steack
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La bible sédévacantiste est une fraude.

Mystère d’iniquité est l’ouvrage non signé par lequel des sédévacantistes présentent leurs théories afin d’attirer les lecteurs mal formés dans leurs différentes sectes hérétiques. C'est une sorte de bible pour sédévacantiste, ou plutôt un catéchisme.
A longueur d’ouvrage, on veut démontrer que le pape serait toujours infaillible, alors que Vatican I enseigne le contraire, en s’appuyant sur des textes concernant l’infaillibilité de..... l’Eglise. Or les deux objets théologiques sont parfaitement distincts. L'Eglise est toujours infaillible, le pape rarement.
Mais bien pire ! On s’adonne à la fraude intellectuelle en plaçant des citations dans des contextes qui leur sont étrangers.

J'invite chacun à lire partiellement ce brulot, en commençant par ce qui est dit du Bref Saepenumero considerantes de Léon XIII. Et ensuite de lire le réel contexte de la citation frauduleusement insérée dans un contexte qui n'est pas celui de Léon XIII.
En jaune ce qui précède l’extrait de la citation du Bref de Léon XIII

Cet extrait du bref et son contexte d'histoire de l'Italie sont consultables en page 2 de ce document : quicumque.com/…uploads/2021/06/bref-saepenumero-considerantes.pdf :

"Aussi convenait-il à ceux qui, par toutes sortes d’efforts, ont assailli la Papauté, de ne pas épargner l’histoire, témoin de ces grandes choses. Et certes, ils ont entrepris d’attenter à son intégrité, et avec un art et une perversion tels que les armes les plus propres à repousser l’injuste agression, sont devenues des traits offensifs."
C’est le genre d’attaque adopté, il y a trois siècles, par les Centuriateurs de Magdebourg. Comme, en effet, les auteurs et fauteurs des opinions nouvelles n’avaient pu abattre les remparts de la doctrine catholique, par une nouvelle stratégie, ils poussèrent l’Église dans les discussions historiques. L’exemple des Centuriateurs fut renouvelé par la plupart des écoles en révolte contre l’ancienne doctrine, et suivi, ce qui est d’autant plus malheureux, par plusieurs catholiques de religion et italiens de natio
n."

Et voici dans quel contexte dogmatique ces faussaires l'ont placé dans leur page 63 : Source : Mystère d’iniquité - Enquête théologique, historiq… :

« Que des Papes aient erré dans la foi est une fable calomnieuse, inventée au XVIe siècle par un groupe d'historiens protestants appelés "centuriateurs de Magdebourg. Leurs mensonges furent repris par les gallicans, puis par les anti-infaillibilistes du XIXe siècle. » « C'est le genre d'attaque adopté, il y a trois siècles, par les "centuriateurs de Magdebourg". Comme, en effet, les auteurs et fauteurs des opinions nouvelles n'avaient pu abattre les remparts de la doctrine catholique, par une nouvelle stratégie, ils poussèrent l'Église dans les discussions historiques. L'exemple des centuriateurs fut renouvelé par la plupart des écoles en révolte contre l'ancienne doctrine, et suivi, ce qui est d'autant plus malheureux, par plusieurs catholiques [...]. On se mit à scruter les moindres vestiges d'antiquités ; à fouiller partout les recoins des archives ; à remettre en lumière des fables futiles, à répéter cent fois des impostures cent fois réfutées. [...] Parmi les plus grands Pontifes, même ceux d'une vertu éminente ont été accusés et flétris [...]. Les mêmes trames ont cours aujourd'hui ; et certes, plus que jamais, on peut dire en ce temps-ci que l'art de l'historien paraît être une conspiration contre la vérité." (S.S. Léon XIII : Bref Saepenumero considerantes, 18 août 1883). » (Cf. Mystère d'iniquité).

Ce qui fait que les adeptes non avertis, qui font confiance a priori dans ces faussaires, deviennent à ce point dingos qu'ils opposent des "sosies" ou des "grecs" pour rester dans le déni du réel et de l'histoire, ou se disent partisans de l'infaillibilité permanente tout en reniant le catéchisme d'un saint pape qu'ils pensent secrètement hérétique. 🤪 🤪 🥴 🥴

Le procédé est éminemment malhonnête mais c'est ce qui reste aux sédévacantistes pour colporter leurs fables. (2Tim 4-2)

@Bénédicte LIOGIER ; @Hélène33 ; @AveMaria44 ; @Arthur De la Baure ; @Ave dola solfa fasol lasisol @rpal73 @Lucas Lucatho95 Benoit Goni@jean-yves macron@Joseph-Marie@apvs@rex marie turmelière o 5480@Ludovic 2Nîm@Lapua Ack Imp@la verdad prevalece@Etienne bis@blanche52@jili22 @Verminator @patrick cohen @Bénédicte LIOGIER ; @Hélène33 ; @AveMaria44 ; @Arthur De la Baure ; @Ave dola solfa fasol lasisol @rpal73 @Catholique et Français@cristiada.cristeros@Lucas Lucatho95 Benoit Goni@jean-yves macron@Joseph-Marie@apvs@rex marie turmelière
@Claudius Cartapus@o 5480@Ludovic 2Nîm@Lapua Ack Imp@Paul1977@la verdad prevalece@Etienne bis@blanche52@Grosminet@jili22@Titus Mobi @Verminator@Dieu et le Roi@michel Canton@philippelillou
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Joseph-Marie
Sur le Livre Mystère d'iniquité
Le livre Mystère d'iniquité, d'une grande richesse documentaire et approuvé par l'imprimatur d'un évêque catholique, dévoile les pièges des ennemis très rusés qui, par leur « haute vente », ont réussi à infiltrer Vatican et les diocèses, des vrais loups sataniques et ravisseurs, qui se cachent sous l'apparence des brebis et d'une fausse piété afin de dévorer …Plus
Sur le Livre Mystère d'iniquité

Le livre Mystère d'iniquité, d'une grande richesse documentaire et approuvé par l'imprimatur d'un évêque catholique, dévoile les pièges des ennemis très rusés qui, par leur « haute vente », ont réussi à infiltrer Vatican et les diocèses, des vrais loups sataniques et ravisseurs, qui se cachent sous l'apparence des brebis et d'une fausse piété afin de dévorer et déchirer le troupeau du Seigneur. Alors c'est normal que ses diables sous peaux de brebis sont en fureur, quand ils réalisent que leur masques tombent devant la Vérité catholique intégrale qui les dissipent. Pour riposter, ils apportent des sophismes, ils vomissent des calomnies de toutes les espèces, car qui peut combattre la Vérité sans en être écrasé ?

« C’est une chose assurément regrettable, cher fils, qu’il se rencontre parmi, les catholiques des hommes qui, tout en, se faisant gloire de ce nom, se montrent complètement imbus de principes corrompus, et y adhèrent avec une telle opiniâtreté, qu’ils ne savent plus soumettre avec docilité leur intelligence au jugement de ce Saint-Siège quand il leur est contraire, et alors même que l’assentiment commun, et les recommandations de l’Épiscopat viennent le corroborer. Ils vont encore plus loin, et, faisant dépendre le progrès et le bonheur de la société humaine de ces principes, ils s’efforcent d’incliner l’Église à leur sentiment ; se regardant comme seuls sages, ils ne rougissent pas de donner le nom de parti ultramontain à toute la famille catholique qui pense autrement qu’eux.

