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Le Testament de Marie-Antoinette. Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains il y a 220 ans Le 16 octobre 1793, à 4H30 du matin, soit 8 heures avant son exécution …Plus
Le Testament de Marie-Antoinette.

Testament de Marie-Antoinette, reine de France assassinée par les républicains il y a 220 ans

Le 16 octobre 1793, à 4H30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth. Ce sera son testament.
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La vraie Reine de France est la Très Sainte Vierge Marie
Apparition de MARIE, REINE DE FRANCE, le 8 septembre 1914.
La très humble servante de Dieu, Marcelle Lanchon qui reçu le nouveau nom de Marie France en devenant une vierge consacrée dans la Pieuse Union des Adoratrices du Coeur de Jésus pour le règne du Sacré Coeur et pour la France. Monseigneur Roland Gosselin qui a cette époque approuva …Plus
La vraie Reine de France est la Très Sainte Vierge Marie

Apparition de MARIE, REINE DE FRANCE, le 8 septembre 1914.

La très humble servante de Dieu, Marcelle Lanchon qui reçu le nouveau nom de Marie France en devenant une vierge consacrée dans la Pieuse Union des Adoratrices du Coeur de Jésus pour le règne du Sacré Coeur et pour la France. Monseigneur Roland Gosselin qui a cette époque approuva la Pieuse Union des Adoratrices du Coeur de Jésus, permit d'imprimer l'image de Marie, Reine de France, et la prière révélée aux cours des apparitions, prière qu'il indulgencia.

Marie France à l'âme si pure était en prière dans la chapelle De Notre Dame Des Armées qui existe toujours dans la ville de Versailles. On y célèbre encore aujourd'hui la Sainte messe. C'est là dans cette chapelle que Notre bonne Mère du Ciel apparut à cette chère Marie France. La Vierge se présenta à l'humble enfant non pas comme a Lourdes ou comme à la Salette, mais EN REINE TOUTE PUISSANTE et TOUTE BONNE pour lui faire entendre des paroles d'ESPERANCE ET D'AMOUR...

Marie n'a pas oublié le VOEUX DU ROI LOUIS XIII qui lui a CONSACRÉ SON ROYAUME, aussi est-ce en REINE DE FRANCE qu'Elle s'est montrée: Elle avait une robe d'un blanc ivoire; un manteau bleu de roi bordé de cygne avec un col médicis; sur la tête un voile blanc et une couronne d'or ornée de trois fleurs de lis, symbole de la Royauté, celle du milieu un peu plus élevée que les autres; sur la poitrine une petite Croix d'or ornée de diamants et de rubis, mais sa ceinture, au lieu d'être bleu de Ciel comme celle de Notre Dame de LOURDES, était tricolore: le bleu entourait sa taille et retombait un peu de façon à former avec le blanc et le rouge les couleurs du drapeau français. Elle était montée sur une demi-sphère sur laquelle était écrit, un peu a gauche, le mot FRANCE pour signifier que LA FRANCE EST BIEN SON APANAGE, et elle écrasait de son pied virginal un hideux serpent, donnant à entendre que LE MONSTRE S’ÉPUISERAIT EN EFFORTS INUTILES CONTRE CETTE NATION TANT QU'ELLE EN SERAIT LA REINE; mais malgré ses magnifiques habits son visage et tout son maintien respirait la plus grande bonté; elle était encore plus Mère que Reine...

La céleste apparition se montra d'abord à son enfant environnée de nuages, puis L'Immaculée Marie étendit les mains et ouvrit son manteau de manière à rappeler la première phrase de la médaille miraculeuse, laissant voir à ses yeux émerveillés la ceinture tricolore GAGE DE SON AMOUR POUR LA FRANCE, et, joignant la parole au geste, Elle lui dit: « Si en union avec mon Divin Fils, j'aime toutes les nations qu'IL a rachetées de Son Sang, vois comme JE CHÉRIS TOUT PARTICULIÈREMENT TA CHÈRE PATRIE... Mon Fils désire que l'on fasse des images et des statues me représentant ainsi et que l'on m'invoque sous le vocable de NOTRE DAME DE
FRANCE. Si l'on répond à ce nouveau désir de Son Divin Coeur, la FRANCE REDEVIENDRA TOUT PARTICULIÈREMENT MIENNE, JE LA PRENDRAI A JAMAIS SOUS MA MATERNELLE PROTECTION ET MON FILS SE PLAIRA A RÉPANDRE SUR ELLE D’ABONDANTES BÉNÉDICTIONS. »

Puis cette divine Reine levant les yeux et les mains vers le Ciel, dans l'attitude de NOTRE DAME DE LOURDES, dit encore à son heureuse enfant: « PRIONS POUR LA France » et toutes deux prièrent pour la FILLE AÎNÉE DE L'ÉGLISE, SI CRUELLEMENT ÉPROUVÉE. Marie disparut ensuite, la laissant inondée d'une joie que la terre ne saurait comprendre et qui est comme le prélude des joies éternelles.

