Lois anti-gays en Ouganda?

Le président ougandais,Yoweri Museveni, considérant ce qui se passe dans les démocraties de l'ouest où cet infamie "contre Dieu et nature" qu'est le mariage homo est désormais chose "normale", a fait voté des lois prophylactiques pour empêcher l'expension de la culture de mort dans son pays. Peut-on vraiment le blamer?

Certes partout où les gays sont (vraiment) persécutés, il convient de faire des lois pour les protéger. Personne ne prétend le contraire. En tout cas pas les catholiques. La culture de mort, en revanche, doit être combattue.

L'entrée dans la culture de mort correspond au moment où les homos, pour échapper à un sentiment de culpabilité, essayent d'universaliser leur homosexualité comme si elle était quelque chose de bien.

Le problème avec les gays (et c'est ce qu'a compris le president ougandais), c'est que dès lors qu'on leur accorde une reconnaissance, ils en demandent une autre.

Ainsi juste après la dépénalisation de l'homosexualité en France, ils ont demandé le Pacs. Dès que le Pacs fut accordé, ils ont demandé le mariage. Maintenant que le mariage est accordé, ils demandent l'adoption. Aujourd'hui l'adoption est sur le point d'être acceptée.

Que font les gays? Ils veulent propager cette abominable procréation in vitro. Maintenant que même cela est dans les faits pratiquement accordé, que font-ils? Ils essayent par le biais de leur lobby, d'imposer le lavage de cerveau aux plus jeunes enfants, contre la volonté des parents, par cette infamie contre nature qui est la théorie du genre.

Certes, il convient de noter que le prosélytisme homosexuel le plus virulent est davantage le fruit d'une collusion entre les loges antichrétiennes et les groupes comme "act up, que celui de la simple population homosexuelle. Au fond, les gays, dans une certaine mesure, sont pris en otage par leur propre organisation.

In fine, la seule loi qu'une société saine doit accorder aux gays, sous la condition "sine qua non" qu'ils ne pratiquent aucun prosélytisme, c'est d'empêcher qu'on les persécutent physiquement ou moralement.

Tout autre loi (y compris la légalisation du pacs qui en réalité a été l'erreur fatale) est un premier pas vers la culture de mort et ouvre une espèce de boite de pandore diabolique que plus personne ne peut arrêter. C'est ce qui se passe chez nous.

Par ailleurs les démocraties occidentales où des millions "d'enfants-à-naîtres" sont assassinés chaque année, au lieu de critiquer l'ouganda, feraient mieux de balayer devant leur porte.