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14 mai 2024

Un enfant de 11 ans placé en famille d'accueil après avoir dénoncé l'inceste : une mesure de rétorsion ?

La justice de ce pays est-elle définitivement perdue pour les citoyens ? Si l’on regarde le traitement des affaires de pédocriminalité et l’usage du placement des enfants dans des institutions totalement défaillantes où leur sécurité ne peut pas être garantie, on constate que la justice se comporte comme une mafia dont l’objectif est de faire taire les parents protecteurs et les enfants. Particulièrement s’ils dérangent.

 

 

C’est l’histoire de cette maman et de son fils, que nous appellerons Mathilde et Romuald. Cet enfant âgé de 11 ans qui a dénoncé des faits d'inceste a ensuite été placé alors qu’il vivait chez elle, très vite après le classement sans suite de la plainte pour violences sexuelles.

 

 

Un enfant dénonce mais personne ne veut l’entendre

 

Pour comprendre ce qu’il se passe, il faut comprendre que Mathilde travaille dans le secteur social, est syndicaliste, et n’a jamais hésité à dénoncer les dysfonctionnements et anomalies flagrantes (pour parler poliment) dans la protection de l’enfance de certains établissements de son département, l’Ariège.

 

Alors que Mathilde et le père de Romuald étaient séparés et qu’une garde alternée était mise en place, un jour de 2022 Romuald a parlé de violences sexuelles, notamment un viol, commises par un oncle paternel -policier de profession- en présence de son père et d’un cousin majeur à une occasion. Une scène très traumatisante, que l’enfant a racontée en détail.

 

Mathilde a voulu porter plainte pour ces violences sexuelles, mais les choses ne se sont pas passées comme prévu, la gendarmerie locale ne voulant pas prendre la plainte, ni la brigade de protection des mineurs qui apparemment avait trop de travail. Elle a finalement déposé une plainte qui a été classée sans suite parce que l’enfant n’a pas été trouvé "crédible" par trois professionnels, alors qu’il a répété les faits aux trois.

 

L’un d’eux, selon un des jugements du juge aux affaires familiales, considérait par exemple que son "discours manque de cohérence interne, avec une absence de variation dans le récit, une absence d’émotions, de corrections, de détails insolites ou inattendus". Des spécialistes de la mémoire traumatique auraient certainement un autre avis, de plus depuis Outreau les experts ne sont pas censés s’avancer sur la "crédibilité" ou non des enfants1.

 

A ce moment, les services sociaux avaient reçu une information préoccupante concernant Romuald, a priori parce qu’il parlait de violence chez son père. Le juge des enfants avait été saisi et une MJIE (mesure judiciaire d’investigation éducative) a été ordonnée début 2022. Dans des circonstances étranges, avec deux requêtes en assistance éducative coup sur coup, la deuxième réclamant une expertise psychiatrique de Mathilde.

 

Ayant compris qu’aucune enquête sérieuse n’était menée par la gendarmerie local au sujet des accusations de Romuald, l’enfant a été amené chez un huissier de justice par son oncle maternel pour écrire sa plainte avec constitution de partie civile. M. avait eu le nez creux : le jour même le classement sans suite était envoyé.

 

Au-delà du fait que la plainte pour les violences sexuelles a été classée sans suite, il y a plusieurs difficultés dans cette affaire :

  • Le tribunal de Foix qui a traité l’affaire au départ aurait dû se dessaisir immédiatement car dans ses activités professionnelles, Mathilde est régulièrement de concert avec l’ASE de l’Ariège, donc dans le cadre des missions de protection de l’enfance auprès de la justice locale.

  • Les services sociaux de l’Ariège veulent renouer les liens de Romuald avec son père envers et contre tout. Par exemple dans une note de février 2024 ils citent les propos de Romuald qui décrit un viol commis par son oncle en présence du père et du cousin, ils soulignent qu’il refuse de le voir mais ignorent totalement cela pour insister sur la reprise des rencontres avec le père. La "justice" et les services sociaux assument-ils d’être passés dans une autre dimension qui serait celle de la protection des agresseurs, en leur fournissant même leurs victimes, et pas du tout celle de la protection des victimes -qui semblent davantage être l’ennemi à abattre, du moins à faire taire.

  • L’objectif semble être de pousser Romuald à se rétracter. Par exemple, si les services sociaux reconnaissent qu’il maintient ses affirmations, ils estiment qu’il "a de grandes difficultés pour nuancer ses idées, se remettre en question au sujet de son père". Incroyable : on voudrait que cet enfant de 11 ans efface de sa mémoire son souvenir le plus traumatisant alors qu’il s’en souvient parfaitement, et qu’il ait soudain de bonnes dispositions vis-à-vis de celui qu’il dénonce ?

 

 

Le placement comme mesure de rétorsion

 

Et c'est ainsi qu'en mars 2024, Romuald a été embarqué par les services sociaux en urgence à la demande du procureur alors qu’il était au collège. Mathilde a été appelée par les gendarmes qui ne lui ont pas dit de quoi il s’agissait et a été placée en garde à vue. Quant à son fils, il a été placé dans une famille d’accueil, à une heure de route de son collège où il est amené en taxi matins et soirs (et on nous dit que les services sociaux manquent de moyens…). Comme s’il y avait un danger à le laisser chez sa mère à qui rien n’est reproché si ce n’est qu’elle tente de faire appliquer ses droits et ceux de son fils, ce qui a l’air de déranger le petit système local.

 

En fait, Romuald a été "saisi" si l’on peut dire, par la justice, suite à des non représentations d’enfant : en effet, le juge aux affaires familiales maintient depuis 2020 la garde alternée alors qu’entre temps l’enfant a dénoncé des faits graves, qu’il ne veut absolument pas voir son père, et qu’une plainte avec constitution de partie civile est en cours.

 

Comme de nombreux parents dans ces circonstances, et en se basant sur un avis du procureur disant qu’il ne fallait pas forcer Romuald à voir le père qu’il désigne par ailleurs comme complice d’un viol commis avec violences, cette maman n’a pas forcé son enfant à aller chez son père. Romuald dit que son père l’a arrosé avec son kiki, que ce n’était pas du pipi et qu’il ne sait pas ce que c’est.

 

Celui-ci demande la garde exclusive, et au fil des audiences et des rapports ambigus des service sociaux, on comprend que toute l’affaire est résumée au fameux "conflit familial" qui est si pratique pour nier les affaires de violences sexuelles. Car rappelons, encore une fois, qu’un classement sans suite n’est pas un jugement. Les faits n’ont pas été éclaircis, ni dans un sens ni dans un autre et personne ne peut affirmer qu’il ne s’est rien passé. En effet, il s’agit d’un classement sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée, et non pour absence d’infraction.

 

En juin 2023 le juge aux affaires familiales considérait qu’il était "dans l’intérêt de l’enfant de pouvoir renouer immédiatement avec son père", et maintenait encore la garde alternée. En octobre 2023 une autre juge aux affaires familiales du même tribunal de Foix considérait qu’il fallait prendre les paroles de Romuald avec "prudence" et "lui laisser la possibilité d’être déchargé du poids de ses propos en raison du contexte très particulier dans lequel il évolue". En effet, on comprend que des rétractations arrangeraient bien le tribunal. Mais Romuald maintient fermement ce qu’il dit depuis deux ans et refuse toujours de voir celui qui a assisté aux faits sans s’interposer et a participé.

 

Romuald est placé en famille d’accueil très éloignée alors que rien n’est reproché à sa mère et qu’aucune procédure n’est engagée contre elle excepté évidemment une série de plaintes pour non-représentation d’enfant, pour laquelle Mathilde est convoquée au tribunal correctionnel de Foix en juin.

 

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Ce qui dérange la justice et son bras armé les services sociaux est que Mathilde lance des procédures. De quoi parle-t-on ? Du dépaysement du dossier dans un autre tribunal où il n’y avait pas de conflits d’intérêts et où Mathilde n’était pas connue en tant que travailleuse sociale, des plaintes pour les violences sexuelles, d’une plainte pour un enlèvement de Romuald au collège par son père et son oncle alors que l’enfant se débattait et refusait de les suivre, et ensuite des plaintes pour la scolarisation de l’enfant.

 

S’il y a autre chose qui dérange, c’est peut-être dans les actions menées par Mathilde en tant que travailleuse sociale, pour dénoncer le traitement d’un dossier particulièrement ahurissant. Nous reviendrons sur ces dossiers plus tard, car il y a bien des choses à dire.

 

 

 

1En effet à l’époque plusieurs experts avaient trouvé les enfants « crédibles », ce qui a fort dérangé les avocats de la défense qui s’en sont violemment pris aux experts et aux expertises, et depuis il ne doit plus être question de « crédibilité » et l’avis doit rester « prudent » (bien que ça revienne au même).

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12 mai 2024

Une première esquisse du réseau pédocriminel et sataniste en France - et ailleurs

Artchymiste

On avance assez vite ces derniers temps, dans le monde comme en France, dans la compréhension du système pédocriminel et sataniste. Grâce à tous ceux qui retrouvent leur mémoire de ce qu’ils ont subi dans ces réseaux, et à quelques outsiders du monde des renseignements qui ont pu les fréquenter de près, on en sait beaucoup plus sur leurs méthodes, les expériences qu’ils menaient, sur certains protagonistes et leur rôle dans ce système.

 

A quoi ressemble le réseau pédocriminel et sataniste français ? Qui tire les ficelles ? Pourquoi ? La réponse peut sembler évidente dans l’absolu, mais il faut pouvoir dessiner l’organigramme, comprendre le fonctionnement interne et externe de ce système. Il reste beaucoup de pièces à ajouter au puzzle, mais je vais tenter de brosser un premier tableau.

 

 

Il y a 20 ans, après le scandale de l’affaire Dutroux et plusieurs affaires de réseaux pédocriminels qui ont fait l’actualité au début des années 2000 (Tournelles, Toro Bravo, Ado 91, Angers, Outreau, disparues de l’Yonne, Zandvoort…), les autorités, et toute la société ont vacillé aussi bien en Belgique, où il a fallu neutraliser les Comités Blancs de citoyens indignés et créer une ONG inutile appelée Child Focus1, qu’en france où comme on va le voir notre système politique repose sur la pédocriminalité depuis au moins 40 ans.

 

Les moyens ont été mis pour que la chape de plomb reste scellée sur la parole des milliers d’enfants qui ont subi les dérives d’une clique de maboules. Une clique qui tire de nombreuses ficelles dans les milieux pouvoir, et qui est aujourd’hui confrontée à son pire cauchemar : ses victimes, les survivants, sont chaque jour plus nombreux à se souvenir. C’est un long chemin dans les abîmes de leur mémoire, là où le traumatisme est tel que ces souvenirs ne devaient, en principe, jamais remonter à la surface.

 

 

Le système pédocriminel

 

Les réseaux pédocriminels sont censés n’exister que sur internet, et quasiment aucun producteur de pédopornographie n’est envoyé devant les tribunaux. Ils sont quasiment tous considérés comme de "simples" consommateurs et prennent du sursis. Les réseaux n’existent -officiellement- pas en vrai, et comme on l’a vu avec moult affaires, surtout pas quand des notables sont impliqués.

 

Pourtant on connaît aujourd’hui très bien le système de corruption qui est sous-jacent au système politique. Les scandales politico-financiers, les milliards détournés, la vente à la découpe de la france dans une ambiance de copinage décomplexée, la corruption sont notre réalité quotidienne : on voit que c’est nous, les citoyens, qui sommes le dindon de la farce, le mouton à tondre, le pigeon, le bétail réfractaire qu’il faut contraindre.

 

Le système de corruption est consubstantiel à la politique, puisque là où il y a de l’argent et du pouvoir il y a forcément de la corruption dans les mêmes proportions.

 

A ces deux couches –la politique qui permet d’avoir la main sur l’administration, la police, la justice, l’enseignement et la corruption - il faut encore ajouter celle des réseaux. Qu’ils soient officiels ou secrets, ces réseaux mettent pour ainsi dire de l’huile dans les rouages. Citons quelques exemples de réseaux officiels ou quasiment officiels (sauf pour le grand public évidemment) : la franc-maçonnerie, Davos, le club Le Siècle. Et dans les réseaux secrets, il y a de quoi faire : on peut citer la Golden Dawn, l’OTO, l’AMORC2, ou moult groupes confidentiels mais pas moins toxiques…

 

Ayant suivi pendant quelques années les procès en correctionnelle où passent beaucoup de viols sur mineurs, j’ai constaté que très peu d’accusés appartiennent aux classes moyennes, et aucun aux classes privilégiées : tous les accusés -et a fortiori les condamnés- sont issus des classes populaires et ont en général avoué les faits à un moment ou à un autre. Pourtant comme me l’a dit un jour un juge d’instruction : les riches aussi violent leurs enfants mais eux parviennent à ne pas finir au tribunal.

 

On observe aussi qu’aucun sataniste ayant violé et tué des enfants n’a été condamné, ni même renvoyé devant un tribunal français3 : judiciairement, cela n’existe pas. Pourtant, il y a bien des groupes de dingues qui s’adonnent non seulement à la pédocrminalité, mais aussi à des pratiques satanistes, c’est-à-dire des tortures, des meurtres, avec un conditionnement des enfants à supporter puis pratiquer cela. Des enfants en ont parlé, l’ont dessiné, des adultes s’en souviennent, quelques insiders sortis de ce système en ont parlé.

 

Pour ceux qui veulent bien voir, il est évident qu’une partie du fonctionnement de nos sociétés est caché au grand public. L’objet de cet article n’est pas d’effrayer, au contraire il est de donner des outils pour comprendre et donc pour agir, de sortir de cette ignorance qui nous maintient dans notre état de victimes de ces tarés qui nous dirigent.