« Cette folie monte à cet excès qu'ils entreprennent de refaire jusqu'à la divine constitution de l'Église et de l'adapter aux formes modernes des gouvernements civils, afin d'abaisser plus aisément l'autorité du Chef suprême que le Christ lui a préposé et dont ils redoutent les prérogatives [= l'infaillibilité et l'autorité]. On les voit donc mettre en avant avec audace, comme indubitables ou du moins complètement libres, certaines doctrines maintes fois réprouvées, ressasser d'après les anciens défenseurs de ces mêmes doctrines des chicanes historiques, des passages mutilés, des calomnies lancées contre les Pontifes romains, des sophismes de tout genre. Ils remettent avec impudence toutes ces choses sur le tapis, sans tenir aucun compte des arguments par lesquels on les a cent fois réfutées.

« Leur but est d'agiter les esprits, et d'exciter les gens de leur faction et le vulgaire ignorant contre le sentiment communément professé. Outre le mal qu'ils font en jetant ainsi le trouble parmi les fidèles et en livrant aux discussions de la rue les plus graves questions, ils nous réduisent à déplorer dans leur conduite une déraison (folie) égale à leur audace. » (S.S. Pie IX : Bref Dolendum profecto, 12 mars 1870, adressé à Dom Guéranger pour le féliciter pour son livre La monarchie pontificale, livre dans lequel le célèbre bénédictin prône l'infaillibilité permanente du Pape).

« Il faut s’en tenir à la sentence du Pape, à qui il appartient de prononcer en matière de foi, plutôt qu’à l’opinion de tous les sages ». (Saint Thomas d'Aquin, Quæstiones quodlibetales, q. 9, a. 16)

« Le divin Rédempteur gouverne son Corps mystique visiblement et ordinairement par son Vicaire sur la terre. Vous savez, en effet, Vénérables Frères, que le Christ Notre-Seigneur, qui durant sa vie mortelle avait dirigé Lui-même visiblement son « petit troupeau », au moment de quitter ce monde pour retourner à son Père, confia au Prince des Apôtres le gouvernement visible de toute la société fondée par Lui. Lui, si sage, ne pouvait nullement laisser sans tête le corps social de l’Église qu’Il avait constitué. Et l’on ne peut soutenir, pour nier cette vérité, que par un primat de juridiction établi dans l’Église, ce Corps mystique serait pourvu d’une double tête. Car Pierre, par la vertu du primat, n’est que le Vicaire du Christ, et il n’y a par conséquent qu’une seule Tête principale de ce Corps, à savoir le Christ ; c’est Lui qui sans cesser de gouverner mystérieusement l’Église par Lui-même, la dirige pourtant visiblement par celui qui tient sa place sur terre, car depuis sa glorieuse Ascension dans le ciel, elle ne repose plus seulement sur lui, mais aussi sur Pierre comme sur un fondement visible pour tous. Que le Christ et son Vicaire ne forment ensemble qu’une seule Tête, Notre immortel Prédécesseur, Boniface VIII, l’a officiellement enseigné dans sa Lettre Apostolique Unam Sanctam et ses successeurs n’ont jamais cessé de le répéter après lui.

« Ceux-là se trompent donc dangereusement qui croient pouvoir s’attacher au Christ Tête de l’Église sans adhérer fidèlement à son Vicaire sur la terre. Car en supprimant ce Chef visible et en brisant les liens lumineux de l’unité, ils obscurcissent et déforment le Corps mystique du Rédempteur au point qu’il ne puisse plus être reconnu ni trouvé par les hommes en quête du port du salut éternel. » (S. S. le Pape Pie XII, Lettre encyclique Mystici Corporis Christi, 29 juin 1943)

@steack ! L'Infaillibilité du Pape découlerait de l'infaillibilité de l'Église, selon vous ? L'Église est toujours infaillible, mais selon vous le Pape serait infaillible que rarement ? Ah oui ? Pouvez-vous nous montrer la référence de cette énormité hérétique ?

En fait, vous ne prouvez rien par des références magistérielles, car il n'existe aucune référence du Magistère infaillible du Pontife Romain ou de l'Église qui supporte vos folies hérétiques et blasphématoires. A leur place, vous « arguments » sont des falsifications historiques et doctrinales, des mensonges, des calomnies, des sophismes de tout genre, des textes mutilés qu'on sorte du contexte pour leur donner le sens qu'on veut, etc. Vous dites que Vatican I enseigne le contraire, c'est-à-dire, que le Pape serait rarement infaillible ? Prouvez-le, car je vous l'ai demandé à maintes reprises !!! Apportez-nous ici le passage d'un document du Vatican I qui supporte votre thèse !!!

Si vous n'apportez aucune référence du Magistère, mais continuez à propager vos opinions personelles hérétiques, sachez bien que vos paroles n'ont aucune autorité, elles sont de nulle valeur, et par le fait même vous êtes considéré un hérétique, un blasphémateur et un falsificateur diabolique.


Constitution Dogmatique PASTOR AETERNUS :

« Nous enseignons donc et nous déclarons, suivant les témoignages de l’Évangile, que la Primauté de juridiction sur toute l’Église de Dieu a été promise et donnée immédiatement et directement au bienheureux Apôtre Pierre par le Christ notre Seigneur. C’est, en effet, au seul Simon, auquel il avait déjà été dit : « Tu t’appelleras Céphas », après que celui-ci l’avait confessé en ces termes : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant », que le Seigneur adressa ces paroles solennelles : « Bienheureux
es-tu, Simon, fils de Jona, car ce n’est ni la chair ni le sang qui te l’ont révélé, mais mon Père qui est dans les cieux ; et moi, Je te dis que tu es Pierre et que sur cette pierre Je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des Cieux. Et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel ». Et c’est au seul Simon Pierre que Jésus, après sa résurrection, conféra la juridiction de Souverain Pasteur et de Chef Suprême sur tout son troupeau en disant :

« Pais mes agneaux, pais mes brebis »

« Cette doctrine si claire des Saintes Écritures se voit opposer ouvertement l’opinion fausse de ceux qui, pervertissant la forme de gouvernement instituée par le Christ notre Seigneur, nient que Pierre seul se voit vu doté par le Christ d’une primauté de juridiction véritable et proprement dite, de préférence aux autres Apôtres, pris soit isolément soit tous ensemble, ou de ceux qui affirment que cette primauté n’a pas été conférée directement et immédiatement au bienheureux Pierre, mais à l’Église et, par celle-ci, à Pierre comme à son ministre. »


« Ce que le Christ notre Seigneur, Chef des pasteurs, Pasteur suprême des brebis, a institué pour le salut éternel et le bien perpétuel de l’Église doit nécessairement, par cette même autorité, durer toujours dans l’Église, qui, fondée sur la pierre, subsistera ferme jusqu’à la fin des siècles. Personne ne doute, et tous les siècles savent que le saint et très bienheureux Pierre, chef et tête des Apôtres, colonne de la foi, fondement de l’Église catholique, a reçu les clés du Royaume de notre Seigneur Jésus-Christ, Sauveur et Rédempteur du genre humain : jusqu’à maintenant et toujours, c’est lui qui, dans la personne de ses successeurs « , les évêques du Saint-Siège de Rome, fondé par lui et consacré par son sang, » vit « , préside « et exerce le pouvoir de juger ».