Pourquoi Marie porte une ceinture bleue, blanc, rouge? C'est le signe visible de la RÉCONCILIATION des Français avec leur passé, afin de construire dans l'unité UN AVENIR RADIEUX. Le 8 septembre 2014, se sera le 100 ème anniversaire de l'apparition à Marie France. Sa tombe sera un jour glorieuse a annoncé le Ciel. Elle se trouve au cimetière Notre Dame 15 rue des missionnaires. Beaucoup de grâces sont obtenues par son intercession.

La Très Sainte Vierge révéla plus tard à Marie-France une prière à réciter: « Mon Fils, pardonnez lui, elle vous aime toujours puisqu'elle n'a jamais cessé de M'aimer »... Et lui a demandé de graver ces divines paroles sur l'image la représentant dans la deuxième phase de l'apparition; pour la première phrase, elle désire qu'on grave ces autres paroles: Vois comme je chéris mon peuple. De plus, cette divine Mère lui a révélé une prière à réciter devant la statue de Notre Dame de France lorsqu'elle serait érigée, la voici: « Ô Marie conçue sans péché, notre bonne Mère qui avez voulu que nous Vous invoquions sous le vocable si consolant à nos coeurs de REINE DE FRANCE, voyez prosternés à Vos pieds vos Sujets malheureux. Ayez pitié de nous, soyez notre Avocate auprès de Votre divin Fils, notre Roi bien aimé. Nous savons que nous l'avons grandement offensé, outragé même, que nous avons méprisé ses commandements, foulé aux pieds les Saintes Lois de Son Eglise; mais nous savons aussi, Ô aimable Souveraine, que Vous êtes toute puissante sur le Coeur de ce Roi d'Amour qui ne demande Lui-même qu'à pardonner; obtenez nous donc cette Paix nationale et individuelle tant désirée de tous, pour la plus grande gloire de Votre cher Fils. Ainsi soit-il! »
Spina Christi 2
Roy-XXIII 16/10/2013 19:19:23
Le 16 octobre 1793
Il y a 220 ans, la F.: M.: assassinait notre Reine
Il y a 220 ans, la FM avait déclaré la guerre au Christ et à Son Eglise !Plus
Roy-XXIII 16/10/2013 19:19:23
Le 16 octobre 1793
Il y a 220 ans, la F.: M.: assassinait notre Reine

Il y a 220 ans, la FM avait déclaré la guerre au Christ et à Son Eglise !
Roy-XXIII
Roy-XXIII
Le 16 octobre 1793, à 4H30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
Ce sera son testament.
«C’est à vous, ma soeur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, …Plus
Le 16 octobre 1793, à 4H30 du matin, soit 8 heures avant son exécution, la Reine rédige sa dernière lettre, à l’adresse de la sœur de Louis XVI, Marie-Elisabeth.
Ce sera son testament.

«C’est à vous, ma soeur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.
Je suis calme comme on l’est quand la conscience ne reproche rien ; j’ai un profond regret d’abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n’existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur. Vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse! J’ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n’ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre ; je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra : recevez pour eus deux ici ma bénédiction. J’espère qu’un jour, lorsqu’ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous, et jouir en entier de vos tendres soins.

Qu’ils pensent tous deux à ce que je n’ai cessé de leur inspirer : que les principes et l’exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie ; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur. Que ma fille sente qu’à l’âge qu’elle a elle doit toujours aider son frère par des conseils que l’expérience qu’elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer; que mon fils, à son tour, rende a sa sœur tous les soins, les services que l’amitié peut inspirer ; qu’ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union. Qu’ils prennent exemple de nous : combien, dans nos malheurs notre amitié nous a donné de consolation; et dans le bonheur on jouit doublement, quand on peut le partager avec un ami ; et où en trouver de plus tendre, de plus cher que dans sa propre famille ? Que mon fils n’oublie jamais, les derniers mots de son père, que je lui répète expressément : » qu’il ne cherche jamais à venger notre mort. »

J’ai à vous parler d’une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine; pardonnez-lui, ma chère sœur ; pensez à l’âge qu’il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu’on veut, et même ce qu’il ne comprend pas : un jour viendra, j’espère, où il ne, sentira que mieux tout le prix de vos bontés et de votre tendresse pour tous deux. Il me reste à vous confier encore, mes dernières pensées; J’aurais voulu les, écrire dès le commencement du procès ; mais outre qu’on ne me laissait pas écrire, la marche en a été si rapide que je n’en aurais réellement pas eu le ténus.

Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; n’ayant aucune consolation spirituelle à attendre, ne sachant pas s’il existe encore ici des prêtres de cette religion, et même le lieu où je suis les exposerait trop, s’ils y entraient une fois, je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j’ai pu commettre depuis que j’existe. J’espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis long-tems pour qu’il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j’aurais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu’ils m’ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J’avais des amis; l’idée d’en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j’emporte en mourant ; qu’ils sachent, du moins, que, jusqu’à mon dernier moment, j’ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfans : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. Adieu, adieu, je ne vais plus m’occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m’amènera peut-être un prêtre ; mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot, et que je le traiterai comme un être absolument étranger.
»