 

Voyons d’abord la typologie de ces groupuscules qui pratiquent des rituels qu’on peut qualifier génériquement de "satanistes" même s’il y a des tas de variantes, avec ou sans costumes et décorum, avec plus ou moins de sang, qui réunissent des gens de différents milieux et qui semblent constituer une véritable toile d’araignée qui enserre la société toute entière.

 

Qu’il s’agisse de groupes locaux, nationaux ou internationaux, la même configuration se présente. On a dedans :

  • Des gens qui fournissent les enfants, par différents canaux (familial, services sociaux / justice, associations, enlèvements, trafic) qui sont plutôt en bas de la hiérarchie du groupe, plutôt issus des classes moyennes et populaires.

  • Les organisateurs qui sont souvent assez élevés dans la hiérarchie et visent à satisfaire les bénéficiaires.

  • Les bénéficiaires, qui organisent le réseau pour divers motifs : ésotériques, ou pour organiser des trafics, du blanchiment d’argent, corrompre des cibles spécifiques. Là, il ne s’agit pas de prolétaires, car il faut du pouvoir et beaucoup d’argent pour financer l’organisation de ces rituels et de ces massacres.

  • Les visiteurs occasionnels qui font souvent partie du gratin local, national ou international, pour lesquels on organise de grandes cérémonies, et on prépare les enfants de différentes manières. Ces rituels où il y a souvent plusieurs dizaines de personnes voire davantage, semblent être toujours très sanglants.

 

On comprend aujourd’hui qu’il y a en quelque sorte "un réseau pédocriminel et sataniste" mondial, qui est pyramidal, et a déployé des ramifications dans les pays. Cette toile d’araignée a recouvert la plupart, si ce n’est toutes les institutions.

 

C’est comme une grande secte mondiale, avec des chefs, une cour, des petites mains, d’autres qui ont été attirés par la lumière, des complices qui se taisent. Et beaucoup, beaucoup de victimes.

 

Le problème, outre le fait qu’ils constituent un pouvoir et un système dans le système, est que les pratiques de ces groupes sont hautement toxiques pour l’ensemble de la société :

  • Corruption généralisée sur le mode de la franc-maçonnerie : les membres de ces groupes travaillent d’abord pour ces groupes et ils sont présents dans les lieux de pouvoir qu’ils cherchent systématiquement à infiltrer.

  • Meurtres et tortures,

  • Pédocriminalité généralisée avec la volonté de la normaliser dans la société,

  • Trafic d’enfants à une échelle industrielle,

  • Expériences "médicales" et autres sur des enfants -et des adultes,

  • Conditionnement des enfants à des pratiques criminelles, sexuelles, à accomplir diverses tâches même une fois adultes.

 

Œuvre du street artiste JR pour les 30 ans de la pyramide du Louvre

 

Quand on commence à comprendre qui est impliqué au plus haut niveau dans ces horreurs, on comprend aussi pourquoi l’omerta est aussi puissante. Qui a intérêt à ce que ça s’arrête, à ce que de bêtes citoyens déboulent comme un chien dans un jeu de quilles, mettant en l’air tous les secrets et les liens de corruption ?


Par ailleurs, ce phénomène semble s’être aggravé au fil des années, en france comme ailleurs. Si les réseaux pédocriminels remontent au moins à l’Ancien Régime4 dans les plus hautes sphères du pouvoir, j’ai l’impression que depuis la Deuxième Guerre mondiale ces réseaux ont été repris en main, via l’OTAN et la franc-maçonnerie (notamment les groupuscules parallèles tels que l’OTO, la Golden Dawn, la Wicca, Abrasax…), par les anglais et les US.

 

C’est très clair quand on regarde le réseau belge, dont l’organigramme est partiellement connu grâce à l’affaire Dutroux, auquel le schéma du réseau français correspond en très grande partie.

 

Ces réseaux servent à corrompre une certaine "élite" politique et économique, à laquelle on permet diverses magouilles dont certaines ont fini en scandales politico-financiers, pour qu’elle agisse conformément aux intérêts de ceux qui les tiennent, qui les financent, qui font ou défont leurs carrières et leur opulence, et qui semble être l’aristocratie financière anglo-saxonne, qui est intimement liée aux familles royales. Ces intérêts impliquent aujourd’hui de nombreuses attaques sur les libertés et le semblant de démocratie dans lequel nous avons vécu quelques années en occident : perte de souveraineté des Etats européens, néo-libéralisme, destruction physique et psychique des sociétés par tous les moyens.

 

 

Il apparaît que les individus cités par les survivants, ceux qu’ils ont connus dans ces réseaux et dont ils ont un souvenir précis, sont ceux que l’on voit dans le petit monde des affaires internationales et nationales.

 

On dirait que les familles de nazis étaient des recrues de choix pour renforcer ces réseaux après la guerre, en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, en Australie, aux Etats-Unis. Je m’interroge sur un "effet de Gaulle", qui aurait retardé cela ou bloqué cette dynamique en france jusqu’à la fin des années 60 (de Gaulle a démissionné en 1969).

 

De fait, les familles de Collabos sont en france bien représentées dans l’organigramme du réseau qui est en train de se dessiner. Même si leurs rejetons sont devenus "socialistes" ou "républicains", leur vision de la société n’a pas vraiment changé.

 

 

Structure

 

Maintenant, il est intéressant de comprendre comment sont organisés ces réseaux : qui est dedans, pour faire quoi, quels sont leurs objectifs ?

 

Au niveau international et national, probablement aussi au niveau local, ces réseaux fonctionnent comme de grosses mafias qui font différents trafics et siphonnent l’argent créé par les populations de plein de manières différentes. Où va exactement cet argent ? Difficile de le dire après qu’il soit passé dans les paradis fiscaux.

 

Les trafics dans lesquels ces réseaux sont impliqués peuvent être variés : trafic de drogues, d’armes, d’enfants, de femmes, d’organes, détournements de fonds, délits d’initiés, marchés publics truqués et dessous de table, endettement du pays… Des réseaux pédocriminels permettent de couvrir le tout, puisqu’ils est acquis que la justice n’ira jamais creuser par-là, surtout si des personnalités sont impliquées.

 

Comment est structuré ce réseau, comment s’organise-t-il ?

 

D’après ce qu’on comprend aujourd’hui, il y a plusieurs couches, à différentes échelles de territoires :

  • Des réseaux locaux, avec a priori une très bonne couverture du territoire. Ils pratiquent leurs séances de pédocriminalité et de satanisme dans des zones plus ou moins limitées. Ce sont des groupes de 10, 20 personnes, qui peuvent être en contact avec d’autres réseaux locaux avec lesquels des rituels ou des trafics communs peuvent être organisés. Selon les témoignages, on a des notables du coin parmi les membres de ces réseaux locaux.

  • Un gros réseau national, dans lequel on a des politiciens, des PDG de multinationales, des banquiers, ainsi que des hommes de main qui peuvent être des gens du show biz, des politiques locaux, des tueurs en série, qui approvisionnent le réseau. Ce réseau national n’est probablement pas organisé par les politiciens, qui ont davantage un rôle d’idiot utile, de pion. Qui mène la danse macabre du réseau français ? Il y a plusieurs pistes.

  • Le réseau international qui est clairement tenu par les anglo-saxons, les familles royales et leurs banquiers. Qui manipule qui là-dedans ? La question reste ouverte. Ce réseau s’étend jusqu’en Chine et Russie depuis des dizaines d’années, mais il est difficile de savoir s’il est aussi bien implanté là-bas qu’ici.

 

 

Ces réseaux locaux peuvent être connectés à ce qu’on peut appeler le "réseau national", dans lequel on a des personnages de premier rang, par l’intermédiaire de membres qui sont liés à ce gratin et qui ont un pied dans le réseau local. C’est ainsi que des enfants qui sont d’abord victimes du réseau local peuvent aussi subir des rituels et autres violences avec le gratin "national", et être exploités en même temps ou par la suite au niveau international.

 

Les réseaux locaux semblent servir de vivier à ce gratin national et au gratin local. Il y a des pères, des parents, qui pour faire carrière ou bénéficier de faveurs n’hésitent pas à mettre leur enfant dans ce système de partouzes pédocriminelles et de rituels. A vendre leur enfant pour un peu de renommée, un peu de pouvoir. Qu’ils aient été ou non initiés eux-mêmes dès l’enfance, l’appât du gain et l’ego semblent être des moteurs non négligeables.

 

Il est difficile d’évaluer l’ampleur du phénomène, mais des réseaux avec ce genre de pratiques sont présents un peu partout sur le territoire : dans toutes les régions, en ville comme à la campagne. Ces réseaux créent des structures comme des foyers d’accueil ou des clubs sportifs, des crèches, des associations de jeunes ou culturelles, des entreprises pour blanchir de l’argent. Ils ont des membres dans la santé, l’éducation, la police, la justice, les médias, la politique, dans des entreprises de télécoms, de la défense, du numérique…

 

Leurs membres infiltrent aussi les communautés religieuses, protestantes, juives, catholiques, musulmanes, les sociétés initiatiques comme les francs-maçons, le Rotary local…

 

Si l’on en croit les témoignages, ils sont vraiment présents partout à divers degrés. Nettoyer les écuries d’Augias sera donc compliqué et nécessitera de demander des comptes à tous les niveaux pour procéder à une épuration réelle de notre société5.

 

 

Ce que cache le réseau pédo-sataniste

Que cache ce système pyramidal, à quoi sert-il ?

Il y a deux aspects :

  • L’aspect occultiste, ésotérique. Qu’il s’agisse d’appeler des démons, des entités, de les manipuler, de créer des égrégores, il y a des pratiques de cet ordre dans la plupart des rituels. Il y a ceux qui dirigent la "cérémonie", ceux qui y assistent, et dans ces réseaux il y a aussi des victimes qui sont torturées et massacrées car selon leur théorie, une victime traumatisée produit des substances telles que l’adrénaline, qui "boostent" le sang que les dingues vont consommer pour appeler ces esprits ou ces démons, sur lesquels le traumatisme agit par ailleurs comme un aimant. Ces groupes semblent très souvent appeler des forces obscures, des démons, je ne sais pas exactement de quoi il s’agit. Et certains individus parmi eux ont l’air de considérer que cela fonctionne, que ça les rend plus puissants etc.

  • L’aspect mafieux. Là, il s’agit clairement de siphonner un maximum d’argent, de ressources, et d’avoir la domination maximale sur tout. D’où les trafics, l’organisation digne de celle d’une multinationale géante avec des milliers de filiales, l’infiltration systématique des milieux de pouvoir. Tout le monde en profite à son niveau, sauf bien-sûr ceux qui paient et ne font pas partie de ce système.

 

L’existence et l’action de ce réseau mondial n’expliquent pas tout. Ce réseau est un symptôme de l’idéologie mortifère partagée dans certains milieux puissants, et il contribue à perpétuer le désastre mondial qui sert les intérêts de ces milieux, dessinant progressivement une société globale à l’image du monde dont ils rêvent.

 

Par exemple, on a des banquiers de très haut niveau dans ces réseaux, des politiciens du plus haut niveau, qui dans leur vie professionnelle, et dans leur vie privée, obéissent à un plan qu’eux-mêmes ne définissent pas.

 

Kim Noble

On a l’impression qu’une petite clique tout en haut de ce système décide d’actions en termes de géopolitique, de finance, de religions, de défense, de nouvelles technologies, d’ingénierie sociale… Et ces actions sont ensuite implémentées par les ONG, les fondations, les institutions internationales, les gouvernements qui sont de plus en plus à leur botte. Le système pédo-sataniste met beaucoup d’huile dans les rouages.

 

En France, les politiciens qui sont impliqués dans ce réseau tapent aussi dans la caisse, ils touchent des millions sur les gros contrats, sur les emprunts bancaires, ou encore de la part de milliardaires étrangers. De quoi graisser les copains et s’assurer qu’ils continueront à profiter du grisbi. Si on regarde certaines des plus grandes affaires politico-financières, on voit que l’organigramme est très proche de celui du réseau pédo-sataniste au niveau national à la même époque. Et la vision que nous avons aujourd’hui est loin d’être exhaustive.

 

Ces politiciens ne sont que des guignoles, manipulés par ceux qui leur permettent de se gaver sur notre dos, ceux qui les choisissent : les grands financiers, dont certains sont aussi dans l’organigramme du réseau, et plutôt dans le haut de la pyramide.

 

Au-dessus de ces banquiers, et au moins au même niveau, il y a probablement tout le gratin « royal » européen. Dont une partie sert à amuser la galerie, mais qui a un pouvoir réel dans le réseau sataniste. En France, où on a calmé les aristocrates il y a de cela quelques siècles, c’est plus diffus mais le schéma est certainement le même qu’en Belgique ou en Grande-Bretagne.

 

Il s’agit de contrôle social et d’accaparement des richesses aussi bien que des leviers de pouvoir, le tout au service d’une idéologie qui est clairement eugéniste. Depuis des siècles, ces individus sont occupés à cela, et si aujourd’hui on peut dire que la prise en main de la société est quasi totale, demain avec l’avènement du contrôle numérique permanent, nous n’aurons plus aucune marge de manœuvre. C’est notre cauchemar et c’est leur rêve.

 

En plus de cela, les témoignages montrent que des expériences de type "MK-Ultra" ont été menées en France. Pour l’instant, je dirais que ça a commencé au début des années 80 chez nous : il est question d’expériences "médicales" dont on ne connaît pas forcément l’objet, mais certaines visaient à tester des produits, des "vaccins", des méthodes de lavage de cerveau, sur des enfants. En France. Pays des droits de l’homme paraît-il. D’autres expériences étaient plus bizarres, probablement basées sur des ondes électromagnétiques, ou encore dans le domaine des puissances "démoniaques".

 

Il y avait dans haut du réseau français une fascination pour les capacités psychiques des enfants, au moins dans les années 80. Au moins une partie des enfants semblaient sélectionnés en fonction de leurs capacités, par exemple à décrypter les gens, à servir de "canal" avec les choses que ces individus invoquent, ou autre. Il reste beaucoup à éclaircir dans ce domaine.