« Dès lors, quiconque succède à Pierre en cette chaire reçoit, de par l’institution du Christ Lui-même, la Primauté de Pierre sur toute l’Église.

« Ainsi demeure ce qu’ordonna la vérité, et le bienheureux Pierre, gardant toujours cette solidité de pierre qu’il a reçue, n’a pas laissé le gouvernail de l’Église ». Voilà pourquoi c’est vers l’Église Romaine, « par suite de son origine supérieure », qu’il a toujours été nécessaire que chaque Église, c’est-à-dire les fidèles de partout, se tournent, afin qu’ils ne fassent qu’un en ce Saint-Siège, d’où découlent sur tous « les droits de la vénérable communion », comme des membres unis à la tête dans l’assemblage d’un seul corps. »

Encore Pastor Aeternus :

« Car le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la Foi.

« Leur Doctrine apostolique a été reçue par tous les Pères vénérés, révérée et suivie par les saints docteurs orthodoxes. Ils savaient parfaitement que ce Siège de Pierre demeurait PUR DE TOUTE ERREUR, aux termes de la promesse divine de notre Seigneur et Sauveur au chef de ses disciples : « J’ai prié pour toi, pour que ta foi ne défaille pas ; et quand tu seras revenu, affermis tes frères ».

« Ce charisme de vérité et de foi à JAMAIS indéfectible a été accordé par Dieu à Pierre et à ses successeurs en cette chaire, afin qu’ils remplissent leur haute charge pour le salut de tous, afin que le troupeau universel du Christ, écarté des nourritures empoisonnées de l’erreur, soit nourri de l’aliment de la Doctrine céleste, afin que, TOUTE occasion de schisme étant supprimée, l’Église soit conservée tout entière dans l’unité et qu’établie sur son fondement elle tienne ferme contre les portes de l’enfer. »

Rappel :

« … Je reconnais la Sainte, Catholique et Apostolique Église Romaine comme la mère et la maîtresse de toutes les Églises. JE PROMETS ET JE JURE VRAIE OBÉISSANCE AU PONTIFE ROMAIN, successeur du bienheureux Pierre, Chef des Apôtres et Vicaire de JÉSUS-CHRIST.

« Je reçois et je professe sans en douter TOUT ce qui, par les saints canons et par les conciles oecuméniques, principalement par le saint concile de Trente et par le concile oecuménique du Vatican, a été transmis, défini et déclaré spécialement sur le Primat du Pontife Romain et son Magistère infaillible. En même temps, je condamne, je rejette et j'anathématise également tout ce qui leur est contraire et toute espèce d'hérésie condamnée, rejetée et anathématisée par l'Église.

« Cette vraie Foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement, moi, N... je promets, je prends l'engagement, et je jure de la garder et de la confesser, Dieu aidant, entière et inviolée, très fidèlement jusqu'à mon dernier soupir, et de prendre soin, autant que je le pourrai, qu'elle soit tenue, enseignée et prêchée par ceux qui dépendent de moi ou par ceux sur qui ma charge me demandera de veiller. Qu'ainsi Dieu me soit en aide et ces saints Évangiles. »
(Profession de Foi Catholique-tridentine; S. S. le Pape Pie IV, Bulle Iniunctum Nobis, 13 novembre 1564; cette " Profession de Foi Catholique " fut mise en tête du Code de Droit canonique de 1917)
Joseph-Marie
Encore sur le Bref du Souverain Pontife Léon XIII
@steack! Il n'y a aucune ''citation frauduleusement insérée'' dans un contexte étranger au Bref du Pape Léon XIII, mais c'est vous le faussaire malfaiteur qui tirez un passage du Bref et essayez de lui donner un sens contraire à l'idée générale ou au contexte du Document pontifical. D'ailleurs, l'extrait 1 (le passage cité par les auteurs du …Plus
Encore sur le Bref du Souverain Pontife Léon XIII

@steack! Il n'y a aucune ''citation frauduleusement insérée'' dans un contexte étranger au Bref du Pape Léon XIII, mais c'est vous le faussaire malfaiteur qui tirez un passage du Bref et essayez de lui donner un sens contraire à l'idée générale ou au contexte du Document pontifical. D'ailleurs, l'extrait 1 (le passage cité par les auteurs du Mystère), par lui-même, constitue une vérité dogmatique et historique qui s'appuie non seulement sur l'Écriture et la Tradition apostolique, mais aussi sur les vrais monuments de l'antiquité, que des calomniateurs de votre trempe cherchent à corrompre. Le contexte de la citation (extrait 1) du Mystère est en pleine harmonie avec celui du Bref, qui dénonce les mensonges historiques contre l'enseignement officiel et la vie privée des Pontifes Romains, comme on le verra par la suite. Alors, soit que vous ne compreniez pas ce que vous lisiez, soit que vous ne vouliez pas comprendre, pour combattre obstinément et malicieusement la vérité connue, ce qui est un des péchés contre le SAINT-ESPRIT, qui n'est remis ni dans cette vie et ni dans l'autre.

Au premier paragraphe du Bref, le Souverain Pontife annonce l'idée générale ou le contexte de son document :

« En effet, il est aussi dangereux qu'injuste de sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain, dans le but manifeste de mettre par force les souvenirs du passé, travestis par le mensonge, au service des innovations italiennes. - Notre devoir étant donc, non seulement de revendiquer les autres droits de l'Église, mais de venger contre une injuste attaque la dignité et l'honneur du Siège apostolique, voulant qu'enfin la vérité soit victorieuse. » (Bref, p. 197)

Sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain veut dire propager des mensonges historiques en haine des Pontifes Romains. Sommes-nous d'accord jusqu'ici ? Parmi ceux qui ont assailli ainsi, i.e., par des mensonges historiques, le Pontificat ou les Pontifes Romains, se distinguent les centuriateurs de Magdebourg, un groupe des protestants luthériens allemands, qui ont écrit une version mensongère et calomnieuse de l'histoire ecclésiastique, en haine du Catholicisme et surtout en haine des Papes. La première citation en jaune qui commence par « Aussi convenait-il à ceux... », même si on n'y lit pas textuellement des phrases du genre les Papes n'ont pas erré dans la foi ou c'est une fable calomnieuse de dire que les Pape ont erré dans la foi, n'est pas du tout en contradiction avec l'autre citation en jaune « Que les Papes aient erré dans la foi... » des auteurs du Mystère, mais les deux citations convergent au même contexte du Bref. Dans la première citation, on y lit : Et certes, ils ont entrepris d’attenter à son intégrité. Qui ont attenté à son intégrité ? Deux lignes plus haut on y trouve la réponse : ceux qui, par toutes sortes d’efforts, ont assailli la Papauté. Comment ont-ils assailli la Papauté ? Ces assauts ont principalement pris la forme de mensonges historiques contre l'intégrité de la Papauté. Cette intégrité peut être doctrinale ou personnelle, i.e., contre l'enseignement de la Papauté ou contre la vie personnelle du Souverain Pontife qui occupe le premier Siège. Les centuriateurs de Magdebourg ont attaqué ces deux intégrités : 1. ils ont calomnié les Pontifes Romains, disant qu'ils avaient erré dans la foi, et 2. ils ont aussi attaqué la vie privé de ces même Pontifes. Une analyse critique de l'oeuvre des centuriateurs révèle l'attaque de ces deux intégrités, surtout l'assaut de l'intégrité doctrinale de la Papauté :

« L'idée prédominante de l'oeuvre, et ce qui a déterminé le choix et l'utilisation des matériaux, était de montrer que, même si " au début de l'Église, ce n'était pas une doctrine papiste antichrétienne, mais la doctrine et la religion évangéliques, qui avaient prévalues ", de la mort du dernier des apôtres à la restauration de la vraie religion par Martin Luther (sic), l'Église s'était égarée, induite en erreur par l'Antéchrist romain. » (Catholic Encyclopedia, Centuriators of Magdeburg, 1913, online version with imprimatur.)

Lisons ce que dit le savant Abbé Darras sur l'oeuvre des centuriateurs :

« Une haine sans compromis de la catholicité et un objectif constant de relier les hérésies de chaque époque et de chaque pays aux idées prédominantes des nouveautés de Luther, afin de créer une sorte de tradition de l'erreur à travers le cours des âges, est la caractéristique de cette collection, qui a servi de base et de modèle à toutes les tentatives du même genre, depuis sa création, que ce soit individuellement ou collectivement, des écrivains de la soi-disant Réforme. » (Abbé Darras, General History of the Catholic Church, 1865, 1st american edition; vol. 4, p. 186)

Si on lit attentivement le Bref du Souverain Pontife Léon XIII, on y trouve pareillement l'attaque contre les deux intégrités mentionnées ci-dessus :

Contre l'intégrité doctrinale des Pontifes Romains

« Ainsi, dans le but que Nous avons signalé, on se mita scruter les moindres vestiges d'antiquités ; à fouiller partout les recoins des archives ; à remettre en lumière des fables futiles, à répéter cent fois des impostures cent fois réfutées. Mutilant souvent ou rejetant habilement dans l'ombre ce qui forme comme les plus grands traits de l'histoire, on se plut à dissimuler par le silence les faits glorieux et les gestes mémorables, pendant qu'on redoublait d'attention pour signaler et exagérer ce qui pouvait être moins prudent et moins irréprochable ; bien qu'éviter tout en ce genre soit plus difficile que ne le comporte la nature humaine. » (Bref de S. S. Léon XIII, p. 199)

C'était quoi le but signalé par Sa Sainteté Léon XIII ? Le Souverain Pontife l'a précisé au premier paragraphe de son Bref : « En effet, il est aussi dangereux qu'injuste de sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain, dans le but manifeste de mettre par force les souvenirs du passé, travestis par le mensonge, au service des innovations italiennes. » (p. 197)

Sa Sainteté Pie IX a tenu le même langage que son successeur, et cela est tout à fait normal puisque tous les Papes sont guidé par l'ESPRIT-SAINT, dans leur mission divine de paître, régir et gouverner l'Église universelle, avec un pouvoir suprême (Concile oecuménique de Florence) :

« On les voit donc mettre en avant avec audace, comme indubitables ou du moins complètement libres, certaines doctrines maintes fois réprouvées, ressasser d'après les anciens défenseurs de ces mêmes doctrines des chicanes historiques, des passages mutilés, des calomnies lancées contre les Pontifes romains, des sophismes de tout genre. Ils remettent avec impudence toutes ces choses sur le tapis, sans tenir aucun compte des arguments par lesquels on les a cent fois réfutées. » (S.S. Pie IX : Bref Dolendum profecto, 12 mars 1870)

Contre l'intégrité personnelle des Pontifes Romains


« On a même cru permis de scruter, avec une sagacité perverse, les secrets douteux de la vie privée, saisissant ainsi et mettant en relief tout ce qui semblait offrir à la multitude avide de scandales l'appât d'un spectacle et d'une diffamation. Parmi les plus grands Pontifes, même ceux d'une vertu éminente ont été accusés et flétris, comme ambitieux, superbes, impérieux. » (Bref de S. S. Léon XIII, p. 199)

Voyons encore deux autres passages du document de S. S. Léon XIII qui, comme la citation des auteurs du Mystère, se situe dans le même contexte du Bref :

« Il faut que les hommes de coeur, doctement versés en ce genre d'études, se dévouent à écrire l'histoire de telle sorte qu'elle soit le miroir de la vérité et de la sincérité; et que les accusations insultantes, depuis trop longtemps accumulées contre les Pontifes Romains, soient dissipées doctement et convenablement ; à de maigres narrations qu'on substitue des investigations laborieuses et conduites à maturité; qu'on oppose aux arrêts téméraires un jugement prudent; aux opinions frivoles, une critique savante. Il faut énergiquement s'efforcer de réfuter les mensonges et les faussetés, en recourant aux sources... » (Bref, pp. 205-207)

« [...] l'histoire encore proclame que, malgré les combats et les assauts violents, le Pontificat Romain est toujours resté victorieux, et que ses adversaires, déçus dans leur espérance, n'ont fait que provoquer leur perte (idem., p. 209)


Avez-vous bien lu cette dernière citation, vous qui prétendait que l'infaillibilité pontificale est un fait exceptionnellement rare ? « [...] malgré les combats et les assauts violents, le Pontificat Romain est TOUJOURS resté victorieux, et que ses adversaires, déçus dans leur espérance, n'ont fait que provoquer leur perte. » (Bref de Sa Sainteté Léon XIII, Saepenumero considerantes, 18 août 1883)
steack
Joseph-Marie a écrit "😂😂Le contexte de la citation (extrait 1) du Mystère est en pleine harmonie avec celui du Bref, qui dénonce les mensonges historiques contre l'enseignement officiel et la vie privée des Pontifes Romains, comme on le verra par la suite."
C'et bien normal que vous tentiez de défendre vos gourous et votre catéchisme. Mais une intelligence normale non rongée par l'hérésie …Plus
Joseph-Marie a écrit "😂😂Le contexte de la citation (extrait 1) du Mystère est en pleine harmonie avec celui du Bref, qui dénonce les mensonges historiques contre l'enseignement officiel et la vie privée des Pontifes Romains, comme on le verra par la suite."

C'et bien normal que vous tentiez de défendre vos gourous et votre catéchisme. Mais une intelligence normale non rongée par l'hérésie, saura à quoi sans tenir. Il suffit de lire.

