natale07
1944

Message de Verdi-Garandieu prêtre damné

"… et pourtant, j'ai été beaucoup moins mauvais que ce qui se fait actuellement avec les prêtres et les jeunes."

Extraits tirés d' “Avertissements de l'Au-delà à l'Eglise contemporaine - Aveux de l'Enfer-” Éditions Jean Marty exorcismes de 1975 à 1978.

Exhortations à revenir à la vie de l’Évangile

L'Abbé Verdi-Garandieu, démon humain, prêtre du diocèse de Tarbes au XVIIème siècle, adresse, par l'entremise de la possédée, ce message pathétique à ses frères dans le Sacerdoce, pour les adjurer – sur l'ordre de la Très Sainte Trinité et de la Vierge Marie – de reprendre la voie étroite de l’Évangile, et leur éviter ainsi de subir à leur tour dans l'Enfer éternel, le sort horrible qui est devenu le sien, à raison de ses infidélités à la grâce.
À la suite de l'exorcisme de Léon XIII, utilisé, dans le cas présent, par le P. Fischer, furent prononcées de nombreuses invocations, dont celle de Saint Vincent Ferrier, le grand missionnaire dominicain espagnol du XIVème – XVème siècle ; il parcourut l'Espagne, l'Italie, la Suisse et la France, où il mourut à Vannes en 1419. Il fut redoutable au démon, auquel il arracha beaucoup d'âmes, par sa vie d'amour et de pénitence, et ses prédications enflammées.


p196 En somme: Saint Vincent Ferrier, un modèle à imiter ; l'Abbé Verdi-Garandieu, un exemple à ne pas suivre. Le démon va parler pendant près de deux heures et demie d'affilée. Nous reproduisons ici le texte de ses adjurations, sur l'ordre du Ciel, aux prêtres de notre temps. Verdi-Garandieu, après avoir fait remarquer que, lui aussi, est devenu «un démon parmi les démons», se met aussitôt à crier, en disant : Quelle sottise j'ai faite de ne pas correspondre à la grâce, de mener la vie que j'ai menée ! Puis, en poussant des cris lamentables, il s'écrie, faisant se dresser la possédée : Pourquoi me suis-je laissé aller ainsi, mais pourquoi ? Pourquoi ai-je accepté de recevoir le sacerdoce, cette charge très lourde, puisque je n'étais pas capable, si je ne me mettais pas en peine de m'élever à la hauteur de ce grand idéal ? Pourquoi ai-je donné le mauvais exemple, comme le font aujourd'hui des milliers et des milliers de prêtres, en ne correspondant pas à mon sacerdoce. Pourquoi n'ai-je pas enseigné le catéchisme, comme j'aurais dû le faire ? J'ai passé mon temps à regarder les robes des femmes plutôt qu'à observer les commandements de Dieu. En vérité, je n'étais ni chaud ni froid, j'étais tiède, et le Seigneur m'a vomi de sa bouche. Dans ma jeunesse, j'étais encore bon, j'ai encore correspondu à la grâce.
p 197 Au commencement, je me confessais encore, je voulais me convertir mais je n'ai pas réussi parce que je ne savais plus suffisamment prier. Si les prêtres ne se reprennent pas de nos jours, eh bien ! Ils connaîtront le même sort que moi. Actuellement, il y a dans le monde des milliers, des dizaines de milliers de prêtres qui sont comme moi, qui donnent le mauvais exemple, qui sont tièdes et qui ne correspondent plus à la grâce de Dieu.

p 198 Évêques, Cardinaux et Abbés ne donnent pas un meilleur exemple que celui donné par leurs subordonnés.