 

 

Quelle stratégie ?

 

Parmi les enfants qui ont subi les violences sexuelles et rituelles - ce qui inclut le lavage de cerveau - et ont très souvent assisté aux tortures et aux meurtres d’autres enfants avant de devoir tuer eux-mêmes, certains sont destinés à monter dans le réseau : ce n’est plus le réseau local qui les contrôle, mais un ou des membres du réseau national, puis international.

 

Ceux-là semblent être préparés depuis l’enfance pour différents objectifs. Aux Etats-Unis, ils parlent d’ "esclaves mind control" pour désigner le fait que la programmation subie depuis l’enfance (par le traumatisme et par des moyens technologiques) fait qu’une personne peut rester sous contrôle. Tout en ayant l’impression de maîtriser la totalité de sa vie, cette personne peut être mise dans un état de dissociation par un code, un mot, une phrase, un objet, un son, une couleur…

 

Dans cet état de dissociation, les contrôleurs, ceux qui détiennent les codes, peuvent faire émerger un programme ou une personnalité créée pour accomplir une tâche, puis se taire et oublier. Par exemple, la personne est tranquillement devant sa télé dans son salon, quand le téléphone sonne. Un mot-clé, un son sera transmis à la cible qui va immédiatement être plongée dans un état de dissociation, et peut-être enclenchée pour agir de telle ou telle façon. Pendant deux jours, deux semaines, la personne part de chez elle sans en avoir conscience, comme sous hypnose mais ce n’est pas vraiment de l’hypnose, et elle fait ce qu’on lui demande.

 

Par les traumatismes, des "programmes", par exemple de suicide, d’entraînement au combat, de langues étrangères, ou simplement pour aller ouvrir la porte suite à un déclencheur, sont implantés dans le psychisme de la personne. Elle oubliera tout : le traumatisme et la programmation. Mais, ceux qui ont implanté le programme et ont les codes d’accès à ce programme peuvent toujours le déclencher, potentiellement plusieurs années après la dernière "mise à jour" de la programmation. Le livre de Chantal Frei6, survivante du réseau suisse et international, explique très bien ces méthodes par lesquelles ces réseaux conditionnent les enfants dès la naissance, puis les adultes.

 

Il y a en france des gens dans ce cas, qui ont eu ce type de programmation et qui, s’ils ne sont pas sortis du système, sont utilisés par lui. Certains, la majorité vraisemblablement, ignorent tout de ce qu’ils ont subi. Ils ont une vie "officielle" et une vie dans le réseau depuis leur naissance, ils ont été éduqués à avoir ces deux vies en parallèle. Et quels métiers font-ils ?

 

D’après ce que je sais : ministre, député, maire, psychiatre, prof d’université, journaliste, mannequin, star du show biz (chanson, cinéma), instituteur, infirmière, avocat, juge, patron d’une boite de com, de sécurité, de nettoyage, trafiquant de voitures…

 

Le champ est vaste, et a priori il y en a partout, plus ou moins activés, plus ou moins dissociés.

 

Tout ce monde, consciemment ou non, auquel il faut ajouter les arrivistes en tous genres, sont les petits soldats qui assurent la "bonne" marche de la société, dans le sens voulu et avec le tempo voulu. Ils font en sorte que notre société reste malade, par un fonctionnement totalement paranoïaque qui ne peut que nous mener à la destruction de nos sociétés -et du corps social7.

 

Dans cette interview de Chantal Frei, nous abordons plusieurs de ces sujets :

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Je vais arrêter là cet article, l’idée étant de résumer certains éléments qui apparaissent au fil du temps et des témoignages. Les choses devraient s’éclaircir plus rapidement à présent : je sais que nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir mettre fin à ce système, et il y a toutes les chances qu’on mette la lumière sur les actes de ceux qui aiment tant nous dire ce qu’on doit faire et penser.

 

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1Les Comités blancs étaient des groupes de citoyens qui se sont mis en place spontanément pour dénoncer et faire la lumière sur les réseaux pédocriminels, à la suite de l’affaire Dutroux qui a scandalisé l’opinion publique (une marche blanche a réuni 350 000 personnes à Bruxelles en 1996, soit un Belge sur 20). Les autorités se sont mobilisées pour les infiltrer et les neutraliser, et ont mis en place l’association Child Focus qui a été placée entre de "bonnes" mains, et se borne à coller des affiches pour retrouver des enfants disparus – y compris ceux qui sont cachés par un parent pour leur sécurité.

2Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix.

3Ou quand c’est manifestement le cas, comme dans le cas du meurtre de Lola, l’aspect sataniste est occulté sciemment lors des enquêtes.

4Voir notamment « La marche rouge : les enfants perdus de l’Hôpital Général » de Marion Sigaut, dont on parlé dans cet article.

5En référence à ce qu’on ose appeler l’ « épuration » d’après-guerre, en réalité une vaste entreprise de recyclage des nazis et collabos.

6« Satanisme et violence ritualisée. Une survivante parle », paru en décembre 2023 (j’ai présenté le livre dans un article de janvier 2024).

7Je renvoie vers l’ouvrage d’Ariane Bilheran paru en octobre 2023 « Psycho-pathologie du totalitarisme » que j’ai présenté dans une note de lecture.

30 avril 2024

Conseils pour les survivants, par Lisa Meister : la famille, une zone de danger

J'ai traduit ces deux interviews, de Lisa Meister et d'Asia Raine, deux survivantes du réseau pédocriminel et sataniste aux Etats-Unis, parce qu'elles répondent à des questions qui se posent lorsque les gens commencent à se souvenir de leur passé dans ces réseaux. 


 

De plus en plus de gens, dans le monde et aussi en France, commencent à comprendre qu'ils ont été plongés par leurs parents dans le système des réseaux pédocriminels, satanistes, de contrôle mental. C'est un processus lent, que je n'explique pas complètement tant l'omerta était encore puissante il y a un an dans ce pays. 

 

Depuis le covid, des survivants parlent publiquement, d'abord aux Etats-Unis, puis en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Suisse. Mais partout, je pense notamment à la France et la Belgique, il y a aujourd'hui des gens qui se souviennent de plus en plus précisément qu'ils ont subi les traumatismes spécifiques de ces réseaux qui pratiquent l'exploitation sexuelle des enfants, utilisent des méthodes de manipulation mentale et même de programmation, et sont souvent adeptes des délires satanistes -mais pas toujours.

 

Il y a besoin d'outils pour traverser cette période très difficile psychologiquement : que faire en effet quand des souvenirs toujours plus sordides et violents, mais aussi toujours plus précis, viennent vous "bombarder" sans prévenir, par vagues, par rafales ? 

Comment se protéger quand nos proches sont majoritairement impliqués dans ce système, qu'ils en aient ou non conscience ?

 

Ces deux vidéos donnent des pistes :

 

La famille, zone de danger

 

Lisa Meister s'adresse aux survivants et qui sont encore en contact avec leur famille impliquée dans ce système alors qu'ils commencent à reconstituer le puzzle de leur passé. Elle explique qu'il faut partir du principe que ce qu'on leur dit sera transmis au réseau, et que pour se protéger il faut être très vigilant.

 

Elle insiste sur le cas des mères qui, dit-elle, sont en général les dernières dont les survivants comprennent qu'elles sont impliquées, mais qui sont très souvent aux commandes bien plus qu'il n'y paraît.

Asia Raine: L'archéologue intérieur

 

Dans cette interview par Max Lowen, Asia Raine revient rapidement sur son parcours et explique comment explorer les souvenirs et les différentes parties dissociées de soi-même dans le cadre du parcours de guérison.

 

Des conseils qui peuvent servir à tout le monde, car nous sommes tous dissociés, à différents degrés selon les moments, comme me l'a rappelé un survivant récemment !

 

25 avril 2024

Interview avec un insider

Voici une interview avec "Quonrad", fidèle serviteur des élites satanistes, qui de là-haut a décidé de nous raconter les plans dont ses maîtres parlaient, leur vision du monde, leurs manipulations. Les mots de Quonrad sont écrits par un survivant qui souhaite faire passer certaines informations dans le public, montrer quelle est la vision du monde de cette clique de pédocriminels eugénistes dont on parle parfois ici.

 

Nous avons préparé cette interview à deux mais ce texte est in fine un témoignage de l'intérieur, à mon avis précieux, qui plonge dans cette réalité obscure parallèle à la notre, mais qui est celle des affaires du monde. 

 

Bonjour Quonrad. C'est notre première interview. Pourquoi me parler ?

J’ai 99 ans. J’en ai passé 60 à servir. Depuis 20 ans, je suis mort. Je regarde en silence, depuis ma villa, ce monde qui ne se comprend plus lui-même. C’étaient 20 douces années. Mais j’arrive au but, et me taire n’a plus de sens, me taire ne permettra plus de me faire vivre plus longtemps. Je me suis trop tû.

 

 

Pourquoi moi ?

Karma. Providence. Statistique. Instinct. Qui d’autre que vous pourrait ET entendre, ET croire, Et comprendre, ET publier ?

 

 

Votre message parlait de mind kontrol, d’aristocraties totalement inconnues, de cuisine humaine. De quelle cuisine humaine parlez-vous ?

 

Je ne pourrais pas dire grand chose de la cuisine humaine au sens littéral. Je sais que certains de mes employeurs mangeaient de la chair humaine dans des contextes payants, très huppés. Je n’y étais pas. 

 

Je sais que les trafiquants d’humains considèrent la viande, au même titre que les organes, comme un marché. J’ai parlé à un certain nombre d’entre eux. Il m’est arrivé d’avoir à gérer des situations de crise impliquant des enfants, mais je n’étais qu’un maillon. Je n’ai vu ni le début, ni la fin de la chaîne. Certains parlaient de choses.. Inimaginable. Mais j’étais là pour qu’ils se taisent. Pour qu’ils aient confiance.

 

La “cuisine humaine” relève plus de la cuisine “sociale”, dans le sens que je connais. Nos groupes sociaux sont cuisinés, sur deux générations, depuis au moins le XVIe. Cuisinés, au sens où on assemble des ingrédients, on laisse mijoter, c’est un peu flou, mais on produit des résultats anticipables.  

 

 

Auriez vous un exemple ?

 

Ah oui… En bonne partie la raison pour laquelle je vous ai contactée. Les gens ne peuvent PAS être aussi bêtes. Ma conclusion est que le niveau de mind kontrol, comme celui de la cuisine humaine, est infiniment plus élevé que nous n’arrivons à l’appréhender. C’est un peu comme un trou noir. On ne peut pas le voir, mais on en voit les effets. Quand les effets sont trop absurdes, mortifères, illogiques, alors, la logique se trouve sur l’autre facette du monde.

 

C’est l’exemple parfait. On bousille méthodiquement le Moyen-Orient et l’Afrique. On génère des chocs sociaux massifs, on libère la monstruosité qui ne demande que ça, partout, tout le temps. Puis, on importe ces pauvres hères, sous le couvert d’un discours humaniste perverti. On met l’état de droit et la justice en échec, et on laisse la situation dégénérer vers la guerre civile et le clanisme social. Quand  le chaos est trop élevé dans les pays européens, l’UE explose ou devient totalitaire, et les nations basculent dans un nationalisme xénophobe et violent. Pour finir par une guerre.

 

Soit la guerre de l’UE contre ses populations nationalistes qui seront alors qualifiées de terroristes, soit une guerre entre nations en cas d’effondrement de l’UE.

 

 

Ok, où est la cuisine humaine ?

 

Dans le regard sur le monde, l’analyse portée. Piller des pays, y installer des dictateurs, empêcher toute amélioration des infra et superstructures… On vous présente ça comme “les ravages du capitalisme”. Alors que du point de vue de certains, qui ont jetés les graines les plus profondes, l’American way of life et la mondialisation commerciale étaient les chevaux de Troie permettant de faire des hommes des monstres pour l’homme, et donc, d’engendrer, inexorablement, de plus en plus de monstruosité, mais aussi de plus en plus d’exigences populaires de coercition et de contrôle.

 

Éradiquer les plus élémentaires logique de préservation d’un groupe social par des idéologies n’ayant aucune autre occurrence historique, ni aucune logique, pourrait paraître absurde, et sembler être le fruit d’une malheureuse dérive. On voit aujourd’hui clairement que des mouvances comme le new age, le wokisme, le monde ouvert sont des logiques mortifères. Avortement, égorgement, euthanasie. Voilà les trois mamelles de l’agenda 2030.

 

On vous parle de tout ceci de manière décorrélée. Pourtant la suppression définitive de l’instinct de survie chez le sujet a fait l’objet de colossales études, depuis des siècles. L’instinct de survie est un obstacle majeur au contrôle mental et donc, à la cuisine sociale. On vous présente les différentes facettes,  new age, wokisme, etc comme des éléments séparés. Mais vu de l’autre côté du voile, toutes ces idéologies sont le fruit du même arbre, celui de l’inversion.

 

De la corruption, de la perversion. Fondamentalement, de tout ce qui permet de nier l’ordre cosmogonique transcendantal et universel du monde. Pour se rêver dieu, pour violer le monde lui-même, il est nécessaire qu’il n’y ai pas de Dieu. Ça peut vous paraître fou. mais les fondamentaux occultes sont les mêmes depuis les templiers, les esséniens, les cathares, les rose-croix etc . jusqu’au WEF, à l’otan, l’OMS, l’UE.

 

Quelles que puissent être les nuances de ces facettes, elles n’ont toutes existé que pour mettre au goût du jour une logique de cuisine humaine qui est celle qui est à l'œuvre depuis les premières dynasties humaines. Quelles que soient les bonnes intentions et les gens biens. 

 

 

Mais là, on est plus dans la paranoïa que dans le complotisme, non ?