"Le contexte de la citation (extrait 1) du Mystère est en pleine harmonie avec celui du Bref, qui dénonce les mensonges historiques contre l'enseignement officiel et la vie privée des Pontifes Romains, comme on le verra par la suite."
Joseph-Marie
@steack ! Il suffit de lire quoi ? Vous avez écrit votre objection, et moi je vous ai répondu pourquoi elle est fausse et mensongère, pas avec des opinions personnelles, mais par des références objectives et une argumentation détaillée. Pouvez-vous me montrer l'erreur dans l'argumentation que je vous ai présentée, S.V.P. ? Il ne suffit pas seulement de lire, car beaucoup lisent et ne comprennent …Plus
@steack ! Il suffit de lire quoi ? Vous avez écrit votre objection, et moi je vous ai répondu pourquoi elle est fausse et mensongère, pas avec des opinions personnelles, mais par des références objectives et une argumentation détaillée. Pouvez-vous me montrer l'erreur dans l'argumentation que je vous ai présentée, S.V.P. ? Il ne suffit pas seulement de lire, car beaucoup lisent et ne comprennent pas ou comprennent mal et par conséquent interprètent mal, mais il nécessaire de défendre une thèse ou de la réfuter, avec des arguments objectifs. Tout est là. Aucun tribunal ecclésiastique ou civil n'absout l'accusé, si son innocence n'a pas été prouvée par des arguments et des témoignages ; aucune commission académique n'attribut un titre au candidat, si sa thèse n'a pas été dûment défendue. Dans les deux cas, la seule parole de l'intéressé ne suffit pas. Bref, personne n'est jugé coupable, si elle n'est pas prouvée par des preuves coupable, dit saint Bernard. Si vous ne réfutez pas mes arguments, mais continuez à propager le mensonge et la calomnie, la honte et le déshonneur sont votre apanage.

Pour votre information, mon catéchisme est le Magistère toujours infaillible du Pontife Romain ou de l'Église Catholique Romaine, ainsi comme le déclare la Profession de Foi Catholique du Concile de Trente.

Rappel :

« … Je reconnais la Sainte, Catholique et Apostolique Église Romaine comme la mère et la maîtresse de toutes les Églises. JE PROMETS ET JE JURE VRAIE OBÉISSANCE AU PONTIFE ROMAIN, successeur du bienheureux Pierre, Chef des Apôtres et Vicaire de JÉSUS-CHRIST.

« Je reçois et je professe sans en douter TOUT ce qui, par les saints canons et par les conciles oecuméniques, principalement par le saint concile de Trente et par le concile oecuménique du Vatican, a été transmis, défini et déclaré spécialement sur le Primat du Pontife Romain et son Magistère infaillible. En même temps, je condamne, je rejette et j'anathématise également tout ce qui leur est contraire et toute espèce d'hérésie condamnée, rejetée et anathématisée par l'Église.

« Cette vraie Foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement, moi, N... je promets, je prends l'engagement, et je jure de la garder et de la confesser, Dieu aidant, entière et inviolée, très fidèlement jusqu'à mon dernier soupir, et de prendre soin, autant que je le pourrai, qu'elle soit tenue, enseignée et prêchée par ceux qui dépendent de moi ou par ceux sur qui ma charge me demandera de veiller. Qu'ainsi Dieu me soit en aide et ces saints Évangiles. »
(Profession de Foi Catholique-tridentine; S. S. le Pape Pie IV, Bulle Iniunctum Nobis, 13 novembre 1564; cette " Profession de Foi Catholique " fut mise en tête du Code de Droit canonique de 1917)
simplicius a partage ceci
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steack
@@Hélène33 a écrit "encore une inversion accusatoire de votre propre péché. "
Quel péché ?😲😲😲
Abbé Pages :Le sédévacantisme est un péché mortel !
"Le sédévacantisme est tombé dans le piège du libre examen dont se firent les avocats Calvin et Luther !
En effet, à constater l’émoi visible de ceux qui s’enferment avec entêtement dans l’option dramatique du schisme, il semble que nos …Plus
@@Hélène33 a écrit "encore une inversion accusatoire de votre propre péché. "
Quel péché ?😲😲😲

Abbé Pages :Le sédévacantisme est un péché mortel !

"Le sédévacantisme est tombé dans le piège du libre examen dont se firent les avocats Calvin et Luther !

En effet, à constater l’émoi visible de ceux qui s’enferment avec entêtement dans l’option dramatique du schisme, il semble que nos modestes exercices de clarification aient provoqué un certain trouble dans ce petit monde égaré par les vapeurs du libre examen qui reproduit, avec une rare conformité en adoptant hideusement leur identique attitude apostate, le comportement de Calvin et l’hérésie de Luther.

Nous ne reprendrons pas ligne par ligne le tissu des lassantes contrevérités régulièrement assénées par l’idéologie diffusant sataniquement la pensée d’une vacance du Saint-Siège. Cet exercice a montré depuis bien déjà trop longtemps sont inutilité, notamment envers les esprits bornés enfermés dans le sinistre cachot de leurs funestes illusions. Nous nous bornerons simplement à mettre en lumière, une fois encore, la puissante fausseté de l’unique thèse qui forme le tout du discours sédévacantiste, à savoir l’hypothétique absence actuelle d’un pape sur le trône de Pierre et des conséquences terrifiantes qui en découleraient dont en premier l’invalidité des sacrements......"
Joseph-Marie
M. Pagès doit se rappeler que la loi ecclésiastique nous enseigne la supériorité du Pape sur l'Épiscopat, et encore plus sur les prêtres, en termes d'enseignement, soit dans un concile particulier ou en dehors, évêques qui dépendent du Magistère toujours infaillible du Pape pour être infaillibles dans leur enseignement, s'ils sont en union avec le Pontife Romain.
Canon 1326 (CIC/1917) :

Quoique …Plus
M. Pagès doit se rappeler que la loi ecclésiastique nous enseigne la supériorité du Pape sur l'Épiscopat, et encore plus sur les prêtres, en termes d'enseignement, soit dans un concile particulier ou en dehors, évêques qui dépendent du Magistère toujours infaillible du Pape pour être infaillibles dans leur enseignement, s'ils sont en union avec le Pontife Romain.

Canon 1326 (CIC/1917) :


Quoique individuellement ou réunis en concile particuliers ils ne jouissent pas de l'infaillibilité dans leur enseignement, les évêques sont aussi, sous l'autorité du Pontife Romain, les vrais docteurs et les vrais maîtres des fidèles confiés à leurs soins.

