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Arnaud Dumouch et l'adultère, la contraception, la FIV et le Salut facile. Monsieur Arnaud Dumouch, professeur de religion en Belgique, enseigne (sur son site publicain1.free.fr ; Gloria.TV : titre …Plus
Arnaud Dumouch et l'adultère, la contraception, la FIV et le Salut facile.

Monsieur Arnaud Dumouch, professeur de religion en Belgique, enseigne (sur son site publicain1.free.fr ; Gloria.TV : titre Mariage12 l'Eglise et le divorce]) que l'Église catholique propose aux personnes mariées, abandonnées par leur conjoint sans faute de leur part, et qui se sont remariées civilement, de continuer à vivre leur adultère sous le couvert d'une pseudo humilité, ou spiritualité dite du publicain (Lc 18.9-14).

Le publicain de la parabole, se tenant au fond du Temple par humilité, se frappait la poitrine de componction, et fut finalement justifié par Dieu. A.D. invite les personnes dites divorcées remariées à imiter cette attitude extérieure de pénitence, c'est à dire se reconnaître pécheresses, à rester au fond des églises, sans jamais communier, mais sans pour autant cesser de pécher sexuellement.

AD dit, textuellement : « Le publicain ne peut pas ne pas pécher ». Or, cela est totalement faux. Car collecter des impôts, même pour l'occupant romain, ce qui était l'office du publicain, n'est pas en soi un péché (Lc 3.12-13). Ce qui était un péché était de profiter de sa situation pour voler. Si le publicain a été justifié, ce n'est pas seulement comme veut le croire A.D. parce qu'il s'est reconnu pécheur, mais aussi parce qu'il a pris la décision de ne plus pécher (Lc 19.1-10 ; Jn 8.11) et de rendre ce qu'il avait volé.

La bonne nouvelle que n'annonce pas Arnaud Dumouch, c'est que les personnes abandonnées par leur conjoint, ne sont pas condamnées à commettre l'adultère. Le sacrement du mariage est justement là pour leur en donner la grâce, pour peu qu'elles aient la foi.

AD, accommodant péché et sainteté, enseigne la voie large et spacieuse de la perdition (Mt 7.13-14). D'ailleurs, s'il avait raison, on ne voit pas comment la fidélité pourrait être glorifiée et la miséricorde s'exercer en faveur du conjoint infidèle revenant demander pardon et trouvant le lit conjugal occupé par un remariage ? (CEC n°1646 à 1650)...

Bref, si la fidélité conjugale est capitale aussi bien pour le salut des époux que pour celui de la société qui en dépend directement, il n'y a rien d'étonnant à ce que la doctrine irréformable de l'Église sur l'indissolubilité du mariage, pour laquelle saint Jean-Baptiste a donné sa vie (Mc 6.17-29), soit l'objet d'attaques incessantes et jusqu'au sein même des paroisses. J'ai moi-même eu à subir la persécution à plusieurs reprises pour l'avoir défendue.

Une nouvelle fois, j'avertis M. Dumouch du devoir moral pesant sur lui de réparer le péché de scandale causé par son enseignement.
signifer sanctus Michael
La fidélité de l’amour conjugal (CEC)
1646 L’amour conjugal exige des époux, de par sa nature même, une fidélité inviolable. Ceci est la conséquence du don d’eux-mêmes que se font l’un à l’autre les époux. L’amour veut être définitif. Il ne peut être " jusqu’à nouvel ordre ". " Cette union intime, don réciproque de deux personnes, non moins que le bien des enfants, exigent l’entière …Plus
La fidélité de l’amour conjugal (CEC)

1646 L’amour conjugal exige des époux, de par sa nature même, une fidélité inviolable. Ceci est la conséquence du don d’eux-mêmes que se font l’un à l’autre les époux. L’amour veut être définitif. Il ne peut être " jusqu’à nouvel ordre ". " Cette union intime, don réciproque de deux personnes, non moins que le bien des enfants, exigent l’entière fidélité des époux et requièrent leur indissoluble unité " (GS 48, § 1).

