Si je puis me permettre, à propos des Bénédictins, ce que l'on oublie souvent de dire, c'est que les fils de saint Benoît ont englobé détruit plutôt, le monachisme celtique... voici comment : tous les monastères colombaniens, après s'être vus imposer la de vivre conjointement les deux règles, Colomban - Benoît, pendant un temps, sont passés, systématiquement uniquement sous la règle bénédictine et ce, au 8e siècle... car l'on disait, - et l'on entend encore dire, - que la Règle de Saint Colomban était, soi incomplète, soi indaptée à la vie communautaire... le comble quand même pour une règle monastique...!!! Autre comble, dans tout cela, l'Ordre Bénédictin, a ainsi systématiquement récupéré tous les saints Colombaniens, et qui n'ont jamais vécus la règle bénédictine... c'est à dire à peu près le 3/4 du sanctoral de l'Ordre Bénédictin comporte des saints, ayant vécus entre le la fin du 6e et le début du 8e siècle, qui n'ont jamais vécu la règle de saint Benoît...!!!! Pour exemple, parmi tant d'autres, Mommolin, abbé de Fleury (c'est lui qui a fait venir les reliques de saint Benoit et de sainte Scolastique en France dans sont abbaye, devenue ensuite Saint Benoît sur Loire), saint dont j'ai la garde des reliques, et qui est mort à Bordeaux le 9 août 663. Il était un saint Colombanien, et cela est avéré, car Fleury était composée de deux abbayes vivant conjointement les Règles Colomban/Benoît sauf que les bénédictins en ont fait un saint complètement et totalement bénédictin et on oublié le côté celtique Colombanien... et il y en a beaucoup d'autres comme cela...!!!

Kan Bale Kadoudal

E kambr ma zad e oan kousket
Me n'em boa soñj a dra erbet

Me 'm boa enor ha plijadur
Mes allas, bremañ ne'm eus ket mui
Kollet em eus ma eürusted
Me 'r c'hlask e pep lec'h ha me n'he c'havan ket

Deuet eno tri pe pevar jañdarm
Int em stlej en ere ar stag

D'ar prizon ec'h on konduiet
Tre daou jañdarm ec'h on kaset

Er prizon pand on antreet
Er ur basfos ec'h on taolet

Men emañ aet mam breur Jozon
Pa n'her c'hlevan ket mui o son ?

Men emañ aet mam breur Loeiz
Pa n'her gwelan ket mui james ?

Men emañ aet ma c'hoar Mari
Pa n'he gwelan ket dre an ti ?

E-men emañ douaroù ma zad
A vezen-me o kardellat ?

Men emañ aet saout ma zad
A gasen d'ar prad da voueta ?

Men emañ aet roñseed ma zad
A yaen gante da labourat ?

E-men emañ aet chas ma zad
A yaen gante da jiboesaat ?

Men emañ aet lanneg Bubri
Ma jiboesaen lies enni ?

Men emañ aet ruioù Alre
A vezen o vale enne ?

Je vais bientôt reprendre ce chant, à ma façon, à la harpe... ainsi que plusieurs autres, que j'enregistrerai dans mon église de Sainte Croix de Bordeaux (dont je suis l'un des sacristains) et qui a une accoustique exceptionnelle (abbatiale romane)...

Je les joue et chante assez souvent, lors de mes permanences du vendredi, ce qui interpelle les visiteurs qui cherchent d'où viennent ces chants, car je me mets en retrait, bien caché derrière un pilier... Les gens ne me voient pas, mais moi je les vois...

Lenoir, soi-disant spécialiste des religions, qui ne raconte que des conneries, blasphématoires. Avez-vous vu l'émission l'ombre d'un doute, sur Jésus...? Quand j'ai entendu les propos hallucinants que ce sombre abruti balançait sur la Vierge Marie, et sur Jésus, je suis entré dans une colère noire... Comment peut-on, en spécialiste des religions, aller raconter de pareilles horreurs... Il me fait honte... Quand on pense que ces torchons de livres sont en tête de gondoles dans les rayons religieux des bibliothèques et de certaines librairies...