Puisque M. Pagès enseigne l'hérésie de la faillibilité du Magistère pontifical, son argumentation sur le sédévacantisme est fausse et sans valeur. Que le Bon Dieu l'éclaire !
Joseph-Marie
Lisez en pièce jointe un petit résumé sur l'invalidité des sacrements dans la secte postconciliaire-synodale qui occupe Vatican et les diocèses.
Mahmoud Ahmadinejad.Abbas partage ceci
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steack
@Hélène33 a écrit " déterminé à ne jamais le lire"
Quand j'ai compris que ce brûlot invitait ses lecteurs à identifier deux objets théologiques distincts que sont le pape rarement infaillible et l'Eglise toujours infaillible, j'ai compris que c'était une foutaise.
Mais quand l'un de vos correligionnaires m'a suggeré naïvement une citation de St Léon XIII qui était d'évidence sortie de son …Plus
@Hélène33 a écrit " déterminé à ne jamais le lire"
Quand j'ai compris que ce brûlot invitait ses lecteurs à identifier deux objets théologiques distincts que sont le pape rarement infaillible et l'Eglise toujours infaillible, j'ai compris que c'était une foutaise.
Mais quand l'un de vos correligionnaires m'a suggeré naïvement une citation de St Léon XIII qui était d'évidence sortie de son contexte ce qui est une ignominie, j'ai pensé qu'il fallait faire une exception.
Je constate par votre message que vous ne contestiez pas la réalité de cette méthode abjecte de votre catéchisme hérétique et frauduleux.
Deo gratias !
Joseph-Marie
@steack ! C'est vous le faussaire malfaiteur qui mutilez un passage d'un document pontifical et essayez de lui donner un sens contraire pour tromper les âmes.
Soulignons encore la vérité divinement révélé de la suprématie papale ou de la suprême autorité du Pontife Romain sur le concile ou l'Église, ce qui assure l'infaillibilité papale perpétuelle :
« Le Pasteur éternel qui n'abandonnera …Plus
@steack ! C'est vous le faussaire malfaiteur qui mutilez un passage d'un document pontifical et essayez de lui donner un sens contraire pour tromper les âmes.

Soulignons encore la vérité divinement révélé de la suprématie papale ou de la suprême autorité du Pontife Romain sur le concile ou l'Église, ce qui assure l'infaillibilité papale perpétuelle :

« Le Pasteur éternel qui n'abandonnera jamais son troupeau, étant près de quitter le monde pour retourner à son Père, a établi sur la solidité de la pierre l'Apôtre saint Pierre et ses successeurs pour ses Vicaires, auxquels il est tellement nécessaire d'obéir, que celui qui ne leur obéit pas, doit mourir de la mort éternelle, suivant l'expression des Écritures. Et, comme il est dit ailleurs, celui-là ne peut être dans l'Église, qui abandonne la Chaire du Pontife Romain... Que le Pontife Romain, en vertu de l'autorité qu'il a sur tous les Conciles, ait, même à lui seul, PLEIN DROIT ET PLEINE PUISSANCE de les convoquer, transférer et dissoudre, cela est constant et manifeste, non-seulement par le témoignage de l'Écriture sainte, les paroles des Saints Pères et des Souverains Pontifes, et par les décrets des saints Canons, mais encore par les déclarations des Conciles eux-mêmes. » (Concile oecuménique de Latran, 1512 ; P. Labbe. tom. XIV, col. 309 ; Denzinger no 740)

« Parce que le droit divin de la Primauté apostolique place le Pontife Romain au-dessus de toute l’Église, nous enseignons et déclarons encore qu’il est le juge suprême des fidèles et que, dans toutes les causes qui touchent à la juridiction ecclésiastique, on peut faire recours à son jugement. Le jugement du Siège apostolique, auquel aucune autorité n’est supérieure, ne doit être remis en question par personne, et personne n’a le droit de juger ses décisions. C’est pourquoi ceux qui affirment qu’il est permis d’en appeler des jugements du Pontife Romain au concile œcuménique comme à une autorité supérieure à ce Pontife, s’écartent du chemin de la vérité.

« Si donc quelqu’un dit que le Pontife romain n’a qu’une charge d’inspection ou de direction et non un pouvoir plénier et souverain de juridiction sur toute l’Église, non seulement en ce qui touche à la foi et aux mœurs, mais encore en ce qui touche à la discipline et au gouvernement de l’Église répandue dans le monde entier, ou qu’il n’a qu’une part plus importante et non la plénitude totale de ce pouvoir suprême ; ou que son pouvoir n’est pas ordinaire ni immédiat sur toutes et chacune des églises comme sur tous et chacun des pasteurs et des fidèles, qu’il soit anathème. » (Concile oecuménique de Vatican, Constitution dogmatique Pastor Aeternus, chap. 3, 1870)

Canon 222 (CIC/1917) :


§1 Il ne peut y avoir de Concile Oecuménique qui ne soit pas convoqué par le Pontife romain.

§2 Il appartient au Pontife romain de présider le concile oecuménique par lui-même ou par d'autres, d'établir ou de déterminer les matières à traiter et l'ordre à suivre, de transférer le concile, de le suspendre, de le dissoudre et d'en confirmer les décrets.


Canon 227 (CIC/1917) :

Les décrets du concile n'ont force obligatoire qu'après avoir été confirmés par le Pontife Romain et promulgués sur son ordre.

Canon 218 (CIC/1917) :

§1 Le Pontife Romain successeur de Saint Pierre dans sa primauté, a non seulement la primauté d'honneur, mais le pouvoir de juridiction suprême et entier sur l'Église Universelle, tant dans les matières qui concernent la foi et les moeurs, que dans celles qui se rapportent à la discipline et au gouvernement de l'Église répandue dans le monde entier.

§2 Ce pouvoir est vraiment épiscopal, ordinaire (c’est-à-dire, de chaque instant. Ndlr) et immédiat, s'exerçant tant sur toutes les églises et chacune d'entre elles que sur tous les pasteurs et tous les fidèles et chacun d'entre eux ; ce pouvoir est indépendant de toute autorité humaine.


« La Primauté apostolique que le Pontife Romain, en tant que successeur de Pierre, chef des Apôtres, possède dans l’Église universelle, COMPREND AUSSI LE POUVOIR SUPRÊME DU MAGISTÈRE : le Saint-Siège l’a toujours tenu, l’usage perpétuel des Églises le prouve, et les conciles œcuméniques, surtout ceux où l’Orient se rencontrait avec l’Occident dans l’union de la foi et de la charité, l’ont déclaré.” (Concile oecuménique de Vatican, Constitution dogmatique Pastor aeternus, 18 juillet 1870)

Donc, les décrets des conciles oecuméniques et la législation ecclésiastique déclarent la autorité suprême et constante du Pontife romain sur l'Église, et dans cette primauté permanente réside aussi le suprême pouvoir du Magistère pontifical ou l'infaillibilité papale perpétuelle ou de tous les jours.

@steack le faussaire ! A la définition de l'infaillibilité papale ex-cathedra, vous avez mutilé la dernière partie, qui définit la supériorité de Pape sur l'Église ou le Concile.