1647 Le motif le plus profond se trouve dans la fidélité de Dieu à son alliance, du Christ à son Église. Par le sacrement de mariage les époux sont habilités à représenter cette fidélité et à en témoigner. Par le sacrement, l’indissolubilité du mariage reçoit un sens nouveau et plus profond.
signifer sanctus Michael
1648 Il peut paraître difficile, voire impossible, de se lier pour la vie à un être humain. Il est d’autant plus important d’annoncer la bonne nouvelle que Dieu nous aime d’un amour définitif et irrévocable, que les époux ont part à cet amour, qu’il les porte et les soutient, et que par leur fidélité ils peuvent être les témoins de l’amour fidèle de Dieu. Les époux qui, avec la grâce de …Plus
1648 Il peut paraître difficile, voire impossible, de se lier pour la vie à un être humain. Il est d’autant plus important d’annoncer la bonne nouvelle que Dieu nous aime d’un amour définitif et irrévocable, que les époux ont part à cet amour, qu’il les porte et les soutient, et que par leur fidélité ils peuvent être les témoins de l’amour fidèle de Dieu. Les époux qui, avec la grâce de Dieu, donnent ce témoignage, souvent dans des conditions bien difficiles, méritent la gratitude et le soutien de la communauté ecclésiale (cf. FC 20).

1649 Il existe cependant des situations où la cohabitation matrimoniale devient pratiquement impossible pour des raisons très diverses. En de tels cas, l’Église admetla séparation physique des épouxet la fin de la cohabitation. Les époux ne cessent pas d’être mari et femme devant Dieu ; ils ne sont pas libres de contracter une nouvelle union. En cette situation difficile, la solution la meilleure serait, si possible, la réconciliation. La communauté chrétienne est appelée à aider ces personnes à vivre chrétiennement leur situation, dans la fidélité au lien de leur mariage qui reste indissoluble (cf. FC 83 ; ⇒ CIC, can. 1151-1155).
12 autres commentaires de signifer sanctus Michael
signifer sanctus Michael
1650 Nombreux sont aujourd’hui, dans bien des pays, les catholiques qui ont recoursau divorce selon les lois civileset qui contractent civilement une nouvelle union. L’Église maintient, par fidélité à la parole de Jésus Christ (" Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet un adultère à l’égard de la première ; et si une femme répudie son mari et en épouse un autre, elle commet …Plus
1650 Nombreux sont aujourd’hui, dans bien des pays, les catholiques qui ont recoursau divorce selon les lois civileset qui contractent civilement une nouvelle union. L’Église maintient, par fidélité à la parole de Jésus Christ (" Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre, commet un adultère à l’égard de la première ; et si une femme répudie son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère " : Mc 10, 11-12), qu’elle ne peut reconnaître comme valide une nouvelle union, si le premier mariage l’était. Si les divorcés sont remariés civilement, ils se trouvent dans une situation qui contrevient objectivement à la loi de Dieu. Dès lors ils ne peuvent pas accéder à la communion eucharistique, aussi longtemps que persiste cette situation. Pour la même raison ils ne peuvent pas exercer certaines responsabilités ecclésiales. La réconciliation par le sacrement de pénitence ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’Alliance et de la fidélité au Christ, et se sont engagés à vivre dans une continence complète.
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1651 A l’égard des chrétiens qui vivent en cette situation et qui souvent gardent la foi et désirent élever chrétiennement leurs enfants, les prêtres et toute la communauté doivent faire preuve d’une sollicitude attentive, afin qu’ils ne se considèrent pas comme séparés de l’Église, à la vie de laquelle ils peuvent et doivent participer en tant que baptisés :
On les invitera à écouter la …Plus
1651 A l’égard des chrétiens qui vivent en cette situation et qui souvent gardent la foi et désirent élever chrétiennement leurs enfants, les prêtres et toute la communauté doivent faire preuve d’une sollicitude attentive, afin qu’ils ne se considèrent pas comme séparés de l’Église, à la vie de laquelle ils peuvent et doivent participer en tant que baptisés :

