Universite catholique Lille. La catho (université catholique) créée il y a 127 ans est une institution à Lille. C'est une université catholique avec son aumônerie, ses messes hebdomadaires, une …Plus
Universite catholique Lille.
La catho (université catholique) créée il y a 127 ans est une institution à Lille. C'est une université catholique avec son aumônerie, ses messes hebdomadaires, une faculté de théologie, mais avec 15 000 étudiants, 6 facultés, 30 écoles et établissements sur un même campus dans la réalité on est loin des images d'Epinal. Le choix des étudiants de s'y inscrire n'est pas lié à la religion, mais plutôt motivé par les structures et services offerts. Etudiants, enseignants et Thérèse LEBRUN, Président-Recteur témoignent de cette réalité qui tente de concilier tradition et modernité. Seulement 10% des étudiants de la catho on fait leur choix par conviction religieuse. Si elle participe à la messe, Aude LATEUR étudiante, n'était pas chrétienne pratiquante auparavant et pour Sylvain HERBAUX c'est une école comme une autre, il faut séparer le religieux des études. C'est l'offre pédagogique, des effectifs moindres que dans le public qui attirent principalement les étudiants. Eglantine DOUTRIAUX et Mélissa ASLOUM étudiantes en droit apprécient le côté campus et échanges de la Catho à la différence de Lille 2 qui est éclatée entre Lille et Villeneuve d'Ascq. Les cursus se font dans le cadre du LMD afin de favoriser les échanges internationaux. Jean Philippe AMMEUX, vice président chargé des relations internationales explique que l'on prépare les étudiants à travailler dans un monde ouvert. Antoine MAHOT, étudiant en école de commerce, apprécie l'ouverture culturelle qui est proposée. Chaque année, l'université accueille 800 étudiants étrangers dont certains découvrent en arrivant qu'ils sont dans un établissement catholique comme Daria CZEREPOW, polonaise. Hélène KLINKER, étudiante allemande ne voit pas de différence avec le public. Annie Claude GUISET, du service des relations internationales confirme qu'une minorité s'inscrit individuellement, donc par choix. Que reste-til de l'esprit originel ? Thérèse LEBRUN Président-Recteur, pense qu'on se fondera de plus en plus sur la tradition pour refonder une pensée. Pascal CODRON vice-président chargé de l'innovation pédagogique, pense qu'on doit les aider les étudiants à réfléchir sur le sens de leur engagement, au sens qu'ils vont donner à leur vie.
La catho (université catholique) créée il y a 127 ans est une institution à Lille. C'est une université catholique avec son aumônerie, ses messes hebdomadaires, une faculté de théologie, mais avec 15 000 étudiants, 6 facultés, 30 écoles et établissements sur un même campus dans la réalité on est loin des images d'Epinal. Le choix des étudiants de s'y inscrire n'est pas lié à la religion, mais plutôt motivé par les structures et services offerts. Etudiants, enseignants et Thérèse LEBRUN, Président-Recteur témoignent de cette réalité qui tente de concilier tradition et modernité. Seulement 10% des étudiants de la catho on fait leur choix par conviction religieuse. Si elle participe à la messe, Aude LATEUR étudiante, n'était pas chrétienne pratiquante auparavant et pour Sylvain HERBAUX c'est une école comme une autre, il faut séparer le religieux des études. C'est l'offre pédagogique, des effectifs moindres que dans le public qui attirent principalement les étudiants. Eglantine DOUTRIAUX et Mélissa ASLOUM étudiantes en droit apprécient le côté campus et échanges de la Catho à la différence de Lille 2 qui est éclatée entre Lille et Villeneuve d'Ascq. Les cursus se font dans le cadre du LMD afin de favoriser les échanges internationaux. Jean Philippe AMMEUX, vice président chargé des relations internationales explique que l'on prépare les étudiants à travailler dans un monde ouvert. Antoine MAHOT, étudiant en école de commerce, apprécie l'ouverture culturelle qui est proposée. Chaque année, l'université accueille 800 étudiants étrangers dont certains découvrent en arrivant qu'ils sont dans un établissement catholique comme Daria CZEREPOW, polonaise. Hélène KLINKER, étudiante allemande ne voit pas de différence avec le public. Annie Claude GUISET, du service des relations internationales confirme qu'une minorité s'inscrit individuellement, donc par choix. Que reste-til de l'esprit originel ? Thérèse LEBRUN Président-Recteur, pense qu'on se fondera de plus en plus sur la tradition pour refonder une pensée. Pascal CODRON vice-président chargé de l'innovation pédagogique, pense qu'on doit les aider les étudiants à réfléchir sur le sens de leur engagement, au sens qu'ils vont donner à leur vie.