p 199 Pendant longtemps, j'avais bien l'intention de devenir un bon prêtre; mais il faut remarquer que les prêtres sont attaqués par nous bien plus que les laïques. Certes, les laïques sont aussi en danger, surtout ceux qui s'efforcent d'être des justes, et ceux qui ont une charge importante. Mais, comme le prêtre a une très grande puissance de bénédiction, nous attaquons de préférence le prêtre, d'abord lui.
Et puis, avec le temps, j'ai trouvé cela monotone et, oubliant la prière, j'ai oublié aussi le célibat. J'ai supprimé la prière, d'abord parce que je me croyais très occupé, et puis, d'autres jours, je la reprenais, et puis, finalement, je l'ai complètement abandonnée. Je pensais que ces longues prières du bréviaire étaient fastidieuses, inutiles, et, finalement, j'ai perdu le goût de la prière. Quand j'ai supprimé le bréviaire, je suis tombé dans le péché d'impureté et, dès ce moment-là, je n'avais plus de goût à dire la messe. Ce fut un enchaînement de réactions. La vue des commandements de Dieu, m'était devenue un reproche. C'était là un avertissement pour moi et, parce que je ne tenais pas compte de l'avertissement, je prenais la résolution de ne pas enseigner les enfants comme j'aurais dû les enseigner. Comment aurais-je pu leur apprendre le bien, si moi-même je ne le pratiquais pas ? Mais ceux qui, aujourd'hui, s'appellent humanistes et modernistes, savent bien cela, comme moi-même.

p 201 À quoi cela sert-il de célébrer la messe face au peuple, et de dire aux gens : «Approchez ! Dieu vous pardonne tous vos péchés, Il vous comprend. Approchez du Père des lumières; et si vous êtes dans les ténèbres, il vous remettra de nouveau dans la grâce». Tous ceux-là oublient qu'il faut faire quelque chose auparavant, afin que le Père vous reprenne dans ses bras et vous remette dans sa grâce. C'est vrai que le Père reprend ses enfants dans ses bras, mais auparavant, il faut le repentir et la promesse de changer de direction de vie. Il faut éviter les chemins qui mènent à la perdition.

p 202 On devrait plutôt se préoccuper du haut de la chaire d'amener les fidèles: à prier pour tel ou tel qui se trouve en grande difficulté spirituelle, et donc en grand danger.

p203 … … Ceci, d'autant plus que les laïques sont, de nos jours, détournés de la voie droite par les prêtres eux-mêmes, qui leur disent que ce qui se faisait précédemment est aujourd'hui mis au rencart. Parmi eux tous (prêtres et laïques), il y en avait qui pratiquaient une grande vertu, puis, brusquement, ils ont sombré, parce qu'ils n'étaient pas suffisamment enracinés dans la terre, dans la bonne terre.

p 204 Il faut dire aux pauvres qu'ils doivent remercier le Seigneur du sort dans lequel Il les a placés, parce que cette pauvreté acceptée peut les aider davantage à imiter Jésus-Christ.
L'avortement est un meurtre et, par conséquent, un très grave péché. De nos jours, on ne veut plus tenir pour vrai, ce qui a été cru des milliers et des milliers de siècles auparavant. Alors, même si Dieu ne punit pas directement l'onanisme, comme il a puni le crime d'Onan, notre Dieu considère les moyens anticonceptionnels comme aussi graves que ce qui s'est fait. Vous imaginez alors ce qu'Il peut penser de l'avortement ! Parce que tous ces méfaits sont contraires au Plan du Salut pensé par Dieu.

p 205 Voilà ce que moi, Verdi-Garandieu, je suis obligé de dire : c'est que les prêtres doivent éviter le contact habituel des femmes et doivent réciter le bréviaire complet. En réalité si les prêtres ne disent pas le bréviaire, ils se trouvent en très grand danger de succomber à la tentation ; par contre, s'ils le récitent, c'est le Très-Haut qui les aide à la surmonter, parce que les prêtres sont soumis à de grosses tentations à ce sujet. Il est à remarquer que, même lorsque le prêtre tombe dans le péché et, malgré cela, récite son bréviaire, le Très-Haut lui donne la possibilité de continuer son ministère et d'être un instrument profitable pour les fidèles.

p 206 Est-ce pratiquer réellement l'amour à l'égard de Dieu que de célébrer la messe face au peuple, comme si elle s'adressait au peuple et non pas à Dieu?