 

Non, on est dans l’aveuglement volontaire des populations. Vous n’avez qu’un œil ouvert. Le monde physique, matériel, la 3e Dimension, sont une forme de la réalité. C’est une illusion, dont la réalité n’est qu’immédiate. Les rouages du monde, ceux que dessinent le grand architecte de l’univers, ne vous sont pas communiqués. Ils sont réservés aux bâtisseurs du monde. Mais ce sont bien ces logiques, tant dans la perception, dans l’analyse, que dans la décision et même la mise en œuvre, qui gouvernent nos élites, de tous les pays du monde. Elles ne seraient pas là sinon. Car ceux qui ne regardent et ne considèrent que les conséquences sont le bétail. 

 

 

Ok, mais pourquoi ce besoin de faire le mal ?

 

On pourrait discuter longtemps du mal. J’ai eu une mauvaise vie, mais j’ai rencontré plein de gens exceptionnels. De ce que j’ai compris, le mal est inhérent au monde. Ce principe est souvent mal compris, ou mal instrumentalisé, pour s’autojustifier.

 

Mais sur le principe, l’idée est qu’un principe génère tout le temps un équilibre. Que le mal est là, nécessaire à l’existence de la liberté. Que le mal adviendra de toute manière. Qu’au final, en pilotant les guerres, elles sont plus rentables, elles massacrent des populations mieux choisies, et elles engendrent une meilleur choc de croissance en sortie. Pour certains, prendre soin des populations, c’est gérer l’inéluctable à la plus large échelle possible. Leurs perceptions sont aussi dissolues que leurs mœurs.

 

J’ai passé des décennies à les servir, et leur perception du réel m’apparait encore comme incompréhensible. Le caractère reptilien me semble la seule qualification réaliste. Cette intelligence animale, totalement inconséquente. J’ai vu des hommes grabataires, en phase terminale, gorgés de morphine et de kétamine depuis des mois, se rallumer d’un coup comme une flamme à la mention d’un enfant offert. il y a en eu quelque chose qui les dévore, les dépasse, les surpasse. Toutes les horreurs, toutes les pratiques, tous les cultes visent, en vérité, à incarner le plus possible de cette chose dévorante, pour l’exploiter à régner sur  le monde terrestre.

 

Ca ne s’appelle que très rarement “pacte avec le diable”. Car c’est rarement un pacte. C’est une transmission. Le sacrifié meurt, l’enfant broyé meurt, et de ce vide, les cuisiniers créent des personnalités aptes à devenir exploitables en tant que vecteur, canal de cette chose dévorante, qui peut pudiquement être nommée hubris. Mais qui semble tout de même augmenter drastiquement la probabilité de rester vaillant jusqu’à cent ans.

 

 

Quand vous parlez de dynasties inconnues, à quoi pensez vous ?

 

J’ai vu des petites frappes tellement prêtes à tout, absolument tout, que leur beau-père ou leur mentor trouvait enfin l’héritier de ses rêves, et lui sacrifiait tout. J’ai vu des nourrices gérer plus de pognon qu’une banque, car le petit qu’elles avait eu en garde les avait ensuite gardées toute sa vie à ses côtés. J’ai vu des familles tellement recomposées, perverties, baignant dans le mensonge, que je n’ai jamais su le vrai du faux, qui était à la fois neveu, frère, et belle sœur de qui … et qui pourtant géraient, entre leurs membres et sans aucun formalisme social, un hôpital, 35 agences immobilières, 6 agences bancaires, une étude notariale… Tout à la bonne franquette..

 

Aujourd’hui ça nous semble incongru, mais il n’y a pas une entreprise cotée, une administration, qui n’ai pas, historiquement, été amenée à sa position de pouvoir sur la société sans qu’une dynastie masquée ne l’ai réalisé. Ce n'est pas du "complotisme". La réalité est plus triviale que ça. Il n’y a pas un véhicule de pouvoir ou d’argent qui n'a pas fait l’objet d’une lutte à mort entre les dynasties occultes en puissance. Quelle que soit l’époque et le lieu, je pense pouvoir dire aujourd’hui que c’est une règle universelle, ontologique. Idem pour les églises. Les histoires sont uniques. Chaque histoire est unique. Chaque lutte, chaque victoire, crée une petite alliance de circonstance. Vient un jour où il faut choisir, entre les objets de pouvoir conquis, et sa descendance génétique. Je n’ai jamais servi personne qui ai sacrifié sa réussite pour sa famille.

 

Les dynasties ne sont pas génétiques, elles sont historiques, diplomatiques, et parfois antagonistes avec les “apparences familiales”. Les gens sous-estiment trop cette réalité. La loyauté est clé. Pour un cerveau  prédateur, la loyauté est un concept difficile. Disons que pour nous autres, trouver une logique à leur loyauté peut sembler compliqué. Le plus incompréhensible, c’est probablement les strates les plus profondes du contrôle mental. La loyauté de la victime à son bourreau.

 

 

On parle de syndrome de stockholm, alors ?

 

Non non ! Le syndrome de Stockholm implique un mécanisme inconscient de survie psychique visant à adhérer à la réalité du bourreau pour garder un semblant de sens. Là je vous parle des gens qui ont vu leur bourreau éradiquer leur famille, violer et tuer leurs gosses, et qui finissent par devenir leurs âmes damnées. Ca, c’est dur à comprendre. Même à presque 100 ans.

 

 

Comment ?

 

Photo de Gáspár Ferenc

La réalité du sujet. C’est au final, je crois, l’objet de toutes les “cuisines”. La réalité est une construction strictement individuelle. Nous coexistons tous dans un substrat, le réel, que nous échouons tous à percevoir de manière objective. notre “réalité” est, de fait, déjà une cuisine. Entre nos perceptions neurologiques et notre “ réalité ”, il y a une quantité incroyable de prismes…Fondamentalement, le contrôle mental passe toujours par un contrôle de la réalité sous-jacente du sujet. Réduire la réalité de l’autre à des éléments que l’on peut manipuler.  Écarter le sujet de l’accès au réel, à l’altérité, pour l’enfermer dans une réalité qui est le contrôle, par elle même. 

 

C’est assez simple, en plus. Le sujet doit être saturé d’informations provenant du handler. Le “réel” ne doit plus avoir de place, de temps, de disponibilité dans le cerveau du sujet. Le sujet doit vivre dans un “bouillon” dont tous les ingrédients sont déjà contrôlés. Mais je suis au regret de devoir préciser que cette méthode a été entièrement mondialisée, généralisée, avec l’informatique. De mon point de vue de trop vieil homme, les adultes actuels sont à 99% préoccupés par des informations issues de narratifs, plus personne n’est en prise avec le réel, ou presque. Notre société n’est plus qu’un grand bouillon, de tous les points de vue.

 

 

C’est à dire ?

 

Phagocyter les capacités cognitives du sujet avec des réalités fictives afin qu’il ne soit plus en prise avec le réel c’est une chose. Seulement, de nombreux mécanismes psychiques viennent s’opposer à cette démarche. Ce qui est logique: techniquement, la survie et la qualité de vie du sujet sont lourdement oblitérées. Pour faciliter l’enfermement dans une ou des réalités imbriquées, il faut affaiblir les défenses. Affaiblir le mental. Affaiblir le physique. Un sujet malade, ayant mal, est beaucoup plus perméable. L’alimentation, l’eau, tout le champ de l’hygiène de vie est instrumentalisé au profit de la cuisine sociale, psychique.

 

Un très grand nombre de variables produisent le “sujet” tel qu’on le perçoit. Depuis des millénaires, l’impact des éléments extérieurs sur le sujet est étudié. Chaque progrès ayant été réalisé consiste toujours à séparer une méthode produisant du bon, d’une méthode produisant du mauvais. Quand on a compris que les rats intoxiqués au  fluor devenaient débiles, les études ont été classées. Mais 10 ans plus tard, j’ai vu apparaître du fluor dans l’eau de boisson et l’alimentation. Pareil pour les ondes. Les recherches ayant conduit aux fréquences mobiles actuelles étaient des recherches, réussies, de militarisation. D’ailleurs, comme toujours, il l’ont dit et montré, pour ne pas être en dette. En Australie, ils ont cuit des manifestants au canon à micro ondes. Crême. Tout le monde a avalé, sans rechigner. Là, on est sur des niveaux de contrôle mental absolument inégalés. Pour pouvoir faire ça, il faut beaucoup, beaucoup de facteurs concomitants. 

 

Des manifestants se font bombarder de micro ondes au point de subir des lésions tissulaires oedémiques, des pétéchies, des troubles nerveux, et derrière, il te racontent ça en live, sur le smartphone 5G, assis face à une antenne. Si je te dis: le type s’est fait jeter un cocktail molotov dessus, et une fois sorti de 6 mois de grands brûlés il a fait un live, durant lequel il s’est jeté un cocktail molotov dessus pour montrer aux gens, tu va me répondre qu’il est cintré. Je te dis “ les ondes sont une armes, ils les maîtrisent, les utilisent, et vous l’ont montré… “

 

Le cerveau disjoncte : “de quoi ? Hein ? Je pige pas“ ?

 

Zachery Hawkins

Dissociation. C’est simple à comprendre, tu comprends très bien la métaphore, mais pas les ondes. 

Comment en arriver à ça ? On dépasse la manipulation des foules. On dépasse le mind kontrol.


On dit souvent qu’on peut mentir longtemps à une personne, peu de temps à beaucoup de personnes, mais pas les deux. Nous n’en sommes plus là depuis l'après-guerre. Le Reich et l’URSS ont chacun à leur manière marqué la bascule de l’industrialisation de l’occulte, de la manipulation des masses comme des sujets.

 

Leur syncrétisme post 91, au sein d’une mafia mondialisée qui a pris le contrôle des institutions à cette occasion, a ouvert un nouveau champ de manipulation. La réalité. La manipulation des foules “traditionnelle” commence à chaque messe, à chaque meeting politique, à chaque événement sportif. La manipulation mentale commence avec les parents, l’école, la publicité..

Fondamentalement, notre cerveau est programmable, c’est ce qui fait sa puissance. L’apprentissage est une manipulation des capacités programmatiques de notre système neuronal. La société est une manipulation des foules permettant de cheminer ensemble. 

Jusqu’à l’après URSS, on était encore dans des “abus usuels”. Dans la “triste normalité historique” de gens dominés par leurs traumas, névroses, fantasmes, addictions et secrets. 

 

Du point de vue d’un sujet comme d’un groupe social, le contrôle mental visait à analyser les profils, et à jouer sur les leviers existants. Baisser les leviers de résistance, pousser les leviers de soumission. Classique. Plus le sujet voit sa position se dégrader sur son spectre de résistance, plus il va naturellement déclencher, de lui-même, des mécanismes de réaction automatique, de survie, de peur, de déréalisation projective anticipatrice. Mais ça marche aussi dans l’autre sens. Plus tu pousses le spectre de la manipulation, plus le sujet va devoir de lui même abaisser son spectre de résistance pour ne pas exploser psychiquement.

 

C’est important de regarder cet état de fait: la manipulation, la programmation, le déni, la dissonance, la dissociation, la névrose, ce sont tous des mécanismes naturels, des capacités structurelles. C’est leur apprentissage, leur maîtrise, qui a permis de les exploiter à des fins occultes. Mais c’est là, partout, c’est naturel. Le problème actuel est que l’industrialisation de l’occulte a intégré la linguistique, tous les occultismes, l’informatique, et surtout des quantités astronomiques de pognon. La science noire est le trou final de tous les trafics. Les gens n’imaginent pas.

 

Le niveau de manipulation d’un sujet ou d’un groupe social est toujours à considérer sur la base de ces deux spectres censés se réguler, mais dont la connaissance fine permet de provoquer des cercles vicieux. Une fois pensé, compris ainsi, la majeure partie des leviers sont devenus conscients, et, donc, plus difficilement manipulables. En revanche, quand les gens en viennent à ignorer l’entièreté de leurs besoins vitaux, physiques, et psychique, on atteint des niveaux absolument délirants de contrôle.
Ce n’est plus de la manipulation, du contrôle, ce à quoi on assiste en ce moment est nouveau.

 

En quoi ?

Le mind control, la manipulation des masses, utilisent les leviers naturels de sujets humains pour différentes finalités. Depuis l’école, l’église, certains emplois.. Le “drill”, l’exercice visant à entériner une mémoire réflexe d’ordre musculaire, est un magnifique exemple de contrôle mental extrême, qui a pourtant une grande majorité de finalités positives. Mais on parle toujours de sujets sous emprise, de sujet ayant une épisode, une phase, de dissociation.

 

De mon point de vue, la concomitance de l’ensemble des leviers découverts et industrialisés depuis les années 90 a conduit à l’industrialisation “soft” de ce qui relève plus désormais du mort vivant. Les gens sont dominés par des narratifs, sont agglomérés à des pulsions totalement artificielles et instrumentalisées. A l’échelle du sujet, à l’échelle des groupes sociaux, comme à l’échelle des états, le contrôle et la manipulation ont atteint un stade qui relève de l’éradication du sujet, simplement…

 

C’est quoi un sujet ? Nos concitoyens ne répondent, simplement, plus du tout à la définition ontologique du sujet. Libre arbitre 0, empathie 0, émotion 0, ça encore on en produisait déjà pas mal. C’est un profil relativement récurrent, dans toutes les populations humaines. Mais pas majoritaire, jamais. Le plus symptomatique n’est cependant pas là. C’est bien la disparition de l’instinct de survie qui doit nous alarmer.

 

Photo de Lukas Rodriguez

Les sujets sous contrôle mental ayant été totalement brisés et remplis par de l’automatisme ne sont en effet plus soumis à leur instinct de survie. Mais toute une population ? Non. Quelque chose cloche. Pour réduire un sujet à ce niveau de zombification il faut lui infliger beaucoup de choses, et le traitement de masse entraîne toujours de lourdes pertes de tous ordres. Nous ne sommes pas sur ces méthodes.