On les invitera à écouter la Parole de Dieu, à assister au Sacrifice de la messe, à persévérer dans la prière, à apporter leur contribution aux œuvres de charité et aux initiatives de la communauté en faveur de la justice, à élever leurs enfants dans la foi chrétienne, à cultiver l’esprit de pénitence et à en accomplir les actes, afin d’implorer, jour après jour, la grâce de Dieu (FC 84).
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1024 Cette vie parfaite avec la Très Sainte Trinité, cette communion de vie et d’amour avec Elle, avec la Vierge Marie, les anges et tous les bienheureux est appelée " le ciel ". Le ciel est la fin ultime et la réalisation des aspirations les plus profondes de l’homme, l’état de bonheur suprême et définitif.
1025 Vivre au ciel c’est " être avec le Christ " (cf. Jn 14, 3 ; Ph 1, 23 ; 1 Th 4, …Plus
1024 Cette vie parfaite avec la Très Sainte Trinité, cette communion de vie et d’amour avec Elle, avec la Vierge Marie, les anges et tous les bienheureux est appelée " le ciel ". Le ciel est la fin ultime et la réalisation des aspirations les plus profondes de l’homme, l’état de bonheur suprême et définitif.

1025 Vivre au ciel c’est " être avec le Christ " (cf. Jn 14, 3 ; Ph 1, 23 ; 1 Th 4, 17). Les élus vivent " en Lui ", mais ils y gardent, mieux, ils y trouvent leur vraie identité, leur propre nom (cf. Ap 2, 17) :

Car la vie c’est d’être avec le Christ : là où est le Christ, là est la vie, là est le royaume. (S. Ambroise, Luc. 10, 121: PL 15, 1834A).
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1023 Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, et qui sont parfaitement purifiées, vivent pour toujours avec le Christ. Ils sont pour toujours semblables à Dieu, parce qu’ils le voient " tel qu’il est " (1 Jn 3, 2), face à face (cf. 1 Co 13, 12 ; Ap 22, 4) :
De notre autorité apostolique nous définissons que, d’après la disposition générale de Dieu, les âmes de tous les saints (..…Plus
1023 Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, et qui sont parfaitement purifiées, vivent pour toujours avec le Christ. Ils sont pour toujours semblables à Dieu, parce qu’ils le voient " tel qu’il est " (1 Jn 3, 2), face à face (cf. 1 Co 13, 12 ; Ap 22, 4) :

De notre autorité apostolique nous définissons que, d’après la disposition générale de Dieu, les âmes de tous les saints (...) et de tous les autres fidèles morts après avoir reçu le saint Baptême du Christ, en qui il n’y a rien eu à purifier lorsqu’ils sont morts, (...) ou encore, s’il y a eu ou qu’il y a quelque chose à purifier, lorsque, après leur mort, elles auront achevé de le faire, (...) avant même la résurrection dans leur corps et le Jugement général, et cela depuis l’Ascension du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ au ciel, ont été, sont et seront au ciel, au Royaume des cieux et au Paradis céleste avec le Christ, admis dans la société des saints anges. Depuis la passion et la mort de notre Seigneur Jésus-Christ, elles ont vu et voient l’essence divine d’une vision intuitive et même face à face, sans la médiation d’aucune créature (Benoît XII : DS 1000 ; cf. LG 49).
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1022 Chaque homme reçoit dans son âme immortelle sa rétribution éternelle dès sa mort en un jugement particulier qui réfère sa vie au Christ, soit à travers une purification (cf. Cc. Lyon : DS 857-858 ; Cc. Florence : DS 1304-1306 ; Cc. Trente : DS 1820), soit pour entrer immédiatement dans la béatitude du ciel (cf. Benoît XII : DS 1000-1001 ; Jean XXII : DS 990), soit pour se damner …Plus
1022 Chaque homme reçoit dans son âme immortelle sa rétribution éternelle dès sa mort en un jugement particulier qui réfère sa vie au Christ, soit à travers une purification (cf. Cc. Lyon : DS 857-858 ; Cc. Florence : DS 1304-1306 ; Cc. Trente : DS 1820), soit pour entrer immédiatement dans la béatitude du ciel (cf. Benoît XII : DS 1000-1001 ; Jean XXII : DS 990), soit pour se damner immédiatement pour toujours (cf. Benoît XII : DS 1002).