… ...les prêtres prêchent beaucoup trop sur les choses de la vie courante; et sur l'amour du prochain, en général ou en particulier, oubliant que c'est l'amour de Dieu qui mène au véritable amour du prochain et à la vraie pratique de la charité. Cette manière de faire et d'agir permettrait, par la pratique du renoncement et de la pénitence, le salut de milliers et de milliers d'âmes, si on s'y mettait vraiment. Tant d'âmes tombent comme flocons de neige, en enfer, comme l'ont souvent rappelé les âmes privilégiées.

Pour des milliers et des milliers de fidèles, les sermons actuels dans les Églises sont des occasions de demeurer flasques au service du Seigneur.

p 207 Si les Évêques, les prêtres et les Abbés avaient vécu suivant les règles fixées par le Seigneur, vous n'auriez pas cette catastrophe que, maintenant, vous voyez à Rome.

Si les prêtres prenaient leur bréviaire et se nourrissaient de la doctrine des Docteurs de l'Église qui ont, par la prière, une si grande expérience de l'homme, les choses iraient différemment pour eux; tandis que, s'ils ne le font pas, ils appartiennent à ces milliers et ces milliers de prêtres qui, actuellement, vivent dans le péché mortel. Des milliers de prêtres vivent hors de la grâce et ils ne disent plus le bréviaire, comme je faisais moi-même.
… et pourtant, j'ai été beaucoup moins mauvais que ce qui se fait actuellement avec les prêtres et les jeunes.

p 208
Autrefois, les femmes dans l'Église, avaient la tête couverte. De nos jours, ça ne se fait plus. Alors, pourquoi tourner l'autel devant le peuple ? Moi, Verdi-Garandieu, je disais la messe, le dos tourné au peuple, et quand même j'ai été séduit par les femmes ; les prêtres actuels, avec la messe tournée vers le peuple, ont plus de tentations que jamais.
… l'on s'amuse à accommoder l’Évangile à son propre goût.

Souvent, le Bon Dieu aimerait qu'on soit capable de lui dire : «J'accepte les souffrances que vous m'enverrez. Donnez-moi la grâce de les supporter, pour la conversion de celui-ci ou celui-là». Mais on constate plutôt que, lorsque le Seigneur envoie des souffrances, très souvent les chrétiens les repoussent avec horreur et de toutes leurs forces. L'homme fait trop souvent son possible pour éviter de souffrir. Ce serait aux prêtres à vivre ces façons de voir et à les prêcher aux fidèles

Aussi lancinantes que soient certaines souffrances, à les unir à celles du Christ, elles permettent encore la sanctification et la réparation pour les péchés des autres. Je pense à toutes les souffrances qui sont quelquefois inhérentes à l'état de mariage et que l'on refuse, dans l'espérance qu'un jour, peut-être, on pourra se séparer de son partenaire; et pourtant, si elle était supportée, cette souffrance effectuerait de grandes réparations.

p 209 Si le Christ revenait parmi nous, il y aurait des milliers et des milliers de gens qui, encore, le considéreraient comme un révolté et comme un fou.

p 210 C'est un véritable état tragique que vous vivez actuellement dans l'Église catholique. Cela va depuis les prêtres jusqu'aux Cardinaux de Rome.

C'est ce qu'il faudrait dire aux prêtres, en face, mais d'une manière qui respecte les voies de la psychologie et qui démontre qu'on ne cherche que leur bien. Il ne s'agit pas de leur dire qu'ils sont mauvais, mais de se servir de la psychologie, pour les amener, d'eux-mêmes, à faire marche arrière.

p 211 Il devrait y avoir une grande distance entre un prêtre et un laïque. Le Très-Haut a toujours voulu cela, parce que le prêtre est un trésor de bénédictions.