C’est plus profond. C’est linguistique. L’inversion perpétuelle de tout, la valorisation publique du discours d’inversion a fini par fracturer le rapport même au réel. Les gens ne pensent plus.

 

Corrompre les mots, c’est corrompre le sens du mot, et corrompre toutes les logiques utilisant ce mot, dans le cerveau du sujet. La répétition, le drill, a été appliqué à la linguistique, à la philosophie, à tout. Par le symbolisme. L’image. La publicité. Le cinéma. Ils ont placé leur graines à la source. Dans les mots, qui forment le carcan de tout et tous. Ca n’est plus les gens, ou les sociétés, qu’ils veulent contrôler.

 

Ce sont les réalités individuelles, en tant qu’illusion individuelle nous liant tous dans un “réel” consensuel, qu’ils ont braqué.

 

Pourquoi tout ramener à des spectres sans cesse ?

Nos élites ont divisé le cerveau des gens comme elles ont divisé la géographie d’Afrique. Depuis 3 siècles, on vous dit que le réel est construit en points, en lignes, en limites, en cases.. Mais ces protocoles permettant de faire abdiquer au sujet sa faculté de juger sont construits non sur des lignes à franchir, mais sur des curseurs à influencer. C’est gourmand.. La vie est gamme. Spectre. Nuance et interaction. C’est en ça que la société occidentale actuelle vit une première historique.

 

Ceux qui ont inventé le grand architecte, ou le grand horloger pour les profanes, ont justement créé un faux dieu dont la métaphysique, la cosmogonie même est la mort. Un architecte, un horloger, ça fait tenir debout, et ça fait agir par automatisme des structures qui, pour fonctionner correctement, doivent être nettoyées de toute vie.

 

 

Merci Quonrad. A bientôt peut-être...
 

22 avril 2024

Placements abusifs : quand la justice considère les enfants comme un instrument de rééducation des parents

Les interventions des services sociaux sont souvent hors sol : des enfants réellement en danger sont laissés dans leurs familles, pendant que des enfants dont les parents sont investis dans leur éducation sont embarqués et placés dans des foyers ou des familles d'accueil. Où on sait que les violences sont présentes, y compris les violences sexuelles. Voici un cas d'école.

 

Trois enfants âgés de 10 à 14 ans, qui évoluaient très bien, vivaient avec leur père dans une ferme en pleine nature, apprenaient l'autonomie, étaient instruits, ont été soudainement enlevés par les services sociaux en mai 2022 : deux sont dans un foyer, le plus jeune est dans une famille d'accueil.
Aujourd'hui, la situation est très difficile : pour le papa, qu'on appellera Cédric, comme pour les enfants, le choc a été énorme, la décision du juge aux affaires familiales reste incompréhensible.

 


Les services sociaux ou la menace du placement contre les parents récalcitrants

 

J’évoque cette affaire qui est aujourd’hui d’abord une affaire de placement, mais dont le contexte général semble très lié à ce dont on parle sur ce blog. Les parents sont tous deux issus de familles pour le moins compliquées, avec lesquelles tous les deux ont coupé les ponts ou pris leurs distances. 

 

A partir de 2016, le comportement de la mère est devenu plus violent avec les enfants, et elle était à cette époque, selon Cédric, dans un état de souffrance manifeste. Les services sociaux ont commencé à s’intéresser à la famille suite au signalement d’une nourrice

 


Puis Cédric a été expulsé du domicile commun, et l'entreprise que le couple avait en commun a été littéralement transférée par un jeu d'écritures à la mère, idem pour la maison, et Cédric a ainsi été mis à la rue en quelques mois. C’est à ce moment qu’est intervenue la rupture.

 

Les enfants sont restés avec leur mère (avec une garde alternée pour Cédric) et dès le départ, Cédric a signalé que les enfants allaient moins bien au retour de chez leur mère.


La situation s’est encore dégradée après que la mère ait repris contact avec son père, et se soit remise en ménage avec un individu qui n'inspire pas confiance à Cédric. En 2018, le dernier est revenu perturbé, apathique, le regard perdu, et avait un comportement sexuel qu’il n’avait pas avant. Cédric a constaté qu’il explosait fréquemment en crises de larmes, seul, sans raison apparente.

 

En 2019, les services sociaux sont à nouveau alertés pour des faits qui relèvent de la maltraitance et le juge aux affaires familiales a confié les enfants à Cédric.

 

En 2021, les juges (juge aux affaires familiales et juge des enfants) ont changé et l'approche de la justice également. Entre temps -c’était l’époque "covid", Cédric avait aussi entrepris de faire l’instruction à la maison pour les trois enfants, ce que la mère a refusé car les services sociaux, a-t-elle dit, lui ont mis la pression dans ce sens.

 

D'ailleurs, 16 familles du département sont poursuivies, et un couple a même été jugé en décembre 2023, pour avoir fait l'instruction à la maison sans avoir demandé l'autorisation préalable (un délit passible de 6 mois de prison et 7500 € d'amende créé par la "loi séparatisme" de la micronie !). Et s'ils l'ont fait, c'est parce que l rectorat considère que les enfants ne peuvent avoir l'école à la maison que s'ils ne peuvent pas aller à l'école normale pour des raisons de santé. On sent bien que ce mode d'enseignement est dans la ligne de mire de la micronie, et cela depuis plusieurs années d'ailleurs. Quoi qu'il en soit, Cédric avait tout fait dans les règles.


A partir de ce moment, tout s’est inversé : des pièces du dossier ont disparu, Cédric s’est retrouvé dans la ligne de mire, les enfants ont été placés en mai 2022 dans un foyer pour les deux grands et dans une famille d’accueil pour le dernier, au prétexte d’ "aliénation parentale" et d’une alimentation qui ne convenait pas à l’administration. 


Les gendarmes sont venus et ont dû traquer les enfants de 8, 10 et 12 ans dans la forêt avec deux maîtres chiens, en leur courant après pendant des heures pendant que Cédric était menotté, sous bonne garde et promené dans le village toute la journée, pour finir avec une garde à vue prolongée prolongée la nuit. Voilà comment la "justice" intervient dans les affaires familiales.

 

En sortant de là, Cédric a constaté que son domicile n'avait pas été fermé, que les animaux étaient en liberté, et il a reçu un courrier indiquant la fin de ses droits à des allocations et la venue prochaine d'un contrôle vétérinaire.

 

Des enfants placés depuis 2022 et une situation bloquée

 

Les services sociaux ne se montrent pas coopératifs et ont rendu les visites particulièrement difficiles pour le père comme pour les enfants. Il est vrai que Cédric, qui ne supporte pas les visites médiatisées, ne peut donc plus voir ses enfants.

Au lieu de passer cette petite heure tous les 15 jours avec ses enfants, il devait subir les commentaires des équipes du point rencontre. Les services sociaux, qui ne tiennent pas compte du caractère délirant de la situation, considèrent qu’il ne coopère pas alors qu'un expert psy a recommandé que ces visites ne soient pas médiatisées.


Cédric s'est donc lancé dans une procédure au tribunal de Foix pour récupérer ses enfants. La justice ne lui reproche toujours rien officiellement, mais on observe des choses bizarres dans ce dossier : des pages qui disparaissent, un rendu de jugement qui n'arrive pas, une juge qui agit sur son "intuition" pour placer les enfants en l'absence de tout élément démontrant la nécessité de le faire, des rapports à charge des services sociaux, des courriers de Cédric à ses enfants qui n’arrivent jamais à destination... On a l'habitude de ces manœuvres.

 

Par ailleurs, la mère de Cédric, dont il se tient éloigné depuis des années, prétend récupérer la garde de son dernier enfant, et a déjà obtenu des droits de visite et d’hébergement en août 2023 malgré les avertissements faits par Cédric au tribunal, et les enfants y sont donc allés en séjour cet été-là. Comment ce père peut-il mettre en œuvre son autorité parentale et protéger ses enfants si l’administration décide d’exposer ses enfants à des gens dont Cédric veut les préserver ?

 

En attendant, trois enfants sont pris en otage et séparés par la justice, occupée à tenter de recoller des liens mère-enfant dont les enfants ne veulent pas, et à maintenir l’éloignement d’avec leur père, auprès duquel ils veulent vivre. Et la justice ne veut pas entendre les enfants, dont l’aîné a pourtant 14 ans et peut très bien exprimer son point de vue et son besoin.


Les personnes des services sociaux croient certainement bien faire, mais pourquoi ces trois enfants seraient-ils mieux dan s un foyer ou une famille d'accueil que chez leur père en pleine nature, avec une instruction adaptée au fait qu'ils sont tous à haut potentiel ?

 

Ils disent qu’ils ne supportent pas cette situation et quand Cédric essaie d’intervenir, les éducateurs ne veulent rien entendre et l’attaquent devant ses enfants.

 

La situation s’est envenimée et les visites sont devenues trop compliquées car l’objectif des services sociaux est de faire plier Cédric pour qu’il loue leurs bienfaits et ceux des juges aux affaires familiales. Et de leur côté, tout va bien, les enfants « évoluent » positivement dans leurs foyers. La maman, qui fait ce qu’on lui demande et accepte que sa vie soit dirigée par l’administration, est récompensée avec des droits d’hébergement occasionnels. 

 

Quant à Cédric, qui a déjà subi la violence et la manipulation, il n’a pas d’autre choix pour le moment que de se soustraire à ce qu’il appelle "l’arbitraire de l’ASE", à ces sables mouvants administratifs dans lesquels il s’enfonçait un peu plus à chaque visite. Or, les parents qui ne font pas allégeance se retrouvent attaqués par l’institution.

 

Est-ce qu’un matin, un de ces juges comprendra que la situation est délirante ? Que le besoin des enfants est d’être auprès de leurs parents quand ils sont de bons éducateurs ? Ils montrent un mal-être mais comme ils réussissent bien à l’école, l’institution considère que tout va bien. Un jugement qui prolonge l’AEMO en 2021 note que Cédric "s’est exclu de la vie de ses enfants" mais comment en est-on arrivé là ? Qui est venu perturber la vie de cette famille ?

 

Beaucoup de parents cèdent devant les injonctions des services sociaux et de la justice pour revoir leurs enfants. Ils supportent les discours lénifiants et les attaques mesquines, les conditions de visite qui ne facilitent pas les relations parent-enfant, et de devoir rendre des comptes en permanence, sur tout, à des dogmatiques le plus souvent incompétents car mal formés. D’ailleurs en lisant les jugements on voit bien que c'est le comportement des parents qui est passé au crible et que les enfants resteront placés tant qu’ils n’obéiront pas. Et comme leur mère cède, même si les enfants ne veulent pas y aller, c’est là que la justice leur permettra d’aller.


D’autres parents ne peuvent plus supporter cela et c’est le cas de Cédric. 

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17 avril 2024

Omerta sur les réseaux pédos : où en sommes-nous ?

Nouveau podcast, au sujet des forces contraires en matière de dénonciation des réseaux pédo-sataniques : d'un côté une caste apeurée qui cherche à tout contrôler, tout censurer, de l'autre des survivants qui veulent parler, et qui avec d'autres citoyens essaient de retrouver les pièces du puzzle.

 

C'est un sujet qui a le don de crisper nos élites et leurs sbires, mais aussi l'opinion publique auprès de laquelle la vision pédo"phile" du monde ne passe décidément pas.

 

Je propose donc un Podcast rapide, pour faire le point sur la situation...

12 avril 2024

Violences rituelles et réseaux pédocriminels : la playlist

Depuis quelques mois, et depuis la diffusion de la campagne salvatrice des "50 voix contre les violences rituelles", beaucoup de gens ont l'impression que les bribes de souvenirs très dérangeants qu'ils ont en mémoire ne sont pas une construction de l'esprit mais ont le goût amer de la vérité. Pour essayer d'aider ces survivants dans ce chemin, j'ai traduit plusieurs vidéos réunies dans une playlist.

 

Il y a des témoignages de survivants, sur ce qu'ils ont vécu et surtout sur leur parcours pour se sortir de ces réseaux, déconstruire les programmations et retrouver la liberté.

 

 

Et voici les 5 dernières vidéos : 

 

Rike Schwan - Allemagne

 

Yvonne van Riemsdijk - Pays-Bas

 

Svali - Etats-Unis

 

Chantal Frei - Suisse 

8 avril 2024

Des conseils pour aller mieux | 2 - Ce sixième sens que nous avons tous !

Un nouvel article de Gongfu Jedi, sur ce qu'on appelle le 6e sens, l'instinct, la préscience... Ou comment cultiver cette capacité que nous avons tous.

 

 

On parle souvent du "6ème sens" comme un potentiel don, unique à quelques individus, des capacités psychiques ou extrasensorielles, voir métaphysiques. 

 

En fait nous possédons tous deux sens supplémentaires, tout à fait communs, aux cinq sens que nous connaissons déjà.

 

 

Au-delà des 5 sens...

Alors que les 5 sens sont tournés vers la capacité de percevoir des signaux venus de l’extérieur, les deux sens supplémentaires eux, sont tournés vers l’intérieur. 

 

Ces deux sens sont la proprioception, et l’interoception

 

La proprioception est la capacité de ressentir la position de son corps dans l’espace. Par exemple, lorsque j’ai les yeux fermés, je sais si mon bras est tendu ou plié, j’ai une idée de la position de mon dos, etc. Bien que le sens du toucher aide à cette capacité ( je sens le tshirt contre ma peau, mon poids sur la chaise, mon dos qui touche son dossier,  etc ) il s’agit bel et bien d’un sens à part entière, de par les signaux de perception internes, sur les tendons, les muscles, et fascias. Cela pourrait s’apparenter à un sens du toucher interne. 

 

Cependant ce qui nous intéresse en particulier aujourd’hui est l’intéroception. 

 

Il s’agit de la capacité de sentir ce qui se passe en soi. 