Au soir de notre vie, nous serons jugés sur l’amour (S. Jean de la Croix, dichos 64)
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Le jugement particulier CEC 1021
1021 La mort met fin à la vie de l’homme comme temps ouvert à l’accueil ou au rejet de la grâce divine manifestée dans le Christ (cf. 2 Tm 1, 9-10). Le Nouveau Testament parle du jugement principalement dans la perspective de la rencontre finale avec le Christ dans son second avènement, mais il affirme aussi à plusieurs reprises la rétribution immédiate après …Plus
Le jugement particulier CEC 1021

1021 La mort met fin à la vie de l’homme comme temps ouvert à l’accueil ou au rejet de la grâce divine manifestée dans le Christ (cf. 2 Tm 1, 9-10). Le Nouveau Testament parle du jugement principalement dans la perspective de la rencontre finale avec le Christ dans son second avènement, mais il affirme aussi à plusieurs reprises la rétribution immédiate après la mort de chacun en fonction de ses œuvres et de sa foi. La parabole du pauvre Lazare (cf. Lc 16, 22) et la parole du Christ en Croix au bon larron (cf. Lc 23, 43), ainsi que d’autres textes du Nouveau Testament (cf. 2 Co 5, 8 ; Ph 1, 23 ; He 9, 27 ; 12, 23) parlent d’une destinée ultime de l’âme (cf. Mt 16, 26) qui peut être différente pour les unes et pour les autres.
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A. Dumouch mérite certainement la même condamnation que l'hérétique Jean Wyclif (1328-1384) condamné en 1368 pour cette affirmation : « Toute personne sur terre, tant adulte que non adulte, musulman, juif et païen, même mort dans le sein maternel, aura une claire vision de Dieu avant sa mort, vision par laquelle il aura le libre choix de se convertir à Dieu ou de s'en détourner.» (L'ami du clergé …Plus
A. Dumouch mérite certainement la même condamnation que l'hérétique Jean Wyclif (1328-1384) condamné en 1368 pour cette affirmation : « Toute personne sur terre, tant adulte que non adulte, musulman, juif et païen, même mort dans le sein maternel, aura une claire vision de Dieu avant sa mort, vision par laquelle il aura le libre choix de se convertir à Dieu ou de s'en détourner.» (L'ami du clergé, 1932, p.133 ; JesusMarie.com, Enfer).
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A. Dumouch croit encore trouver dans le Petit Journal de Sainte Faustine (n°809) un argument justifiant sa foi en une grâce particulière donnée à l'heure de la mort. Mais Sainte Faustine n'y fait là pas autre chose que de témoigner de l'importance de la prière pour les agonisants ! Elle n'enseigne pas qu'une dernière chance de salut serait systématiquement offerte à tous par la venue de Jésus …Plus
A. Dumouch croit encore trouver dans le Petit Journal de Sainte Faustine (n°809) un argument justifiant sa foi en une grâce particulière donnée à l'heure de la mort. Mais Sainte Faustine n'y fait là pas autre chose que de témoigner de l'importance de la prière pour les agonisants ! Elle n'enseigne pas qu'une dernière chance de salut serait systématiquement offerte à tous par la venue de Jésus en gloire ! Si Dieu peut, certes, jusqu'au dernier moment, faire des miracles de miséricorde, ceux-ci cependant, comme tout miracle, demeurent exceptionnels, et ne peuvent donc pas être présentés comme la norme de l'agir divin. La grave erreur de A. Dumouch est de croire et de prêcher que systématiquement les âmes bénéficieraient d'une telle grâce durant leur mort, ce qui rendrait non seulement inutile la prière pour les agonisants, mais encore stupide la recommandation du Christ de veiller pour ne pas mourir en état dans le péché mortel, car un seul suffit pour se damner (Catéchisme de l'Église Catholique, N°1033, 1035, 1037)
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A. Dumouch croit pouvoir mettre au service de sa théorie (p.36) le texte conciliaire suivant : « Puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l'homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l'Esprit Saint offre à tous, d'une façon que Dieu connaît, la possibilité d'être associé au mystère pascal. » (Vatican II, Gaudium et Spes n° 22,5). Non seulement …Plus
