Il manque singulièrement à cette rétrospective des porteurs du nom Henri, surtout pour un catholique, Henri de Lorraine, IIIème duc de Guise, dit le balafré, qui, n’eut-il été assassiné traitreusement par les mignons d’Henri III, eut sans doute, après avoir été adopté avec panache par les Parisiens et par les villes d’Orléans et de Chartres, conduit la France sur une trajectoire autrement ascendante que les Bourbons ne l’ont fait les siècles suivants, marqués inévitablement qu’ils furent, quoi qu’en disent à distance leurs thuriféraires, par le sceau d’opportunisme et de légèreté masculine dans leur conduite personnelle, de leur aïeul Henri de Béarn. Quant à l’ascendance, celle du catholique duc de Lorraine qui vient des carolingiens par le comte de Metz, elle n’a rien à envier à celle du béarnais contre qui le pape Sixte Quint finit à bon escient par lancer une bulle privatoire le privant de la légitimité à la succession au Royaume de France

De l’opération criminelle qui advînt à Blois, le 23 décembre 1588, l’historien Charles Giraud écrivit en 1872 dans la revue des deux Mondes : « C’est un des crimes les plus perfidement et les plus audacieusement accomplis dont il soit parlé dans l’histoire, c’est le chef-d’œuvre du genre, si l’on peut ainsi parler. L’intelligence d’Henri III n’a pas de plus glorieux monument », qualificatifs qui sont autant de vérités assassines à l’endroit de l’art accompli de la dissimulation de l’efféminé Valois, roi de France, fils gâté de la florentine et dépravée Catherine de Médicis.
On ajoutera que, pour avoir la conscience tranquille, Henri III fit assassiner le lendemain le 24 décembre l’archevêque de Reims, Louis de Guise, le frère du Balafré.
Sixte-Quint fut outragé à Rome de la nouvelle de l’assassinat du duc de Guise. En réaction, il convoqua un consistoire le 9 janvier où il déclara en ouverture : C’est avec une douleur indicible que nous vous annonçons un crime inouï le meurtre, le meurtre, le meurtre de l’un d’entre vous, tué sans procès, sans jugement, contrairement à toutes les lois et sans accusation préalable devant le Saint-Siège ». Le Pontife cita l’histoire ancienne et moderne et termina par une sortie véhémente contre quelques cardinaux qui, oublieux de leur dignité, avaient tenté en sa présence d’excuser un tel crime. Le cardinal de Joyeuse, protecteur de la France au sein du Sacré collège, à qui ces paroles s’adressaient, se leva pour répondre.Sixte-Quint lui demanda de se asseoir et finit par le chasser de la salle.
Le IIIème duc de Guise tenait son art de la guerre de son père, François de Guise, peut-être le plus grand capitaine français du XVIème siècle, compagnon et ami d’Henri II. François avait été pair de France, duc d'Aumale, duc de Guise, marquis de mayenne, baron, puis prince de Joinville, grand chambellan et grand maître de France. C’est François, deuxième duc de Guise, qui fut l’artisan de la reprise de Calais aux Anglais le 6 janvier 1558 – ville que les Anglais occupaient depuis deux siècles - comme il l'avait été de la défense brillante et victorieuse de Metz (1552) contre les 55.000 soldats de Charles-Quint.

Un jour Henri III demanda : Mais que fait donc le duc (Henri) de Guise pour enchanter tout le monde ? Sire, lui fut-il franchement répondu, il fait du bien à un chacun ; où ses bienfaits ne vont pas directement, ils y arrivent par réflexion ; quand il n’a pas l’occasion d’obliger par des effets, il oblige par des paroles ; il n’est point de feste qu’il ne célèbre, point de baptême où il ne soit parrain, point d’enterrement où il n’aille ; il est civil, humain, libéral, il caresse tout le monde, ne parle mal de personne ; en un mot, il a l’éclat et l’autorité du roy ! – La France disait-on, en était folle, et l’on ajoutait car c’était trop peu de de dire, amoureuse (in Charles Cauvin, Vie de François de Lorraine, duc de Guise, surnommé le Grand, publié à Tours, Alfred Mame et fils éditeur,1881).
Que n'eût été la France sous son règne !

Il y a de très fortes probabilités que l'agresseur soit un cerveau programmé par ceux qui ont la possibilité de le faire.
Le but est de véhiculer que la foi est vecteur de haine et de barbarie. Si s'est bien placé dans le calendrier de l'échiquier, cela sert aussi pour d'autres intérêts.

Dans un temps où les réseaux sociaux d'influence assimilent nos messages d'amour et de vie éternelle comme des messages de haine, un grain de sable vient encore de gripper leurs narratifs qu'ils croyaient bien huilé. Comme pour le professeur Raoult, la façon maintenant de contrer, est de sauvagement dénigrer.

D'habitude pour un héros spontané les médias l'encensent à outrance, suivent tous les politiques avec leurs twits élogieux. Là leurs discours de fanatiques religieux est bloqué et ils n'ont pas le désir d'honorer la foi qui habite le héros, se contentant de quelques applaudissements brefs et timorés.

Un vrai héros comme le prophète est solitaire.

Fais le bien et on te reprochera de ne pas être parfait !
Fais le mal et on te trouvera des excuses.
Il n'est pas bon dans ce siècle d'être un héros.
Et si tu reçois une révélation céleste ou le ciel t'envoie comme prophète, même dans ta propre famille, dans ton église et par la plupart de ses bergers tu seras rejeté !

Il existera toujours des persécuteurs pour piéger ta route et affirmer que tu n'es pas parfait en transformant le bien en mal.

@o 5480 Le temps permettra de voir la direction qu'il prendra dans le futur! Je crois à preuve du contraire à la noblesse de son geste !

Pour le reste ça pue le coup monté

Riri arrive :

(drapeau sur la manche)

Le forcené... à gauche, T-shirt noir, à guache au sol T-shirt gris

Riri a un beau T-shirt

Riri avait fait ses emplettes...