint Jean Chrysostome :
la passion homosexuelle est diabolique

Le Père de l’Eglise qui condamna le plus fréquemment le péché contre nature fut saint Jean Chrysostome (IVe siècle), Patriarche de Constantinople et Docteur de l’Eglise, dont nous rapportons quelques passages d’une homélie commentant l’Epître de saint Paul aux Romains :
« Les passions sont toutes déshonorantes car l’âme est plus abîmée et dégradée par les péchés que le corps par les maladies ; mais la pire entre toutes les passions est la convoitise entre hommes. ( ... ) Les péchés contre nature sont plus difficiles et moins rémunératifs si bien que l’on ne peut même pas affirmer qu’ils procurent le plaisir car le vrai plaisir est seulement celui qui s’accorde avec la nature. Mais quand Dieu a abandonné quelqu’un, tout est inverti ! Donc, non seulement leurs passions sont sataniques, mais leurs vies sont diaboliques. ( ... ) Donc je te dis, ceux-là sont pires que les meurtriers, et qu’il serait mieux mourir que vivre ainsi déshonoré. Le meurtrier sépare seulement l’âme du corps, tandis que ceux-là détruisent l’âme à l’intérieur du corps. Tu pourrais nommer n’importe quel péché, tu n’en nommeras jamais un pareil à celui-ci et, si ceux qui l’endurent pouvaient se rendre compte vraiment de ce qu’il leur est en train d’arriver, ils préféreraient mourir mille fois plutôt que de s’y soumettre. Il n’y a rien, absolument rien de si insensé et nocif que cette perversité » (Sain Jean Chrysostome, Homilia IV, Epistula Pauli ad Romanos ; cf. Patrologia Graeca, vol. 47, coll. 360-362).
L’interprétation de Sodome selon Saint Grégoire le Grand
Saint Grégoire Ier, Pape (540-604), dit le Grand, Docteur de l’Eglise, voit dans le soufre qui se répandit sur Sodome, le péché contre la chair des homosexuels.
« Oui, le soufre représente bien la fétidité de la chair, l’histoire même de la Sainte Ecriture en témoigne quand elle raconte la pluie de feu et de soufre répandue sur Sodome par le Seigneur Il avait décidé de punir en elle les crimes de sa chair et le choix même de sa vengeance a dénoncé la souillure qu’il accusait. Car le soufre a sa fétidité et le feu son brasier. C’est donc pour s’être embrasés des désirs pervers venus d’une chair fétide, que les Sodomites ont mérité de périr à la fois par le feu et par le soufre, afin qu’un juste châtiment leur apprît ce qu’ils avaient fait dans un injuste désir » (Saint Grégoire le Grand, Morales sur Job, III partie, vol. 1, livre XIV, n. 23, p. 353).
Saint Pierre Damien: « ce vice dépasse en gravité
tous les autres vices... »

Parmi les saints du Moyen Age qui luttèrent contre l’homosexualité, un des plus grands fut saint Pierre Damien (1007-1072), Docteur de l’Eglise, réformateur de l’Ordre bénédictin et grand écrivain et prédicateur. Dans son Liber Gomorrhanus, écrit vers 1051 pour le Pape saint Léon IX, il dénonce vigoureusement la ruine spirituelle à laquelle se condamne celui qui pratique un tel vice.
« Il est tout à fait juste que ceux qui, contre la loi naturelle et contre la raison humaine, remettent aux démons leur chair pour jouir de rapports si dégoûtants, partagent avec les démons la cellule de leur prière. En effet, vu que la nature humaine résiste profondément à ces maux en ayant en horreur l’absence du sexe opposé, il est plus clair que la lumière du soleil qu’elle ne pourrait jamais goûter de choses si perverses et inouïes si les sodomites, devenus presque des vases de colère destinés à la ruine, ne soient totalement possédés par l’esprit d’iniquité ; et en effet, cet esprit, à partir du moment qu’il s’empare d’eux, remplit leurs âmes si gravement de toute sa méchanceté infernale qu’ils désirent ardemment à bouche ouverte non pas ce qui est sollicité par le naturel appétit charnel mais seulement ce qu’il leur propose dans sa sollicitude diabolique. Quand donc le mesquin se lance en ce péché d’impureté avec un autre homme, il ne le fait pas par stimulation naturelle de la chair mais seulement par impulsion diabolique. (...) Ce vice ne doit pas être considéré comme un vice ordinaire puisqu’il dépasse en gravité tous les autres vices. En effet, il tue le corps, abîme l’âme, souille la chair, éteint la lumière de la raison, chasse l’Esprit Saint du temple de l’âme, y introduit le démon instigateur de la luxure, induit en erreur, arrache la vérité de l’esprit trompé, dresse des embûches au pèlerin, le jette dans un abîme, il l’y renferme pour ne plus le faire sortir, lui ouvre l’Enfer, lui ferme les portes du Paradis, le transforme de citoyen de la Jérusalem céleste en héritier de la Babylone infernale, d’étoile du ciel en paille destinée au feu éternel, le sépare de la communion de l’Eglise et le jette dans l’avide et bouillonnant feu infernal. Ce vice essaye d’abattre les murs de la Patrie céleste et de réparer ceux de la ville de Sodome, brûlée et ressuscitée. »
Sainte Blandine

Le bon et saint Pape Alexandre VI, connu sous le nom de Borgia

Un Pape a les blessures du péché originel, ne peut être impeccable, d'ailleurs il se confesse ! Un pape hérétique comme Fancois c'est grave, c'est la destruction pure et simple de la religion catholique, bien réussie avec le concile satanique vatican 2 !