 

Cela peut sembler tout à fait abstrait à premier abord. D’autant plus si l’on ignore que les manifestations du système nerveux liés à nos émotions engendrent des réactions de production d’hormones, de neurotransmetteurs, agissent sur notre humeur, sur notre tension physique ou notre détente, notre capacité de digestion, notre clarté mentale, etc etc etc . . . 

 

Tout d’un coup, de notion abstraite nous passons à une potentielle avalanche d’informations... 

 

Alors nous pouvons revenir sur terre en nous rappelant que le sens du toucher n’est pas la connaissance théorique des terminaisons nerveuses sur chaque endroit du corps, puis les chemins bioélectriques effectués pour que les messages parviennent au cerveau, suivis des enchaînements de réactions... 

 

Le sens du toucher, c’est expérimenter le toucher, c’est la sensation.

 

Que l’on décripte ensuite ces perceptions par le prisme des émotions, de la biochimie, de taux vibratoires énergétiques, ou tout autre prisme, est secondaire. 

 

Le sens, c’est la perception. 

 

Le sens de l’intéroception, c’est la perception de ce qui se passe en soi. 

 

Tout comme l’ouïe, tout comme l’odorat ou le goût, ce sens peut être affiné, il peut gagner en précision. Et alors que les cinq sens nous emmènent à distinguer le monde qui nous entoure, celui ci devenir un outil de connaissance de soi, de son intérieur, très précieux. 

 

C’est un sens que nous devrions apprendre dès le plus jeune âge. Regarder en soi, observer les sensations, apprendre à les nommer, sentir comment elles sont liées à nos émotions, à nos capacités physiques et mentales, à notre élan de vie, etc . . . 

 

Mais il n’est jamais trop tard, et l’entraînement à regarder ce qu’il se passe en soi reste extrêmement bénéfique même s’il est appris sur le tard. 

 

Pour ma part, j’aime utiliser la respiration comme voie d’accès. Comme je sais maintenant que la respiration est très directement liée à mon système nerveux et mes processus émotionnels, je sais aussi qu’observer ce rythme de respiration me permet de rentrer en contact avec plusieurs rythmes intérieurs, et de les observer avec douceur. 

 

Respirer

Dans mes années d’accompagnement à la respiration j’ai rencontré quelques personnes qui étaient terrifiées à la simple idée de regarder leur respiration. Elles s’étaient tellement éloignées de leurs émotions, et avaient empilé tellement de stress interne au fil des années, que le simple fait d’observer la respiration était perçu par leur système interne comme une menace sévère. "Ne regarde pas là, ça pourrait nous péter au visage."

 

Autant vous dire que, tout comme moi et la très grande majorité de nos contemporains, ces personnes n’avaient pas été encouragées, dès leur enfance, à regarder ce qu’il se passe en eux. 

 

Nous sommes en interaction permanente avec le monde. L’entraînement, l’affinement de cette qualité de perception intérieure nous permet de mieux percevoir ce qui vient de nous, ce qui vient de l’extérieur

 

Si je ressens une émotion très forte, je peux par exemple me demander si c’est une émotion qui est en résonance avec celle de mon interlocuteur, ou bien est ce une émotion en réaction à ce que mon interlocuteur a dit ou fait ? 

 

Résonance ou réaction, la différence est de taille, et sans capacité intéroceptive il est impossible de faire la distinction. 

 

Dans le premier il se peut que je sois imprégné par l’émotion que mon interlocuteur est en train de vivre. 

 

Dans le deuxième c’est une émotion qui se réveille en moi, qui était à l’état de potentiel et se déclenche par le stimulus de la situation en cours, du contexte. Alors si je le souhaite je peux le blâmer pour son comportement, mais je ne peux LE blâmer pour MON émotion. Celle ci est en moi, et m’indique quelque chose qui se trouve en moi. Si je suis malin, je peux même me servir de cette situation, et de la réaction interne qu’elle produit en moi, comme indice pour investiguer sur des mémoires enfouies, des émotions non exprimée, et m’apaiser de celles ci.

 

Ce genre de distinction est importante pour reprendre une forme d’autonomie et de liberté. Si je comprend que je vis l’émotion de l’autre, en résonance empathique, alors je peux essayer de me recentrer en moi et retrouver mes repères intérieurs. Des outils comme la cohérence cardiaque par exemple sont très efficaces pour cela. 

 

Si je comprends que la situation a réveillé une émotion forte en moi, alors je comprends que, malgré les apparences, ce n’est pas la personne qui me fait me sentir comme ça. C’est quelque chose en moi qui me fait me sentir comme ça, en réaction à ce qu’à fait ou dit cette personne. 

 

Ce quelque chose à été réveillé, certes, par un comportement de l’autre, une situation donnée, mais c’est en moi que se trouve l’émotion. Cette simple perspective me libère, me rend autonome et responsable. Je ne suis plus sous l’emprise de l’autre car je sais qu’il ne peut générer des émotions en moi. Le mieux qu’il puisse faire ( ou le pire ) , c’est activer des "trigger" [déclencheurs] par lesquels vont se réveiller des émotions qui sommeillaient déjà en moi, et ensuite les interpréter de travers. C’est ce que font de nombreux prédateurs, agresseurs. Ils vont jouer sur des émotions que leurs actes vont susciter en nous, puis les incorporer dans un narratif qui leur convient. Que ce soit pour générer de la culpabilité, de la honte, de la soumission. 

 

Leurs techniques sont inefficaces avec une personne qui connaît son monde intérieur, qui connaît ses émotions, la façon dont elles s’activent, qui cesse d’amalgamer ses émotion avec QUI elle est, et qui, se faisant, a repris le contrôle de son narratif intérieur. 

 

Se réapproprier un narratif intrusif et manipulateur, c’est comme récupérer des parties de soi qui nous ont été volées. 

 

Un des exemples les plus clairs est le plaisir physique que certaines victimes d’agressions sexuelles peuvent ressentir lors de l’abus. L’agresseur va jouer sur ce plaisir pour créer le narratif qui lui convient : tu y prends du plaisir, c’est que tu aimes ça, et que tu veux ça, même si tu ne le sais pas. 

 

Or ce plaisir est une manifestation mécanique, il n’est en rien à l’image d’un désir inconscient. Certaines parties du corps sont destinées à procurer des sensations de plaisir lorsqu’elles sont sollicitées. C’est la "machine" biologique qui fonctionne ainsi. Or nous ne sommes pas des machines. 

 

Nous sommes des êtres dotés d’un libre arbitre, d’une conscience, de valeurs que nous avons acquises au fil de nos années sur terre.

 

En prétendant que le plaisir mécanique de la victime reflète un désir inconscient, l’agresseur s’assure de son emprise, génère confusion et culpabilité, tout en justifiant la validité de son agression. 

 

En prenant le temps, la patience, la douceur, de se retrouver en soi, de sentir quel est notre élan de vie ( qui n’est sûrement pas de se faire agresser), de distinguer ce plaisir mécanique de la partie plus consciente de notre être, nous sortons de la confusion, nous nous émancipons du narratif intrusif, et nous redevenons des êtres souverains. 

 

L’intéroception, la capacité de ressentir ce qu'il se passe en nous, participe grandement à faire de nous des êtres souverains. Au fur et à mesure que nous découvrons la richesse de notre monde intérieur, nous devenons moins manipulables et moins confus. 

 

De plus, l’interoception est une porte d’accès vers un autre sens que beaucoup ont déjà expérimenté sans toujours le savoir : l’intuition. 

 

Plus je sens ce qu'il se passe en moi avec clarté, en apaisant le mental, et en m’émancipant des influences extérieures, plus je peux entendre ce que me disent "mes tripes", mon cœur. Qui ont parfois une sagesse bien plus vaste et pragmatique que le raisonnement mental, selon mon expérience en tout cas. 

 

Je vais m’arrêter ici car cela fait déjà un article de plus de mille cinq cent mots, et je pense que le sujet a été ouvert convenablement. 

 

Trouvons cette douce et puissante force qui sommeille en nous, qui attend notre capacité à mieux nous connaître, à mieux faire confiance en nos sens intérieurs, et devenons les jedi de demain, un monde où chacun, en soi, est le créateur d’une réalité globale plus sensitive et plus consciente.

 

Om shaka mes jedi

Que la Force soit avec nous

31 mars 2024

Des conseils pour aller mieux | 1 - Observer. Exercice de cohérence cardiaque

Parmi ceux qu'on appelle les survivants, beaucoup ont trouvé des solutions au fil de leur parcours pour gérer les souvenirs, les sensations, pour se guérir autant que possible et aller mieux.

Je laisse aujourd'hui la parole à Gongfu jedi, qui a beaucoup utilisé la méditation et la respiration, pour présenter sa méthode personnelle qui sera probablement utile à d'autres. Merci à lui pour ce partage !

 

 

PLUS SIMPLE ET PLUS IMPORTANT QUE LA COHERENCE CARDIAQUE ! 

La cohérence cardiaque est un outil simple, rapide et efficace, accessible à tous, pour réguler le système nerveux autonome.

 

L’exercice de cohérence cardiaque (CC) fait partie des quelques exercices de respiration qui peuvent être utilisés par à peu près tout le monde (y compris les femmes enceintes, et les gens ayant la plupart des problèmes cardiaques) à peu près tout le temps, y compris après manger, au réveil, avant de se coucher. 

 

Son action permet de remettre en cohérence trois aspects régulateurs de notre vie :

  • la respiration
  • la fluctuation naturelle de notre rythme cardiaque
  • l’oscillation de notre système nerveux autonome

Par le biais de notre respiration, nous agissons sur les deux autres facteurs automatiquement, et, dans la plupart des cas, quasi immédiatement. 

 

Cependant, même avec un exercice aussi doux et aussi simple il existe des situations où il n’est pas adapté, des circonstances dans lesquelles il est bon de prendre des précautions :

  • stress intense chronique avec déconnexion totale entre rythme cardiaque et rythme respiratoire
  • crises d’angoisse dissociatives
  • crises d’angoisses de "décompression"

 

D’une manière générale, pour tout exercice de respiration, il est fortement déconseillé de se faire violence. C’est à dire : si cela demande un effort trop important pour caler sa respiration sur un rythme donné, il est fort probable qu’une approche plus douce est préférable. 

 

Le moyen d’action de la cohérence cardiaque est de réguler le système nerveux autonome (SNA). Le langage que l’on utilise pour donner ce message au SNA est celui de la respiration. En donnant un rythme spécifique à notre respiration, nous parlons à nos rythmes intérieurs, en leur donnant des indications précises. Or, si nos systèmes intérieurs sont complètement emballés, il est possible qu’ils n’écoutent pas cette tentative de communication.  

 

Si c’est le cas et que nous insistons à vouloir respirer en CC ou tout autre rythme respiratoire forcé, nous pouvons provoquer une dissociation supplémentaire entre le SNA et notre respiration, ce qui n’est pas souhaitable, et peut même participer à de l’emballement supplémentaire. 

 

Deux choses sont alors à prendre en considération : 

 

1/ Déjà, un outil n’est efficace que si l’on s’exerce à le manier. Il en est de même pour la cohérence cardiaque. Ainsi n’espérez pas avoir un effet avec l’exercice de respiration si vous ne l’utilisez qu’en cas d’urgence imminente, sans avoir pris le temps de le travailler dans des conditions apaisées au quotidien.

 

La cohérence cardiaque peut être un exercice de secours en effet, mais là où il est vraiment efficace, c’est en étant un exercice de prévention et de régulation qui nous accompagne. Une pratique quotidienne et régulière dans des moments sereins permet de donner des plages de repos et d’équilibre du SNA, qui sera alors plus efficace pour gérer les fonctions du quotidien, y compris la gestion de stress et d’éventuelles remontées émotionnelles dues aux traumas enfouis.  Donc première chose à prendre en considération, que ce soit pour l’exercice de CC ou pour celui que je vais vous présenter maintenant : commencer et continuer par utiliser ces outils quand tout va bien ! 

 

2/ Ensuite, vous pouvez vous dire : si un exercice aussi simple que la cohérence cardiaque ne m’est pas possible quand tout s’emballe, alors est ce que je suis juste livré à moi même ?   . . . Alors allons juste plus doucement, et allons à l’essentiel. Un outil encore plus simple, et encore plus puissant, est de simplement porter son attention sur la respiration, tout simplement.  Tout s’emballe ? Je regarde ma respiration.

Notre respiration est directement liée à nos émotions, par le biais du SNA comme nous l’avons vu plus haut. Nous sommes la plupart du temps déconnecté de notre respiration. Nous sommes la plupart du temps déconnecté de nos émotions. 

 

Lâcher prise

Les émotions ne se contrôlent pas (malgré ce que l’on aimerait penser). Elles s’expriment, si on les laisse, ou bien elles se répriment, et alors elles s'entassent quelque part en nous, en attendant qu’elles nous pètent au nez d’une façon ou d’une autre. Lorsqu’elles s’expriment, leur expression peut être dirigée de façon constructive ou destructive

 

Les émotions ne se contrôlent pas, et le mieux que nous puissions faire et d’accepter de les observer, de rentrer en contact avec elles, et de les guider de la façon la plus écologique possible. 

 

Les voyages intérieurs peuvent être douloureux et difficiles dans certaines situations de trauma intenses, et le rapport au corps compliqué. Alors que l’observation de la respiration est simple, neutre, et permet de mettre en place un vrai travail de retour à soi

 

L’air rentre, l’air sort, c’est tout ce qu’il y a de plus naturel, et pourtant c’est ce qui rythme notre vie à chaque instant. 

 

Lorsque tout s’emballe, c’est souvent que des peurs / colères / douleurs / tristesses (…) stockées en nous car pas encore exprimées, s’expriment de manière chaotique. 

 

A ce mécanisme naturel de décompression peut s’ajouter la peur de perdre le contrôle, la peur que cet emballement n’ait pas de limite etc . . . 