C'est une chose qu'il faudrait enseigner dès la tendre enfance. Les enfants,
même très jeunes, doivent être conduits dans les Églises, de telle manière que, en passant devant le Tabernacle, on les habitue à s'agenouiller avec la plus grande dévotion; qu'on les aide à adorer le Très Saint-Sacrement en prononçant des prières, comme celle-ci : «Loué, adoré soit le Très Saint-Sacrement de l'autel». Les enfants seraient alors invités, à invoquer les Saints Anges, pour qu'ils les aident à louer la Majesté divine et la grandeur de la Très Sainte Trinité, dans le plus haut des Cieux.

p 212 Si les prêtres ne le font plus, au moins les parents devraient-ils le faire à l'égard de leurs enfants. La charité à la mode maçonnique sent le pourri….

Pratiquer l'amour du prochain, c'est amener le prochain sur la voie droite.

p 213 Hélas ! des milliers de prêtres, dirigés par leurs Évêques et Cardinaux, ont imposé à l'Église cette façon de vivre la charité; ce faisant, ils ont aplati cette vertu d'une manière qui n'est pas du tout celle dont Dieu a décidé qu'elle serait. C'est parce que le vrai amour du prochain ne se présente jamais sans le souci de l'âme du prochain, que le faire souffrir, en lui disant, en lui montrant la vérité, c'est aussi pratiquer l'amour du prochain. Plus tard, il reconnaîtra que c'était, en effet, la vraie médecine. Le prêtre, du haut de la chaire, devrait user, dans son langage, du bâton et de mots très résolus, parce que la justice existe dans l'éternité; et parce que l'enfer existe, dont ils ne parlent jamais plus, puisqu'ils n'y croient plus. Ils ne croient plus même au Ciel, dans sa suprême réalité. S'ils y croyaient, ils ne conduiraient pas dans l'erreur des milliers de gens, qu'ils devraient conduire vers le Ciel. À quel genre de prêtres avons-nous affaire aujourd'hui ? Moi-même, je n'ai pas parlé jadis aussi platement qu'ils parlent aujourd'hui.

p 214 … ils appelleraient à leurs secours tous les Saints et les Anges, afin qu'ils les aident à retrouver le vrai chemin, parce que, dans l'éternité de l'enfer, le feu est continu, et le ver vous ronge l'âme pour toujours. Cette douleur immense, cette tragédie horrible de l'enfer, dure pour l'éternité et, moi, Garandieu, je suis obligé de dire cela.

p 232 D : Il n’y a que très peu de gens qui prient leur Ange gardien et encore bien moins ceux qui prient l’Ange du jour parce qu’ils ne le connaissent même pas; il y en a très peu qui prient les Anges, les chœurs des Anges et les Anges de l’univers, voilà ce que je devais vous dire. C’est pourquoi vous ne devriez pas vous étonner s’il y a tant de malheurs qui arrivent aux hommes, tant d’accidents, de tremblements de terre, tant d’animaux qui meurent, de catastrophes, d’inondations, d’incendies et toute chose du même genre.

p 234 ... que l'on perd des quantités incalculables de grâces quand on n'invoque pas les Anges et les Saints du jour. Chaque fois qu'il célèbre la Messe, tout prêtre devrait s'adresser aux fidèles, avant de commencer, et leur dire à haute voix, avant de se rendre à l'autel : "nous célébrons aujourd'hui la fête de tel Ange et de tel Saint ou de tel martyr."

p 237 Mais je dois dire que c'est une erreur de ne pas propager cette doctrine ou ces révélations partout.

C’est pourquoi, je ne voulais pas parler. Ce sont des vérités d’une valeur inestimable, que je hais parce qu’elles nous font beaucoup de mal, à nous qui sommes en Enfer
Remerciez le TRÈS-HAUT et ne reculez devant aucun sacrifice ni aucune peine pour faire connaître cela, même si vous deviez être l’objet de malversations ou devenir la risée de tout le monde.

p 246 Le Ciel n'aime pas non plus que l'on incinère les corps. Après l'incinération du corps, il n'en reste plus grand chose. Il n'est plus possible, de ce fait, d'accompagner le corps à l'Église ou au cimetière. Il ne reste plus qu'un peu de poussière et de cendre.

Le TRÈS-HAUT ne veut pas de l'incinération des corps.
catherine flavigny partage ceci
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Marie Ha
Merci beaucoup de publier ce précieux message