A. Dumouch croit pouvoir mettre au service de sa théorie (p.36) le texte conciliaire suivant : « Puisque le Christ est mort pour tous et que la vocation dernière de l'homme est réellement unique, à savoir divine, nous devons tenir que l'Esprit Saint offre à tous, d'une façon que Dieu connaît, la possibilité d'être associé au mystère pascal. » (Vatican II, Gaudium et Spes n° 22,5). Non seulement rien ne permet de ne pas comprendre que ce texte concerne toute la vie de l'homme, et pas seulement le moment de sa mort, mais surtout, par l'énoncé « d'une façon que Dieu connaît », l'Église exprime son ignorance de la voie par laquelle certains sont sauvés en dehors des voies ordinaires du salut instituées par Notre Seigneur. Il est donc illusoire (2 Jn 9) et présomptueux de prétendre connaître la façon dont le salut est communiqué à ces âmes-là.
signifer sanctus Michael
L'arbre tombe du côté où il penche... On meurt généralement comme on a vécu... C'est ce que Dieu le Père révèle à sainte Catherine de Sienne : « Je veux que tu saches ce qui arrive, au moment de la mort à ceux qui se sont mis pendant leur vie sous la domination du Démon. Ce n'est pas par contrainte, car nul ne peut les y forcer, c'est volontairement qu'ils se sont livrés eux-mêmes entre ses …Plus
L'arbre tombe du côté où il penche... On meurt généralement comme on a vécu... C'est ce que Dieu le Père révèle à sainte Catherine de Sienne : « Je veux que tu saches ce qui arrive, au moment de la mort à ceux qui se sont mis pendant leur vie sous la domination du Démon. Ce n'est pas par contrainte, car nul ne peut les y forcer, c'est volontairement qu'ils se sont livrés eux-mêmes entre ses mains et qu'ils ont porté jusqu'aux approches de la mort, le joug honteux de son esclavage. À ces derniers instants ils n'ont pas besoin d'un jugement étranger, leur conscience est à eux-mêmes leur propre juge, et c'est en désespérés qu'ils se jettent dans l'éternelle damnation ! Aux portes de la mort, ils se cramponnent à l'Enfer par la haine, avant même d'y pénétrer. » (Sainte Catherine de Sienne, Dialogues, Téqui, 1976, T.1, p. 144s,124s.). A l'encontre donc de ce qu'enseigne A.Dumouch (L'heure de la mort, Éditions Docteur angélique, 2011, p.54,75,139-140, 170,180) il n'y a pas de condition ni de chance nouvelle donnée dans la mort, et encore moins après (p.69) ! Le salut se joue dans cette vie, et la mort n'est pas un état de grâce particulier qui permettrait de se convertir, comme ose l'enseigner A. Dumouch (p.50) !
signifer sanctus Michael
Du sens donné à la mort dépend celui de notre existence. Qu'y a t-il après la mort ? Devrons-nous rendre compte de l'usage de notre liberté, du bien et du mal que nous aurons librement accomplis ? A ces questions, certains, tel A. Dumouch, enseignent que la mort n'est pas la fin de la vie mais « un passage » (eschatologie.free.fr/livres/heuremort.htm), un passage suffisamment long pour être une …Plus
Du sens donné à la mort dépend celui de notre existence. Qu'y a t-il après la mort ? Devrons-nous rendre compte de l'usage de notre liberté, du bien et du mal que nous aurons librement accomplis ? A ces questions, certains, tel A. Dumouch, enseignent que la mort n'est pas la fin de la vie mais « un passage » (eschatologie.free.fr/livres/heuremort.htm), un passage suffisamment long pour être une nouvelle condition de l'âme lui permettant alors et alors seulement de choisir en « toute lucidité et liberté » son destin éternel. Or l'âme n'existe pas sans son passé. Il est donc vain d'imaginer un temps où l'âme serait « chimiquement » pure de tout ce qui pourrait la déterminer à faire le mauvais choix. L'arbre tombe du côté où il penche... On meurt généralement comme on a vécu... C'est ce que Dieu le Père révèle à sainte Catherine de Sienne...