 

Le fait de simplement poser son attention sur la respiration permet de limiter ces peurs là, permet de l’imiter l’emballement supplémentaire du mental. 

 

Revenir à ce qui est : je respire. Ma respiration est chaotique et hachée ? C’est normal, je suis en train d’évacuer un gros morceau. 

 

Si j’ai conscience d’être en train d’évacuer un gros morceau, je peux voir que c’est une bonne nouvelle. Je serai un peu plus léger ensuite. Et c’est aussi une opportunité, un entraînement pour voir si je suis capable de revenir à mon souffle, même dans une situation difficile. 

 

C’est un petit test que m’envoie la vie, pour voir comment je me débrouille à gérer la remontée d’une petite partie de ces douleurs non exprimées qui demeurent en moi. Si je passe ce test, une collaboration plus consciente sera possible avec mon intérieur pour travailler à l’apaisement et la libération de ces douleurs sourdes

 

Si j’ai pensé à revenir à ma respiration, sans chercher à la changer, sans chercher à la contrôler, juste l’observer pendant cet emballement, alors j’ai passé le test haut la main. 

 

Le "lâcher prise",  ce n’est pas ce que l’on pense habituellement, ce n’est pas se remettre, complètement lâche, dans les mains d’un destin qui nous ballottera selon son bon gré.

 

Le lâcher prise, c’est être capable d’observer ce qu'il se passe, sans avoir à intervenir par réaction. Juste observer, et ne pas agir. 

 

Observer, c’est déjà faire quelque chose, mais on s’arrête à la. C’est très difficile, dans notre monde quotidien où l’on cherche à avoir un impact sur tout. Soit on tourne le dos aux choses, soit on essaie de les changer.

 

Ici, non. On cesse de se voiler la face sur ce qui se passe, on rentre en contact avec ce qu'il se passe, par le biais du simple souffle. Et on observe. 

 

Si je suis capable d’observer ma respiration dans un moment difficile, sans chercher à la modifier, à ce moment je deviens un maître du lâcher prise. 

 

Observer sa respiration, sans chercher à la modifier. Juste observer l’air qui entre, l’air qui sort. 

 

Si c’est trop dur, si la concentration n’est pas là, alors je peux ajouter un commentaire à l’observation :

là j’inspire, . . . là j’expire.
L’air entre, l’air sort.
Etc etc.

 

Cela ramène nos systèmes de vigilance, qui sont happés par des mémoires passées, à ce qui se passe maintenant. Maintenant je suis en vie, conscient, et je respire. 

 

Cela ramène notre attention à nos émotions, sans pour autant les activer en forcing. Cela nous entraîne à "faire UN". 

Avec de l’entraînement, cette pratique nous confère une sorte de confiance, une assurance grandissante dans notre capacité tenir le cap dans des moments de challenge intense. 

 

C’est un exercice que tout le monde devrait faire.  D’une certaine façon, étant porteurs de traumatismes intenses, nous pouvons voir cela comme une forte opportunité de développer cette capacité tellement précieuse : la stabilité dans la tempête. 


Pour nous la tempête et là, qu’on le veuille ou non. 

 

Certains cherchent cette stabilité par la méditation ou autres techniques, et parmi eux beaucoup sont tellement peu challengés que ce qu’ils créent de stabilité n’est que de surface. Nous avons la chance d’avoir ce vrai professeur en nous, qui nous permet de faire pousser nos racines en profondeur. 

 

Donc observons notre respiration, avec aplomb. Cela nous permet de nous relier avec nous même. Avec la valeur de la vie qui se trouve en nous. Avec une force profonde que chacun porte en soi mais que très peu côtoient. 

 

Nous pouvons prendre 5 minutes, plusieurs fois par jour, pour porter notre attention sur la respiration. Tout simplement. Sans rituel, sans encombre, juste observer la respiration. Plus nous le faisons, plus il nous sera facile de revenir à nos sens lorsque la tempête soufflera. 

 

Plus nous le faisons, plus nous construisons un compas intérieur, un lien avec ce qui se passe en nous, avec une intelligence innée qui est au-delà de nos considérations mondaines et des certitudes déconnectées de nos réalités profondes. 

 

Nous avons tous ce 6èeme sens, qui s’appelle l’intéroception : la perception de ce qui se passe en nous. Alors développons le, en commençant par observer notre respiration. 

 

Om shaka mes jedi 
La Force est avec nous

30 mars 2024

Retour sur un entretien marquant et prémonitoire

Il y a une douzaine d'années, j'ai eu deux longs entretiens avec un ancien responsable des renseignements intérieurs. Il était impossible de relater à l'époque ce qu'il avait dit, tant l'avenir qu'il brossait était sombre, tant l'ampleur de la manipulation dont nous sommes tous victimes était gigantesque. Je vais le faire aujourd'hui, du moins en partie pour ce qui est publiable.

 

Merci à D. d'avoir pris le temps pour ces explications.

Cet entretien a eu lieu en 2013. Aujourd'hui, beaucoup de choses qu'il avait annoncées se sont hélas produites, le reste est en cours. Mais ces informations peuvent aujourd'hui être entendues.

 

 

Civilisation sacrificielle

D. a beaucoup parlé du système sataniste. Le modèle serait celui de la civilisation Inca, une société fondée sur le sacrifice et l'usage de la cocaïne, sur l'usage du sang qui "est l'aliment des classes nobles". Ce type de pratique a toujours cours aujourd'hui.

 

Lorsqu'il travaillait pour la commission d'enquête sur les sectes, il a entendu des parents qui ont décrit des rituels subis par leurs enfants, avec "l'utilisation de la sodomie après avoir nettoyé l'enfant".

 

La famille royale anglaise est atteinte de porphyrie. Un des moyens de traiter cela est de boire / s'injecter du sang neuf. Il y a une multiplication des cliniques dans lesquelles on peut se régénérer le sang. Selon D., le sang d'un jeune européen vaut plus cher que celui d'autres origines, et pour cette raison il y aurait un gros trafic d'enfants Roms.

 

Certains boivent du sang dès le petit déjeuner. Mais en principe, le nombre de fois où on prend du sang est limité, certains en abusent et ont des problèmes comme des tumeurs du cerveau.

 

Ce qu'ils préparent est la généralisation des sacrifices humains "qui sont actuellement en phase d'essai" [en 2013].

 

 

Sociétés secrètes

Il y a une nébuleuse de sociétés secrètes dont l'objectif est de "sélectionner les meilleurs". Elles ont une structure éclatée, ont souvent une idéologie kabbalistique. 

 

Leur objectif est de s'infiltrer dans les sphères de pouvoir, comme la Golden Dawn, qui a créé de nombreux autres groupes secrets avec des objectifs précis par exemple infiltrer l'armée ou blanchir de l'argent. La Golden Dawn a aussi infiltré la franc-maçonnerie et organisait à l'époque "une guerre entre les loges". La police est aussi infiltrée par des sociétés secrètes, qui échappent à toutes les enquêtes.

 

Des responsables des renseignements peuvent aussi diriger des sociétés secrètes, ou être dans l'équipe dirigeante, par exemple dans les mouvements templiers dont l'OTS est un exemple.

 

C'est aussi par la Golden Dawn que le nazisme s'est installé en Allemagne. 

 

Certaines sociétés secrètes ont une branche officielle inoffensive et une branche secrète qui a des pratiques satanistes. Des réunions existent, où ces différentes sociétés secrètes discutent de leurs affaires communes.

 

Certaines pratiquent des rituels sur les enfants, avec des viols et des meurtres. C'est connu des renseignements.

 

En Grande-Bretagne où il y a des branches très hard de ces organisations, la famille royale est à la tête de plusieurs de ces sociétés secrètes aux pratiques telles que la sorcellerie noire (notamment la pratique de la "vierge noire" qui consiste à vider une personne de son sang pour le récupérer, lors de grandes "fêtes"). 

 

La famille royale anglaise a conservé le savoir du paganisme pendant que via l'Eglise on a éliminé toutes les religions qui avaient ces savoirs. On observe une augmentation des expériences de mort imminente dans une sorte de rééquilibrage face à la baisse du savoir chamanique. Le but est d'éliminer les connaissances qui pourraient les perdre, tout en mettant la main sur les savoirs et le patrimoine d'intérêt. 

 

"Ils ont pris le pouvoir des peuples en enlevant la connaissance de ce qu'est le pouvoir. Mais ils savent que la nature va reprendre le dessus et qu'ils vont perdre".

 

Il y a des recherches sur l'ADN des membres des sociétés secrètes, pour sélectionner les familles.

 

En 2013 une de ces réunions a eu lieu "pour enclencher un nouvel Hitler pour protéger la race blanche. Il aura une double, une triple personnalité".

 

Il y a aussi des groupes très confidentiels qui n'ont pas l'air de sociétés ésotériques mais ont les mêmes pratiques, par exemple des sociétés secrètes orientées vers la protection de la nature.

 

D. observait que la commission d'enquête sur les sectes avait oublié de s'occuper des sectes les plus dangereuses, et qu'aux Etats-Unis ces groupes allaient obtenir le statut de religion [ce qui fut le cas pour le satanic temple en 2019] et ne seront plus considérés comme des "sectes".

 

Il a parlé de l'anthroposophie, créée par Rudolf Steiner qui était dans la même loge franc-maçonne qu'Hitler. Objectif de cibler les enfants pour un certain conditionnement.

 

Toutes ces sociétés secrètes sont englobées dans un réseau mondial. Leur stratégie est de fonctionner comme un "système viral": "ils avancent là où ils peuvent, là où ils ont des opportunités". Toutes ces organisations recrutent et infiltrent, et il faut développer un "contre virus".

 

L'initiation, qui est souvent compromettante pour la personne (par exemple la double sodomie, pour les hommes comme pour les femmes, accompagnée de prise de drogues comme la cocaïne), "permet de tenir les gens". On les incite à revenir en utilisant notamment des drogues comme le laudanum, "on les rend dépendants sans qu'ils le sachent pour qu'ils se sentent bien et qu'ils reviennent".

 

Certaines sectes / sociétés secrètes développent des armes biologiques comme Aum qui travaillait sur Ebola, font du trafic de matières nucléaires.

 

D'autres travaillent sur le passage de la vie à la mort (delog), les nazis ont été chercher des pratiques à ce sujet chez les tibétains car ils maîtrisent ces techniques. Les satanistes ont peur des techniques bouddhistes.

 

L'objectif est aussi de préparer l'opinion publique. Les sectes qui entretiennent le secret de l'appartenance sont destinées à la gestion de la société de manière occulte. Plus il y a de sociétés secrètes, plus il y a de corruption, et de massacre d'enfants. Le but est de "dématérialiser la société".

 

Selon D. "les véritables patrons de ces organisations on ne les verra jamais".

 

 

Franc-maçonnerie

Ce sont les anglais qui ont organisé la franc-maçonnerie, en ont changé la hiérarchie et l'ont utilisée pour la prise de pouvoir au niveau mondial. En France elle a été recrée et reprise en main par les Etats-Unis après la Deuxième Guerre Mondiale.

 

Les premiers grades, ou franc-maçonnerie bleue, servent à recruter des individus qui ont le bon profil pour les envoyer dans d'autres branches de la franc-maçonnerie où il y a des initiations, des rituels plus secrets que ceux de la franc-maçonnerie.

 

Il faut se battre contre le secret de l'appartenance à la franc-maçonnerie, à cause du serment qui implique de la servir en premier lieu.

 

Dans la franc-maçonnerie, il y a des organisations lucifériennes qui cherchent à prendre le pouvoir. L'infiltration s'est intensifiée fortement après 2001, avec des groupes comme les Chevaliers de Thulé ou la Golden Dawn qui a pris le contrôle de plusieurs loges. Cela, alors que des loges franc-maçonnes contrôlent des partis politiques au pouvoir qui eux ont pour rôle de verrouiller le système politique par la cooptation. Ils cherchent à utiliser la capacité de la franc-maçonnerie à diffuser des mots d'ordre.

 

La Golden Dawn veut tuer la franc-maçonnerie en prendre le pouvoir à sa place, tout en en conservant la structure. Aux Etats-Unis, les évangélistes aussi ont infiltré la franc-maçonnerie.

 

Les Etats-Unis se sont appuyés sur des organisations comme la franc-maçonnerie depuis 1945, et ont ensuite créé d'autres organisations en Europe, en France, pour réaliser des manœuvres sur l'économie et la politique françaises. Le but final est "une guerre contre l'économie européenne". Pour cela, différentes sectes ont été créées afin d'établir un Etat fasciste. Exemple avec Aube Dorée / Golden Dawn.

 

Avant dans les loges Franc-maçonnes, il y avait quelqu'un qui était chargé de veiller à la spiritualité. Puis il y a eu une prise de contrôle de la franc-maçonnerie et cette fonction a été supprimée. Et on a fait la révolution française pour favoriser les banques anglaises et le système bancaire anglais.

 

 

Drug Army

Les Etats-Unis étaient en train de travailler sur une drogue capable d'énerver les gens, de les transformer en meurtriers. Les soldats sont drogués, rendus dépendants et malléables.

 

De nouveaux produits chimiques sont et seront développés pour créer une "Drug Army", une sorte d'armée de zombies, de morts vivants.  "356 produits sont en préparation et sont testés pour voir si ça passe dans la population" selon D. 

 

Tous les ans, une grande réunion a lieu aux Etats-Unis pour se répartir le marché de la drogue au niveau mondial et les bénéfices. Des négociations sont menées pour avoir le droit de vendre les drogues en Europe et aux Etats-Unis, et une partie des bénéfices est reversée aux partis politiques. Depuis qu'ils ont accès à cet argent, les politiques n'auraient plus besoin de faire autant de magouilles qu'avant pour financer l'activité politique. "ça a contribué à moraliser la vie politique", a dit D.

