La femme européenne est aujourd’hui plus libre que la femme soviétique ou la femme allemande des années 30, mais si elle a gagné sur le plan sociétal, elle a perdu sur le plan maternel et purement …Plus
La femme européenne est aujourd’hui plus libre que la femme soviétique ou la femme allemande des années 30, mais si elle a gagné sur le plan sociétal, elle a perdu sur le plan maternel et purement amoureux. De quelle liberté parle-t-on, quand elle est imposée par un modèle social surpuissant qui veut la déconstruction de la Mère et de la Vierge ?
On n’a rien sans rien, et le capitalisme ne fait pas de cadeaux : s’il donne un ici, c’est pour reprendre deux là.
Le modèle de femme dite réussie pour la majorité des jeunes filles aujourd’hui est une prostituée creuse (de droite) aliénée à la consommation – d’hommes et d’objets – ou une lesbienne haineuse (de gauche) nullipare.
Ce sont en tout cas deux directions encouragées par la socio-culture, le résultat d’une triple éducation de masse à travers école, médias et gouvernement.
Se libérer de l’homme revient à se libérer de l’amour. Et ça vaut pour les hommes aussi, qui eux n’ont jamais eu envie de se libérer de la femme... Mais échapper à une prétendue aliénation – l’amour est une aliénation consentie ! – pour retomber dans une autre (moins visible) n’est pas une libération : c’est un piège tendu par le Système.
Alors Mesdames, sortez du piège de la femme autonome qui veut réussir sans les hommes, fondez un foyer familial dans les valeurs du Christ et du Catholicisme.
Arthur De la Baure
Oui, mais les hommes doivent véritablement respecter et aimer leurs femmew. Nourrir un véritable amour pour leur famille et se faire serviteur et protecteur de cette dernière. De vraies femmes selon Notre Seigneur appellent de vrais hommes. Sommes nous de cela ou y travaillons nous? Quelle est la responsabilité des hommes dans la dégénérescence de la femme actuelle ?
Quelques citations pour …
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Oui, mais les hommes doivent véritablement respecter et aimer leurs femmew. Nourrir un véritable amour pour leur famille et se faire serviteur et protecteur de cette dernière. De vraies femmes selon Notre Seigneur appellent de vrais hommes. Sommes nous de cela ou y travaillons nous? Quelle est la responsabilité des hommes dans la dégénérescence de la femme actuelle ?

Quelques citations pour appuyer votre article :
André Malraux, Article du journal Le Point (17 mars 1975)

« En pays chrétien, la Femme a été glorifiée dans la Vierge […] J’entends parfois dire que la religion catholique est misogyne : ce n’est pas sérieux. Une religion qui agenouille les hommes devant une femme couronnée manifeste une misogynie plus que suspecte. »

Frédéric Le Play, L’Organisation de la famille selon le vrai modèle signalé par l’histoire de toutes les races et de tous les temps
« C’est le cœur des mères, des sœurs, des épouses. Donnez à un peuple de fortes et courageuses mères, et l’on répond de ce peuple ! L’antiquité même le savait et voilà pourquoi les plus célèbres cités, très attachées à leur gloire, très jalouses de posséder dans leur sein d’intrépides héros, mettaient tous leurs soins à former le courage des femmes, persuadées que c’était le seul moyen de voir grandir l’âme des guerriers. Si Sparte le pensait ainsi, combien plus doivent le penser les chrétiens. Jésus-Christ venu pour tout relever dans le monde, a relevé d’une manière divine l’empire spirituel des femmes et Il leur a donné la puissance de former vraiment les âmes, de leur transmettre les premiers trésors nécessaires : Dieu, la loi morale, la justice, la pureté, l’honneur. Oui, c’est sur l’influence des épouses et des mères que nous comptons pour que la France soit forte et respectée, pour que la chaîne de ses gloires se continue par l’accomplissement des grands devoirs. »

Abbé Eugène Galais, Influence de la femme chrétienne sur la vie morale de l’homme
« Saluons, mes frères, ces femmes admirables au cœur vaste et profond où l’on puise tous les dévouements sans jamais craindre d’en voir tarir la source. Saluons ces porte-drapeaux de la civilisation évangélique, la seule efficace et la seule durable. Saluons ces femmes partout où la reconnaissance nous appelle à leur payer le tribut d’hommages qui leur est dû. Saluons-les sur les trônes ou dans les chaumières, dans la solitude des cloîtres ou dans le carnage des camps et des batailles, sur les rives du Bosphore, dans les savanes d’Amérique, dans les steppes glacés de la Russie ou dans les déserts brûlants de l’Afrique et jusque dans les profondeurs des mers de l’archipel océanien, car l’influence civilisatrice de la femme catholique n’a pour limites que les confins des mondes connus et habitables. Filles de la charité et vous humbles Petites-Sœurs des pauvres vieillards, nous vous saluons encore, car vos travaux, votre abnégation, vos sacrifices, vos épreuves, vos succès, vos héroïsmes, vos triomphes sont aux yeux de l’univers entier, chez les sauvages comme parmi les plus savants des hommes civilisés, les témoignages les plus éloquents, les plus irréfutables de cette influence de la femme, à laquelle rien d’humain ne résiste, quand elle est vraiment surnaturelle, c’est-à-dire divine. »