« Par conséquent, ces définitions du Pontife Romain sont irréformables par elles-mêmes et non en vertu du consentement de l’Église. » (Pastor Aeternus)

Voyons encore quelques exemples du Pastor Aeternus qui appui la supériorité du Pape sur l'Église, et par conséquent son infaillibilité pontificale de tous les jours :

PASTOR AETERNUS :


« Nous enseignons donc et nous déclarons, suivant les témoignages de l’Évangile, que la Primauté de juridiction sur toute l’Église de Dieu a été promise et donnée immédiatement et directement au bienheureux Apôtre Pierre par le Christ notre Seigneur. C’est, en effet, au seul Simon, auquel il avait déjà été dit : « Tu t’appelleras Céphas », après que celui-ci l’avait confessé en ces termes : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant », que le Seigneur adressa ces paroles solennelles : « Bienheureux es-tu, Simon, fils de Jona, car ce n’est ni la chair ni le sang qui te l’ont révélé, mais mon Père qui est dans les cieux ; et Moi, Je te dis que tu es Pierre et que sur cette pierre Je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des Cieux. Et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel ». Et c’est au seul Simon Pierre que Jésus, après Sa résurrection, conféra la juridiction de Souverain Pasteur et de Chef Suprême sur tout son troupeau en disant : « Pais mes agneaux, pais mes brebis »

« Cette doctrine si claire des Saintes Écritures se voit opposer ouvertement l’opinion fausse de ceux qui, pervertissant la forme de gouvernement instituée par le Christ notre Seigneur, nient que Pierre seul se voit vu doté par le Christ d’une primauté de juridiction véritable et proprement dite, de préférence aux autres Apôtres, pris soit isolément soit tous ensemble, ou de ceux qui affirment que cette primauté n’a pas été conférée directement et immédiatement au bienheureux Pierre, mais à l’Église et, par celle-ci, à Pierre comme à son ministre. »


« — Y a-t-il quelqu’un qui soit assuré de ne pas se tromper sur le sens de la parole de Dieu dans l’Écriture sainte, et où qu’elle se trouve ?
« — Oui, c’est le Souverain Pontife, ET PAR LUI l’Église Catholique dans son enseignement universel (q. 1, a. 10).
« — Pourquoi dites-vous que le Souverain Pontife et, par lui, l’Église catholique dans son enseignement universel ne peuvent pas se tromper sur le sens de la parole de Dieu dans l’Écriture sainte, et où qu’elle ait été conservée ?
« — Parce que Dieu lui-même a voulu qu’ils fussent infaillibles.
« — Et pourquoi Dieu a-t-Il voulu qu’ils fussent infaillibles ?
« — Parce que sans cela les hommes n’auraient pas eu les moyens nécessaires d’arriver sûrement à la fin surnaturelle à laquelle Il les appelle (q. 1, a. 10). » (R. P. Thomas Pègues O.P., « Catéchisme de la Somme théologique de saint Thomas d'Aquin », 1919)

Encore PASTOR AETERNUS :

« Ce que le Christ notre Seigneur, Chef des pasteurs, Pasteur suprême des brebis, a institué pour le salut éternel et le bien perpétuel de l’Église doit nécessairement, par cette même autorité, durer toujours dans l’Église, qui, fondée sur la pierre, subsistera ferme jusqu’à la fin des siècles. Personne ne doute, et tous les siècles savent que le saint et très bienheureux Pierre, chef et tête des Apôtres, colonne de la foi, fondement de l’Église catholique, a reçu les clés du Royaume de notre Seigneur Jésus-Christ, Sauveur et Rédempteur du genre humain : jusqu’à maintenant et toujours, c’est lui qui, dans la personne de ses successeurs « , les évêques du Saint-Siège de Rome, fondé par lui et consacré par son sang, » vit « , préside « et exerce le pouvoir de juger ».

« Dès lors, quiconque succède à Pierre en cette chaire reçoit, de par l’institution du Christ Lui-même, la Primauté de Pierre sur toute l’Église.

« Ainsi demeure ce qu’ordonna la vérité, et le bienheureux Pierre, gardant toujours cette solidité de pierre qu’il a reçue, n’a pas laissé le gouvernail de l’Église ». Voilà pourquoi c’est vers l’Église Romaine, « par suite de son origine supérieure », qu’il a toujours été nécessaire que chaque Église, c’est-à-dire les fidèles de partout, se tournent, afin qu’ils ne fassent qu’un en ce Saint-Siège, d’où découlent sur tous « les droits de la vénérable communion », comme des membres unis à la tête dans l’assemblage d’un seul corps. »

Encore Pastor Aeternus :

« Car le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la Foi.

« Leur Doctrine apostolique a été reçue par tous les Pères vénérés, révérée et suivie par les saints docteurs orthodoxes. Ils savaient parfaitement que ce Siège de Pierre demeurait PUR DE TOUTE ERREUR, aux termes de la promesse divine de notre Seigneur et Sauveur au chef de ses disciples : « J’ai prié pour toi, pour que ta foi ne défaille pas ; et quand tu seras revenu, affermis tes frères ».

« Ce charisme de vérité et de foi à JAMAIS indéfectible a été accordé par Dieu à Pierre et à ses successeurs en cette chaire, afin qu’ils remplissent leur haute charge pour le salut de tous, afin que le troupeau universel du Christ, écarté des nourritures empoisonnées de l’erreur, soit nourri de l’aliment de la Doctrine céleste, afin que, TOUTE occasion de schisme étant supprimée, l’Église soit conservée tout entière dans l’unité et qu’établie sur son fondement elle tienne ferme contre les portes de l’enfer. »

« Le Magistère de l'Église, établi ici bas d'après le dessein de Dieu pour garder perpétuellement intact le dépôt des vérités révélées et en assurer facilement et sûrement la connaissance aux hommes, s'exerce chaque jour par le Pontife romain et par les évêques en communion avec lui ; mais en outre, toutes les fois qu'il impose de résister plus efficacement aux erreurs et aux attaques des hérétiques ou d'imprimer dans l'esprit des fidèles des vérités expliquées avec plus de clarté et de précision, ce Magistère comporte le devoir de procéder opportunément à des définitions en formes et termes solennels... Cet usage extraordinaire du Magistère n'introduit aucune nouveauté... » (S. S. le Pape Pie XI, encyclique Mortalium animos, 6 janvier 1928).

« Le divin Rédempteur gouverne son Corps mystique visiblement et ordinairement par son Vicaire sur la terre. Vous savez, en effet, Vénérables Frères, que le Christ Notre-Seigneur, qui durant sa vie mortelle avait dirigé Lui-même visiblement son « petit troupeau », au moment de quitter ce monde pour retourner à son Père, confia au Prince des Apôtres le gouvernement visible de toute la société fondée par Lui. Lui, si sage, ne pouvait nullement laisser sans tête le corps social de l’Église qu’Il avait constitué. Et l’on ne peut soutenir, pour nier cette vérité, que par un primat de juridiction établi dans l’Église, ce Corps mystique serait pourvu d’une double tête. Car Pierre, par la vertu du primat, n’est que le Vicaire du Christ, et il n’y a par conséquent qu’une seule Tête principale de ce Corps, à savoir le Christ ; c’est Lui qui sans cesser de gouverner mystérieusement l’Église par Lui-même, la dirige pourtant visiblement par celui qui tient sa place sur terre, car depuis sa glorieuse Ascension dans le ciel, elle ne repose plus seulement sur lui, mais aussi sur Pierre comme sur un fondement visible pour tous. Que le Christ et son Vicaire ne forment ensemble qu’une seule Tête, Notre immortel Prédécesseur, Boniface VIII, l’a officiellement enseigné dans sa Lettre Apostolique Unam Sanctam et ses successeurs n’ont jamais cessé de le répéter après lui.