 

On sait d'où viennent les drogues saisies en france, et on estime leur part de marché, avec les analyses réalisées dans un laboratoire français. L'argent passait par la HSBC à Hong-Kong et il y avait une lutte entre politiques de premier rang en france pour mettre la main sur cet argent.

 

La coke est très répandue dans les milieux politiques, principalement la cocaïne, naturelle ou de synthèse, jusqu'au plus haut niveau de l'Etat : "Le notable maintenant est souvent cocaïnomane au dernier degré", et d'autres produits sont aussi courants.

 

Le MK-Ultra est terminé, ce programme a servi de base à de nouveaux projets dont certains ont été testés via des sociétés secrètes ou des sectes, dans des universités par exemple. Parmi leurs projets, il y a la création "d'une armée de gens qui iront dans la fureur, qui obéiront quand le Führer arrivera, après la déstabilisation des Etats-Unis". Un des scénarios est une division des Etats-Unis pour qu'un groupe prenne le dessus. A partir de là, les zombies seront lâchés.

 

Les drogues sont utilisées pour détruire les jeunes générations, les détourner de l'action et de la remise en cause du système. Déjà pendant les guerres de l'opium, quand les anglais ont vendu de l'opium aux chinois contre les tentatives des autorités de limiter la dépendance, la drogue était utilisée pour attaquer une nation.

 

On va augmenter progressivement le prix du tabac pour pousser vers la consommation de drogues dures qui seront comparativement très accessibles.

 

Dans les guerres de l'opium, l'objectif numéro 1 était économique : il s'agissait de récupérer l'or de la Chine [l'opium était produit en Inde, dans des régions dominées par les anglais].

 

En parallèle de la diffusion de nouvelles drogues plus puissantes dans la société, les privilégiés se créent des zones sécurisées comme l'ile de la Jatte. Quand il y aura une révolte à Paris ils y seront en sécurité. Ils achètent aussi des îles privées gardées par des militaires.

 

Les drogues sont aussi utilisées pour le viol afin de ne pas laisser de traces.

 

 

Banques et drogue

Selon D., "60% de l'argent blanchi dans le monde passe par les banques de la famille royale anglaise", qui maîtrise les circuits du trafic et du blanchiment depuis les guerres de l'opium au XIXe siècle.

 

Les Rothschild sont de la même famille que la famille royale anglaise. Idem pour la famille Bush, issue d'un membre de la famille royale (de filiation non reconnue officiellement). Ils ont fait fortune en permettant aux banques juives de financer Hitler.

 

Il y a un système de vase communicants entre l'économie officielle et l'économie souterraine. En 2006 [crise des subprimes] les cartels colombiens ont injecté beaucoup d'argent dans Wall Street, ce qui a évité l'effondrement.

 

 

Politiques

D. a évoqué de nombreux politiciens de premier plan, en France et ailleurs, de droite comme de gauche. Ils sont toujours corrompus et le plus souvent sont aussi impliqués dans des réseaux pédocriminels voire satanistes. Ils sont complètement drogués, à l'opium ou à la coke, et sont là pour servir leurs maîtres tout en remplissant leur portefeuille au passage.

 

Ils nous endettent et touchent des commissions sur ces emprunts, sur les trafics de drogue, d'armes, par le système de surfacturations généralisé et les dessous de table sur les marchés publics etc. Cela représente des milliards tous les ans.

 

La répartition de ces commissions pose régulièrement des problèmes, certains quand ils sont en haut de la hiérarchie cherchant à garder tout le grisbi.

 

Droite comme gauche, tous sont de connivence malgré le cirque électoral et médiatique qui montre l'inverse aux électeurs. Ils sont sous influence étrangère, se vendent au plus offrant.

 

Selon D., les organisations qui ont corrompu les politiques sont les organisations du stay-behind.

 

Via les grandes écoles, la caste dirigeante transmet ses consignes. 

 

 

lucifer

Qu'il s'agisse de certains francs-maçons qui savent parfaitement qu'ils vénèrent lucifer, ou des sociétés secrètes, selon D. ces gens pensent vraiment qu'ils tirent un pouvoir de leurs actions dans le registre sataniste.

 

Il y a des pratiques rituelles au plus haut niveau de l'Etat, avec des meurtres d'enfants. Les enfants sont torturés pour créer un égrégore, pour récupérer leur énergie neuve. 

 

L'objectif final est d'établir un nouveau pouvoir sur des bases lucifériennes.

 

 

Opposition chrétiens / musulmans

Elle est encouragée par différents groupes, comme les sionistes avec la notion de "sionisme intégral" et les ismaéliens. En faisant en sorte que les autres se combattent, ils ont moins d'ennemis à affronter et à contrôler eux-mêmes.

 

Aux Etats-Unis : on fait monter les tensions racistes. L'objectif est de créer des guerres de sang, des guerres civiles.

Selon D., le Mossad a créé des groupes islamistes, y compris en France. 

 

 

Plan mondialiste

Les nazis étaient notamment une expérimentation pour le tri et la sélection de la population, comme le Khmers Rouge au Cambodge qui visaient à savoir jusqu'à combien de population il est possible de liquider pour permettre aux élites de bien vivre sans risquer de perdre sa place. La Corée du nord est une autre expérience de contrôle social. 

 

Aujourd'hui (en 2013) l'objectif est toujours de trier et sélectionner la population. Il y a de nombreuses techniques pour y arriver, notamment le "fascisme écologique" : "ils ont la même vision de l'écologie que les nazis", selon D. 

 

Ou le libéralisme économique, qui relève de la doctrine sataniste. Selon D., Keynes était proche d'Alistair Crowley [fondateur de la Golden Dawn, membre de diverses sociétés secrètes occultistes, inventeur du satanisme moderne version New Age, et proche du MI6]. 

 

L'objectif est aussi de prélever les principales richesses de chaque région.

 

Les services secrets des pays occidentaux, notamment en france, "ont été détournés de la démocratie pour protéger l'élite".

 

Ces sociétés secrètes ont souvent une idéologie d'extrême droite même si c'est dissimulé.

 

Leurs objectifs :

  • généraliser l'usage des drogues
  • normaliser la pédocriminalité
  • contrôler les naissances et réduire la population
  • nous amener vers un régime nazi / luciférien

 

Le fascisme est un moyen, pas une finalité. C'est une secte comme une autre. Depuis la Deuxième Guerre, des SS montent des associations pour s'occuper des enfants et distiller leur propagande, en Allemagne surtout mais pas seulement.

 

Le nazisme et la pédocriminalité sont des leviers qui permettent de diriger le monde. L'objectif est le pouvoir et la puissance : "s'ils ont la main sur les âmes, ils retarderont l'évolution du monde et resteront au pouvoir plus longtemps". Ils sont en train d'organiser le chaos pour retarder l'évolution.

 

"Ils ont tous les éléments pour remettre en selle un personnage comme Hitler aux Etats-Unis", et une des priorités pour Washington en 2013 était de constituer une armée solide avant la fin de la montée en puissance des USA car elle coûte très cher. On fait monter la militarisation et grossir l'armée tant qu'il y a encore de l'argent pour qu'une armée puissante soit déjà en place quand le nouvel Hitler sera installé.

 

Selon D. , le risque le plus important était le besoin de sang, avec une nouvelle guerre mondiale qui se préparait dans l'objectif de réduire massivement la population. Ce besoin de sang viendrait aussi du fait que l'augmentation de l'usage de la cocaïne entraînait un besoin accru de se nettoyer le sang par des transfusions. Il y a des "fêtes où va l'élite et où le sang est central".

 

Un des projets est de créer une famine en Europe. Les produits comme le blé sont stockés en Chine [en 2013] pour faire monter les prix.

 

Ces organisations sont arrivées à maturité et passent maintenant [en 2013] à une nouvelle étape avec le déversement de drogues de synthèse et la stratégie du choc. 

 

Ils peuvent utiliser des ondes P qui rendent agressif, et peuvent être envoyées par satellite. Elles ont été testées au Rwanda qui a servi de terrain d'expérimentation.

 

Il y a aussi les hypersons et sons compressés. En 2013 une réunion devait être organisée au Maroc pour "décider des futurs sons et généraliser les sons compressés", dans l'industrie du disque, la radio... Les sons compressés doivent rendre les gens addicts et serviront à enclencher des gens déjà programmés, par exemple avec des films comme Star Wars et à préparer les enfants (surtout anglo saxons) pour faire les troupes de demain.

 

Des travaux sont aussi menés sur les armes antigravitationnelles, capables de mettre un continent sous l'eau en une nuit.

 

 

Propagande 

Le divertissement joue un rôle important dans le conditionnement des populations. Par exemple, Star Wars qui a été financé par des financiers suisses raconte l'apocalypse selon St Luc. Idem pour Harry Potter écrit pour manipuler les gens. Ces films / histoires mettent les enfants en attente de quelque chose, ça contribue à les conditionner pour le futur. 

 

Le cinéma, le divertissement servent aussi à faire passer des concepts, à habituer le public à un mode de pensée, à une vision du futur, de banaliser l'ésotérisme auprès de la jeunesse.

 

Il va y avoir de plus en plus de fausses informations pour que les gens ne sachent plus à quoi se fier.

 

 

Pédocriminalité / cannibalisme

Dessin de Fiona Barnett

La pédocriminalité sert à contrôler les gens, mais elle sera progressivement remplacée par l'anthropophagie. D. évoquait un "nouveau cannibalisme" et des "nouveaux repas rituels".

 

La pédocriminalité est banale dans les sphères de pouvoir. Par exemple le chef d'une grand groupe catho versé dans le gnosticisme allait en Thaïlande avec un chef de la police française, pour commettre des viols d'enfants. Cet individu sodomisait des enfants en les étranglant. Il a été tué dans un accident d'avion "car il était trop lié à l'affaires de l'OTS" [Temple Solaire].

 

A Haïti, des politiques français achetaient des enfants à l'époque de Baby Doc et tonton Macoute [1] qui vendait de jeunes haïtiens pour qu'ils soient violés et étranglés, pour 5.000$. Baby Doc avait des fichiers sur les partouzes avec des politiciens occidentaux, c'est pour ça que la france a permis à Baby Doc de se refugier ici.

 

Le développement de l'usage des drogues de synthèse va augmenter les cas de cannibalisme. Les pratiques cannibales sont en train de s'installer "pour remplacer le moyen de pression de la pédocriminalité qui va devenir légale".

 

D. a aussi confirmé que les plus hauts niveaux de pouvoir sont vérolés par la pédocriminalité et même les pratiques satanistes. Le tout en lien avec divers trafic mafieux. Des individus dans les milieux du show biz servent à approvisionner les milieux politiques.

 

Par exemple, le pasteur Doucé qui avait ouvert une association de défense des minorités sexuelles dont les pédos, a été liquidé parce qu'il avait des dossiers et faisait chanter des gens. 

 

 

Transhumanisme / contrôle des naissances

Selon D., "ils n'ont pas la technologie pour gérer autant d'humains qu'il y a aujourd'hui".

 

Des travaux [en 2013] ont pour objectif de développer un utérus artificiel, que les anglais ont mis au point depuis les années 70-80 selon D. Derrière, la GPA sera normalisée, en 2013 il s'agissait d'imposer cette idée dans l'opinion publique. 

 

"Ils veulent sélectionner les humains et créer des demi humains, des êtres soumis. Ils veulent une population d'esclaves soumis".

 

Des études sur l'ADN sont en cours pour sélectionner les humains qui naîtront en combinant biologie et informatique. Ils mènent aussi des recherches sur la magie noire égyptienne, entre autres, dans l'objectif de contrôle des naissances.

 

Le corps devient une marchandise. Comme ils ne veulent que des serviteurs il n'y a pas besoin d'enfants. A terme, "ils imposeront un système de contrôle des naissances pour avoir seulement les enfants dont ils ont besoin". Et ces enfants seront violés "pour en faire des enfants traumatisés, des enfants soldats ou autre".

 

En parallèle on rend les gens stériles avec des produits mis dans la nourriture (cf. rôle de Nestlé dirigé par des nazis), tout en veillant à les carencer.

 

Les anglais essaient aussi de trier les gens par champ de pensée, d'après l'ADN, et d'en faire la cartographie. Ils ont identifié un ADN des sorciers très présent en Grande-Bretagne. 

 

Selon D., "les sectes sont attirées par différents groupes sanguins. Elles préfèrent parfois s'installer dans certaines zones parce qu'il y a un groupe sanguin plus présent. On observe aussi que certaines personnes changent de groupe sanguin".

 

La chirurgie du cerveau par ordinateur se développe, pour pouvoir diriger le cerveau des gens à distance et y mettre un certain nombre de choses. 

 

L'aryanisme est une notion créée par la noblesse anglaise, qui a aussi mis en place des sociétés secrètes comme la Golden Dawn pour porter son idéologie. Pour des gens comme Charles Darwin, un des grands eugénistes anglais, la race aryenne et le summum de l'évolution humaine est la noblesse anglaise.

 

Conan Doyle a développé pour la noblesse anglaise le thème de l'aryanisme. 

 

 

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[1] Tonton Macoute était la milice créée par papa Doc, le dictateur Jean-Claude Duvalier, et était dirigée par Luckner Cambronne, surnommé "le Vampire des Caraïbes". Il était connu pour une impressionnante liste de crimes, dont la revente du sang des cadavres aux hôpitaux et universités US, ou à des laboratoires. En 1971 il s'est réfugié à Miami où il est mort en 2006. Beaucoup de membres importants de cette milice pratiquaient le vaudou.

Cambronne était co-propriétaire d'un centre de transfusion à Port-au-Prince en 1971 - 1972, qui lui a permis d'exporter 1600 gallons de sang chaque mois vers les USA.

En 1962 il y a eu un scandale, car de la viande humaine aurait été servie dans les hôtels de Port-au-Prince. Il a été dit que Cambronne était le fournisseur.

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