« Ceux-là se trompent donc dangereusement qui croient pouvoir s’attacher au Christ Tête de l’Église sans adhérer fidèlement à son Vicaire sur la terre. Car en supprimant ce Chef visible et en brisant les liens lumineux de l’unité, ils obscurcissent et déforment le Corps mystique du Rédempteur au point qu’il ne puisse plus être reconnu ni trouvé par les hommes en quête du port du salut éternel. » (S. S. le Pape Pie XII, Lettre encyclique Mystici Corporis Christi, 29 juin 1943)


« C’est une chose assurément regrettable, cher fils, qu’il se rencontre parmi, les catholiques des hommes qui, tout en, se faisant gloire de ce nom, se montrent complètement imbus de principes corrompus, et y adhèrent avec une telle opiniâtreté, qu’ils ne savent plus soumettre avec docilité leur intelligence au jugement de ce Saint-Siège quand il leur est contraire, et alors même que l’assentiment commun, et les recommandations de l’Épiscopat viennent le corroborer. Ils vont encore plus loin, et, faisant dépendre le progrès et le bonheur de la société humaine de ces principes, ils s’efforcent d’incliner l’Église à leur sentiment ; se regardant comme seuls sages, ils ne rougissent pas de donner le nom de parti ultramontain à toute la famille catholique qui pense autrement qu’eux.

« Cette folie monte à cet excès qu'ils entreprennent de refaire jusqu'à la divine constitution de l'Église et de l'adapter aux formes modernes des gouvernements civils, afin d'abaisser plus aisément l'autorité du Chef suprême que le Christ lui a préposé et dont ils redoutent les prérogatives [= l'infaillibilité et l'autorité]. On les voit donc mettre en avant avec audace, comme indubitables ou du moins complètement libres, certaines doctrines maintes fois réprouvées, ressasser d'après les anciens défenseurs de ces mêmes doctrines des chicanes historiques, des passages mutilés, des calomnies lancées contre les Pontifes romains, des sophismes de tout genre. Ils remettent avec impudence toutes ces choses sur le tapis, sans tenir aucun compte des arguments par lesquels on les a cent fois réfutées.

« Leur but est d'agiter les esprits, et d'exciter les gens de leur faction et le vulgaire ignorant contre le sentiment communément professé. Outre le mal qu'ils font en jetant ainsi le trouble parmi les fidèles et en livrant aux discussions de la rue les plus graves questions, ils nous réduisent à déplorer dans leur conduite une déraison (folie) égale à leur audace. » (S.S. Pie IX : Bref Dolendum profecto, 12 mars 1870, adressé à Dom Guéranger pour le féliciter pour son livre La monarchie pontificale, livre dans lequel le célèbre bénédictin prône l'infaillibilité permanente du Pape).
Hélène33
Je recopie mon commentaire pour montrer votre vrai visage :
steack, encore une inversion accusatoire de votre propre péché. Qui êtes-vous? vous qui vous produisez sous différents pseudos (Mahmoud, simplicius a, et quel autre encore?)... Avez-vous tellement honte de vos commentaires pour ne pas divulguer votre identité?
Pour fuir la persécution des méchants, il arrive que des auteurs catholiques …Plus
Je recopie mon commentaire pour montrer votre vrai visage :
steack, encore une inversion accusatoire de votre propre péché. Qui êtes-vous? vous qui vous produisez sous différents pseudos (Mahmoud, simplicius a, et quel autre encore?)... Avez-vous tellement honte de vos commentaires pour ne pas divulguer votre identité?
Pour fuir la persécution des méchants, il arrive que des auteurs catholiques écrivent sous pseudo. Tel est le cas du célèbre Père jésuite Joaquin Saenz y Arriaga, pour son ouvrage 2000 ans de complot contre l'Église. En plus que vous êtes malhonnête encore une fois, de dire que les auteurs érudits de l'ouvrage Mystère d'iniquité ont sorti des citations hors de leur contexte. Vous avez AVOUÉ sur une autre publication, ÊTRE DÉTERMINÉ À NE JAMAIS LE LIRE (l'avez-vous-lu depuis le 12 mars dernier où vous avez fait cette affirmation? Eh bien, j'imagine que cet ouvrage était assez intéressant pour lire les 173 en moins d'une semaine!) Cessez donc vos calomnies, semeur de zizanie!
steack partage ceci
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Etienne bis
Merci de ne plus me mentionner dans vos destinataires.
J'observe vos échanges de déclarations (aussi péremptoires que supposées savantes) avec fort peu d'intérêt et sans aucune confiance.
steack
Vous avez raison de n'avoir pas confiance a priori mais vous disposez de tous les éléments pour vérifier la fraude dénoncée ci dessus.
Il suffit de vérifier vous avez là tous les éléments et les sources.
Joseph-Marie
@steack ! La fraude, où est-elle ? Des preuves ? Des arguments ? Des références objectives ? Votre opinion personnelle, que dans ce cas est fausse et hérétique, n'a aucun poids, aucune confiance, comme les autres lecteurs l'ont déjà remarquée. Évidemment, il ne suffit pas de lire seulement, car beaucoup lisent et ne comprennent pas ou comprennent mal et par conséquent interprètent mal, mais il …Plus
@steack ! La fraude, où est-elle ? Des preuves ? Des arguments ? Des références objectives ? Votre opinion personnelle, que dans ce cas est fausse et hérétique, n'a aucun poids, aucune confiance, comme les autres lecteurs l'ont déjà remarquée. Évidemment, il ne suffit pas de lire seulement, car beaucoup lisent et ne comprennent pas ou comprennent mal et par conséquent interprètent mal, mais il nécessaire de défendre une thèse ou de la réfuter, avec des arguments objectifs. Tout est là. Aucun tribunal ecclésiastique ou civil n'absout l'accusé, si son innocence n'a pas été prouvée par des arguments et des témoignages ; aucune commission académique n'attribut un titre au candidat, si sa thèse n'a pas été dûment défendue. Dans les deux cas, la seule parole de l'intéressé ne suffit pas. Bref, personne n'est jugé coupable, si elle n'est pas prouvée par des preuves coupable, dit saint Bernard. Si vous ne réfutez pas mes arguments, mais continuez à propager le mensonge et la calomnie, la honte et le déshonneur sont votre apanage. Et par ce fait seul, vous démontrez votre malhonnêteté et supercherie.
Lucas Lucatho95 Benoit Gonin
Je ne suis pas spécialiste en droit canon et bien incapable d'en débattre avec vous ! Merci de ne plus me mentionner à ce sujet 🙏🏼😉 mais j'observe vos discussions avec intérêt ceci dit !
steack
Ce sujet n'a rien à voir avec le droit canon. Il n'y a rien à débattre...Juste à constater la fraude.